Jacques d'Arc

oriental et celtique. Les déplacements humains et objets favorisent en effet le renouvellement des visions et des images. Cette période voit l'émergence de plusieurs phénomènes comme politique-religieuse avec les croisades et le pèlerinage à Saint-Jacques de Compostelle qui relient les cités les plus importantes mais aussi par le culte des reliques. En France, l'art roman atteint son apogée dès la seconde moitié du XIe siècle grâce à sa diffusion depuis l'Abbatiale de Cluny. Dans une société tournée

pas se remarier et de se conssacrer entièrement au metier d’écrivain. Elle composa des traités politiques et philosophiques ainsi que des receuils de Poésie. A la fin de sa vie, elle se retira dans un couvent ou elle écrivit « Un Ditié de Jeanne d’Arc ». Biographie de Joachim du Bellay Joachim du Bellay est un poète francais né vers 1522 à Liré en Ajou, dans le Maine et Loire, et mort le 1er janvier 1560 à Paris. Avec Ronsard, il créa la Pléiade, un groupe de poètes. Son œuvre la plus

Espagne, Portugal), à la suite du mouvement baroque, pour créer un style d'une grande prodigalité, particulièrement dans les églises et dans les lieux sacrés. Le terme « rococo » fut inventé vers 1797 en dérision par Pierre-Maurice Quays, élève de Jacques-Louis David, maître à penser du mouvement des Barbus et chantre d’un classicisme poussé à l’extrême. Il résulterait d’une association du mot français rocaille, qui désigne une ornementation imitant les rochers et les pierres naturelles et la forme

passait aux confins du monde, par l’intermédiaire de l’écrivain. Les exemples foisonnent d’auteurs qui traitent a travers ces récits des relations entre les habitant du vieux continent et les indigènes, par exemple dans Voyages en Nouvelle-France, de Jacques Cartier ou dans Dialogues de monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique , du baron de Lahontan. Mais a travers ces textes, on peut se questionner sur l’image qui est projeté des Sauvages, et des Français. Par exemple, on peut se

symbole de supériorité dans les textes de Cartier et de Lahontan. | |Sous-argument 1.1 |Sous-argument 1.2 | |Selon les contes de voyage de Jacques Cartier, les Français |À première vue, le baron de Lahontan présente la supériorité des | |maintiennent l’hégémonie en séduisant les Amérindiens avec leurs |Français en ayant comme seul critère leur fortune. | |richesses

par les Français comme des gens qui ne sont pas civilisés, qu’il faut éduquer. | |Sous-argument 1.1 |Sous-argument 1.2 | |Jacques Cartier présente la Sauvage un peu comme un animal qu’il faut |Dans l’écrit de Lahontan, le Sauvage est considéré par le | |amadouer, dompter en lui offrant quelque chose, une récompense. |personnage de Lahontan comme fou et n’ayant

Tout d’abord, le rapport qu’entretiennent les Français avec les Sauvages est bien plus dédaigneux dans le texte de Lahontan. Dans le texte de Cartier, les Français encouragent une relation de confiance et de respect avec les Sauvages. les Français encouragent l’échange avec les Sauvages. Par exemple, les Français veulent faire du truc avec les Sauvages et ceux-ci accueillent le chef des Sauvages et trois de ses fils sur leur bateau et les reçoivent à manger tel qu’illustre le passage suivant

Étape 1 : Plan comparatif du développement Dans les textes de Cartier et de Lahontan, le « sauvage » est-il présenté de la même façon ? Point de vue : Oui, il est présenté de la même façon. |Argument principal 1 | |À première vue, le « sauvage » est présenté de façon identique, puisque les deux auteurs évoquent un sentiment de supériorité à son égard. | |Sous-argument 1

façon. Argumentprincipal 1 (caractéristiques communes) À première vue les Français sont présentés de façon similaire dans les deux textes, dans le sens ou la richesse est signe de supériorité. Sous-argument 1.1Sous-argument 1.2 Selon extrait de Jacques Cartier, les Français utilisent leurs richesses pour séduire les Amérindiens. Dans le dialogue de Monsieur le baron de Lahontan, il présente la supériorité desFrançais en ayant comme seul critère l’énumération de leur richesse en bien matériel. (La

politiques de la Réunion) mardi 26 août 2003 Réflexions sur le "droit d’initiative populaire" reconnu dans l’ensemble des collectivités territoriales par la loi constitutionnelle du 28 mars 2003. Adoptée au début du second mandat du Président Jacques Chirac, la loi constitutionnelle du 28 mars 2003 introduit dans la Constitution une série de mesures dont l’objectif est de permettre l’intégration de la France dans une Europe des régions, à la fois fédérale et libérale (J.O.R.F., 29 mars 2003, pp