Jack London Croc Blanc

Jack London, de son vrai nom John Griffith Chaney (né le 12 janvier 1876 à San Francisco et mort le 22 novembre 1916 à Glen Ellen, Californie des suites d'un empoisonnement du sang causé par une urémie, maladie dont il souffrait depuis son voyage dans le Pacifique. Certaines sources ont véhiculé pendant des décennies l'affirmation qu'il se serait suicidé, mais on reconnaît qu'il n'y a rien de solide à l'appui de cette hypothèse)[ ][][][]était un écrivain américain. Il a écrit L'appel sauvage et plus

un rire froid comme le gel et d'un infaillibilité sinistre. C'était la sagesse puissante et incommunicable de l'éternité qui riait de la futilité de la vie et de l'effort de vivre. C'était la foret sauvage, la foret gelée du grand Nord. » Jack London , Croc-blanc. Depuis toujours, l'Homme pense réussir à maîtriser la nature mais cette citation nous montre qu'il n'est rien. L'homme est un être impuissant devant la grandeur de cette constitution végétale. Malgré le temps et l'évolution de la technologie

désespoir. III-Les leçons que le lecteur peut tirer d'un bon roman 1) Les défauts de la société ex:Le meilleur des mondes, Aldous Huxley===Contre-utopie, la société est totalement "formaté" et chacun a un poste définitif. ex: Croc-Blanc, Jack London===Dénonce la cruauté de certains hommes. mots: contre-utopie, critique, refus, anticipation, pessimiste, société. 2) Les personnages banals ex: Le père Goriot, Balzac===Eugène de Rastignac qui fait son ascension par le moyen de sa

qualifié par son rapport à l’homme ANIMAL OBJETC Animal est merveille car il EST animal ANIMAL SUJETSon rapport à l’homme en fait sa préciosité car il n’en est pas unL’Appel de la forêt de Jack London met en scène un chien domestique, qui revient à son état naturel et sauvage, un thème repris dans Croc Blanc. Ayant effectué un véritable travail d’anthropologue, l’écrivain américain se récrie contre les critiques qui voient ses protagonistes canins comme des allégories humaines.L’écriture de ces

tout à fait naturelle.       L’écrivain peut être considéré comme un enchanteur parce que d’un coup de baguette magique, il nous projette dans des contrées inconnues ou dans des périodes révolues ou futur. Dans « l’appel de la forêt » ou « croc blanc », Jack London nous fait voyager dans des contrées lointaines (le grand nord canadien) et dans une période révolue : le dix-neuvième siècle. Maintenant que nous avons vu comment l’écrivain peut être un enchanteur en nous transposant dans un monde que nous

narratifs. Un roman est tout d'abord un objet de distraction pour le lecteur. Mais celui ci n'est pas toujours composé d'une histoire d'amour, comme dans Robinson Crusoé, (a part si celui ci a une histoire avec Vendredi !). Ou comme dans Croc Blanc de Jack London. On ne connaît sûrement pas beaucoup de livre sans histoires d'amours, mais il y en a, dans les livres «d'horreurs» exemple avec les livres de Stephen King. Pour moi un bon roman est un livre que l'on aime, il peut ne pas y avoir d'histoire

-Le petit prince /Antoine de Saint-Exupéry -La cicatrice/Bruce Lowry -Le fils du loup bleu/Martine Pouchain -C’était mon oncle/Yves Grevet -Le roi de la forêt brumes/Gilles Fontaine -L’œil du loup/Daniel Pennac -Cabot-caboche/Daniel Pennac -Croc Blanc/Jack London -Le perroquet qui bégayait/Alfred Hitchcock -La série des Sans Atout de Boileau Narcejac -Mon ami Frédéric/Hans Peter Richter-Mon bel oranger/José Mauro de Vasconcelos - La liberté pour Hannah/Michel Cosem -Les Penderwick/Jeanne BirdsallAutre

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tout à fait naturelle. L’écrivain peut être considéré comme un enchanteur parce que d’un coup de baguette magique, il nous projette dans des contrées inconnues ou dans des périodes révolues ou futur. Dans « l’appel de la forêt » ou « croc blanc », Jack London nous fait voyager dans des contrées lointaines (le grand nord canadien) et dans une période révolue : le dix-neuvième siècle. Maintenant que nous avons vu comment l’écrivain peut être un enchanteur en nous transposant dans un monde que nous

obscurcissait les deux rives du cours d'eau pris par les glaces. Un coup de vent récent avait dépouillé les arbres de leur blanche couverture de givre. Un grand silence régnait sur la terre. C'était la forêt sauvage, la forêt gelée du grand Nord. Jack London, Croc-blanc Il était seul, méconnu, heureux, et proche du cœur sauvage de la vie. Il était jeune, obstiné, libre, seul dans un désert chargé d'air vif et d'eau saumâtre, l'esprit plein de rêves emersoniens. Extrait d'un passage en fin de livre.