Jack O'Neill

d’où leur surnom de pulp magazines. Pendant la Seconde Guerre mondiale, le combat contre les nazis de deux super-héros, la Torche humaine et Captain America, popularise ce type de bande dessinée. Captain America nait en décembre 1940 du pinceau de Jack Kirby et de l'imagination de Joe Simon, dessinateur et scénariste pour la Timely Comics. Steve Rogers, du fait de sa faiblesse physique, ne peut s’enrôler dans l’armée américaine en 1941. Il participe alors à une expérience médicale qui le transforme

n°78 , septembre 1954 His touche is death ,17x26 cm Arts de l’espace Arts du son Arts du langage Arts du spectacle vivant Arts du quotidien Arts du visuel Brève biographie de l’auteur : Le personnage est né en décembre 1940 du pinceau de Jack Kirby et de l'imagination de Joe Simon, dessinateur et scénariste pour la Timely Comics ( ancienne appellation de la société Marvel ). Il est développé pendant la seconde guerre mondiale et avait au départ pour rôle de faire circuler la propagande

Thématique : Arts, Etats et pouvoir Domaine : Art du visuel     Introduction   Captain america est un héros de Comic book américain, bande dessinée née aux Etats-Unis dans les années 1930 ; cette bande dessinée était vendue à bas prix. C’est Jack Kirby, dessinateur, et Joe Simon, scénariste, qui font naître le personnage en décembre 1940 pour la Timely Comics ( ancien nom de Marvel ) : ils imaginent que, pendant la Seconde Guerre mondiale, Steve Rogers, soldat chétif mais déterminé, participe

Dans l'histoire de ce héros, les nazis sont présent seulement aux États unis, et même si c'est une force maléfique puissante, Captain America parvient néanmoins à les combattre seul, sans l'aide des autres pays. On pourrait alors penser que l'auteur Jack Kirby a cherché à promouvoir la puissance de son pays à travers son personnage. Comme si il voulait montrer que l'Amérique aurait pu gérer seul la seconde guerre mondiale. Captain America apparaît finalement comme le sauveur de l'Amérique et comme

peut être vu comme un "bol d'oxygène". Mais le voyage ne se résume pas forcément au fait de partir loin de chez soi. Le voyage n'est il qu'un déplacement ? Quatre documents de nature différents vont tenter de répondre à cette question : Le livre de Jack Kerouac « Sur la route », publié aux éditions Galimmard en 1960, qui raconte les péripéties et les questionnements de l'auteur sur lui même. L'article de Valérie Cibiot « Le tour du monde en trois "moi" », apparu en juin 2006, sur la magazine Muze

marginal d'une grande importance fait son apparition dans les années 50 : la « Beat Generation ». Le terme de « Beat Generation » fut employé pour la première fois en 1948 par Jack Kerouac, écrivain, pour décrire son cercle d'amis. «Howl » d'Allen Ginsberg (1956), «Le festin nu » de William S. Burroughs (1959) et « Sur la route » de Jack Kerouac (1957) sont les œuvres les plus marquantes de la littérature beatnik. Ce mouvement a d'autant plus choqué l'Amérique puritaine par l'homosexualité assumée de plusieurs

devrions-nous savoir à propos de ce film, ce courant ou ce réalisateur ? À propos du film… Vol au-dessus d’un nid de coucou est un film américain distribué par United Artists paru 1975, d’une durée de 2h14, réalisé par Milos Forman, qui met en vedette Jack Nicholson, dans le rôle de R.P McMurphy, Louise Fletcher dans celui de miss Ratched et William Redfield en tant que Harding. Le film raconte l’histoire de McMurphy, un homme de 38 ans reconnu coupable de 5 agressions, qui se fait interner pour évaluation

Ensuite, un autre élément que Poulin utilise pour critiquer les stéréotypes est un héros problématique. Le héros * macho +, ambitieux et indépendant est remplacé par Jack Waterman, un écrivain de 40 ans, doux, passif et respectueux, qui n’a pas confiance en lui ou en ses livres. Contrairement au protagoniste traditionnel, Jack n’affirme aucune certitude. Il détient un rapport imprégné d’angoisse tant avec l’écriture qu’=avec la route qu’=il suit. C’est un homme qui a besoin d’être rassuré, c’est

l’histoire se tient bien et l’on prend plaisir à regarder ce film jusqu’à la fin qui par ailleurs mérite d’être vue pour sa formidable chute. On est capturé par les lieux quelque peu inquiétants et les acteurs qui interprètent parfaitement bien leurs rôles (Jack MacGowran dans le rôle du professeur, Roman Polanski interprétant Albert ou bien Sharon Tate alias Sarah). Pour ce qui est de la mise en scène elle me semble bien réalisée pour l’époque à laquelle est sorti ce film, les musiques sont bien choisies

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