Jamais sans ma fille

Dégager les caractéristiques des personnages a) Les parents : influençable, impressionnable, naïf Christa : Narcissique, mal dans sa peau, menteuse b) Blache : Blanche est une jeune fille qui manque de confiance en elle. Elle envie les personnes qui ont des amis car elle n’en a jamais eu. Lorsqu’elle se compare aux autres elle se croit différente et elle se dit que leurs vies sont mieux que la sienne. Cependant, quand, grâce à Christa, Blanche commence à fréquenter d’autres personnes

". Eh bien je me nomme Afafe, un nom rare mais qui a beaucoup de significations, je veux transmettre au gens a qui j'ai eu le pouvoir de leur avouer mon amour a voix haute ou basse et a ceux à qui je n'en ai jamais eu le culot, je veux leur accentuer a quel point ils ont compté pour moi, et a quel point leur existence me noyer de plaisir. Je promets de laisser libre cours à mes pensées, et je citerais les détails les plus alarmants comme les plus beaux car ce que j'ai vécu mérite d'être raconté

s’amuser …..  25 Décembre 2013. Oui c’est Noël, je ne peux pas dire que je n’ai rien eu bien au contraire : ordinateur portable, une bague serpent, marque page, et bon d’achat ….Non je tiens à le dire j’ai été gâté. Les fêtes de fin d’année ce n’est jamais ce que je préfère parce que bien sûr tu n’es pas là mais il faut faire avec, et je dirai que enfin cette année j’ai tourné une page, une page bien lourde à porter mais beaucoup de monde a été là pour m’aider justement : Maman, Mathilde, et mes amis

légers pour le pot d’argile brune d’où s’élancent les œillets ou les rosiers d’une pauvre ouvrière. Plus loin, c’est des portes garnies de clous énormes où le génie de nos ancêtres a tracé des hiéroglyphes domestiques dont le sens ne se retrouvera jamais. Tantôt un 7 protestant y a signé sa foi, tantôt un ligueur y a maudit Henri IV. Quelque bourgeois y a gravé les insignes de sa noblesse de cloches, la gloire de son échevinage oublié. L’Histoire de France est là tout entière. À côté de la

Mercure, c'est l'histoire de la belle infirmière Françoise qui s'occupe d' Hazel, une jeune fille qui habite sur une île déserte et isolée du monde avec le Capitaine Omer Loncours, un homme beaucoup plus âgé qu'elle. À la suite d'une attaque aérienne, la jeune fille est horriblement défigurée et souffre de malaises psychosomatiques. Par pure bonté d'âme, comme il fait croire à sa pupille Hazel, ou plutôt par un singulier mystère, le vieillard interdit toute surface réfléchissante dans son manoir

Ne me quitte pas. Tu changes. J'ai peur, de toi, de moi, de tout. Mais à chaque moment, souviens toi que moi, où que je sois, je pense à toi. A travers cet étrange voile sonore, je ne percevais plus qu'une seule chose : la présence de Peyton, le fille dont les dessins, la passion et la beauté avaient changer ma vie. A ce moment là, ma plus grande joie n'était pas d'avoir remporté le championnat mais d'avoir enfin ouvert les yeux. Je venais de comprendre que nous étions vraiment fait l'un pour l'autre

cauchemars frustrants mais cela n’empêche d’y jouir pleinement. Source de romantisme et lieu d’évasion, je ne cesse de décrire celle qui n’existera qu’en la nuit, que dans ma nuit à moi. Cette fille qui bouleversera tout en moi, à qui j’obéirai, cette fille qui m’obsédera, cette fille qui n’a jamais existé. J’en profite pour se défouler, pour assister à des spectacles dans ce palais sans lumières mais avec beaucoup d’étoiles. La nuit, c’est tout ce qui est beau à voir et aveugle, c’est tout

hasard, ni de rencontres trop tard Quand je me donne c'est vraiment, j'attendrais que tu m'attendes... Tellement de choses ont changées depuis ce temps, j’aimerai redevenir cette petite fille qui ne se souciait de rien la petite fille qui jouais aux barbies ou aux poupées.. Mais malheureusement cette petite fille a grandi.. "Un vrai mec assume son amour. Un vrai mec amoureux parle de toi a ses copains, te mets dans son pseudo, s'en fiche de ceux que pense les gens de vous, t'envoies des messages

À leur mort, un oncle avait envoyé l'enfant en pension. Puis, l'oncle lui-même était parti, et Julien, depuis cinq ans, remplissait à la poste de P*** un petit emploi d'expéditionnaire. Il touchait quinze cents francs, sans espoir d'en gagner jamais davantage. D'ailleurs, il faisait des économies, il n'imaginait point une condition plus large ni plus heureuse que la sienne. Grand, fort, osseux, Julien avait de grosses mains qui le gênaient. Il se sentait laid, la tête carrée et comme laissée

qui s'arrêta seule dans la cour, pendant qu'un homme d'un âge avancé, qui paraissait lui servir de conducteur, s'empressait pour faire tirer son équipage des paniers. Elle me parut si charmante que moi, qui n'avais jamais pensé à la différence des sexes ni regardé une fille avec un peu d'attention, moi dis-je, dont tout le monde admirait la sagesse et la retenue, je me trouvai enflammé tout d'un coup jusqu'au transport. J'avais le défaut d'être excessivement timide et facile à déconcerter ;