Jadis et Naguère

pour le transformer en non-lieu. La pièce de Sophie Kam est en effet le site d’un affrontement entre deux camps : l’un utilisant le pouvoir militaire et l’autre prônant un pouvoir civil. Les deux chefs de file de ces deux groupes opposés ont naguère mené le même combat qui semble être celui de l’indépendance du pays. depuis quelques années, cependant, ils se livrent une guerre fratricide dans laquelle l’un, Zié, veut le pouvoir par les armes à tout prix, et l’autre, Massiri, s’y oppose en

bouche, et la physionomie exprimait une résignation qui faisait mal à voir. Quelque secret génie scintillait au fond de ces yeux voilés peut−être par les fatigues du plaisir. Etait−ce la débauche qui marquait de son sale cachet cette noble figure jadis pure et brûlante, maintenant dégradée ? Les médecins auraient sans doute attribué à des lésions au coeur ou à la poitrine le cercle jaune qui encadrait les paupières, et la rougeur qui marquait les joues, tandis que les poètes eussent voulu reconnaître

tombe sur ce son peu agréable: le /i/. Le tiret qui précède le vocatif Fugitive beauté ne fait qu’encadrer l’élément central du poème: le passage-éclair de la PASSANTE. L’ALBATROS Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! En parcourant du regard le poème L’ALBATROS nous regrouperons tous les vers ou fragments de vers qui exaltent la beauté des albatros, ou d’un seul, pour tous : vastes oiseaux des mers (vers 2 ), ces rois

bouche, et sa physionomie exprimait une résignation qui faisait mal à voir. Quelque secret génie scintillait au fond de ses yeux, voilés peut-être par les fatigues du plaisir. Était-ce la débauche qui marquait de son sale cachet cette noble figure jadis pure et brûlante, maintenant dégradée ? Les médecins auraient sans doute attribué à des lésions au cœur ou à la poitrine le cercle jaune qui encadrait les paupières, et la rongeur qui marquait les joues, tandis que les poètes eussent voulu reconnaître

il ne sait comment tenir les serments et les promesses qu’il fit au début de sa folie d’autrefois ; il a maintenant recouvré la raison ; il est devenu sage, et il ne voudrait pas refaire ce que fit l’homme qu’il a été, ni redevenir ce qu’il était jadis. Toutes ces raisons le déterminent à fuir ; il se voit contraint d’éviter celui qu’auparavant il aimait ; et, l’écaille étant retournée, de poursuivant il devient fugitif. Le bien-aimé se voit alors forcé de le poursuivre ; il s’indigne, il jure par

bouche, et la physionomie exprimait une résignation qui faisait mal à voir. Quelque secret génie scintillait au fond de ces yeux voilés peut−être par les fatigues du plaisir. Etait−ce la débauche qui marquait de son sale cachet cette noble figure jadis pure et brûlante, maintenant dégradée ? Les médecins auraient sans doute attribué à des lésions au coeur ou à la poitrine le cercle jaune qui encadrait les paupières, et la rougeur qui marquait les joues, tandis que les poètes eussent voulu reconnaître

mène les troupeaux aux pâturages, mettent le comble à ta honte et à ta ruine. Nous ne sommes que trois ici, bien faibles contre eux  : une épouse sans force, le vieillard Laërte et Télémaque enfant. Celui-ci, des embûches me l'ont presque enlevé naguère. Il prépare, malgré tous, à aller à Pylos. Fasse les dieux que, selon l'ordre accoutumé des destins, il ferme mes paupières et les tiennes. C'est le vœu que font aussi et le gardien de nos bœufs, et la vieille nourrice, et celui dont la fidélité veille

45 Si quelque chat faisait du bruit,Le chat prenait l’argent. À la fin le pauvre hommeS’en courut chez celui qu’il ne réveillait plus.Rendez-moi, lui dit-il, mes chansons et mon somme,Et reprenez vos cent écus. Songe d’un Habitant du Mongol Jadis certain Mogol vit en songe un vizirAux Champs Elysiens possesseur d'un plaisirAussi pur qu'infini, tant en prix qu'en duréeLe même songeur vit en une autre contréeUn ermite entouré de feux,Qui touchait de pitié même les malheureux.Le cas parut étrange

| | |Temps |lieu | |aujourd'hui, autrefois, demain, hier, jadis, maintenant, tout à |à droite, à gauche, en avant, en arrière, en bas, en haut, ici, | |l'heure |là-bas | |opposition, conséquence

antiennes !) BERNIE : C'est un hymne martial !  YANOSH : ... j'ai connu moins jovial... BERNIE : Ah vraiment ? YANOSH : Exemple... (clic) la Mordavie. BERNIE : J'avoue fort mal connaître ce mystérieux pays... YANOSH : Mes aïeux y naquirent...naguère... jadis... d'antan... BERNIE : D'où votre léger accent ?! YANOSH : Maiiiis... je n'ai pas d'accent ! BERNIE : Ah ben... euh... ggggh ! Nous avons versé notre sang pour ta gloire, Mais maintenant, c'est le tien qu'on va boire... Sus au "cou" par