Jardins du Trocadéro

Ça fait trois jeudis de suite qu’Ivan sèche les cours pour se préparer. Regarde.. Tadaaa... PAUL Oh putain, mais c’est une idée épouvantable ! DELPHINE Mm... PAUL Tu l'as dit à Papa ? DELPHINE Ah non, non... Moi je t’attendais. 47. ext. Jardin – NUIT PAUL Ça va ? IVAN Mm... PAUL A quoi tu songeais? IVAN Je disais ‘merci’…  PAUL Oh putain Ivan.. Arrête avec tes prières, j’te jure, ça sert à rien… T'es chiant ! Rends moi ton chapelet. Delphine me dis que tu veux faire un hold-up ? T'

vapeur bleuâtre qui achevait de donner aux lointains un charme exquis, un air d'adorable fausseté. Sur l'autre rive, le Chalet des Iles, comme verni de la veille, avait des luisants de joujou neuf ; et ces rubans de sable jaune, ces étroites allées de jardin, qui serpentent dans les pelouses et tournent autour du lac, bordées de branches de fonte imitant des bois rustiques, tranchaient plus étrangement, à cette heure dernière, sur le vert attendri de l'eau et du gazon. Accoutumée aux grâces savantes de

affaires. Les chambres offrent un service hôtelier, mais la variété des services permet avant tout à l’habitué des salles d’embarquement ou de réunion de se retrouver pour quelques nuits dans un Home Sweet Home éphémère. Toujours à Paris, place du Trocadéro, La Réserve, petit frère du luxueux hôtel genevois, dispose d’une vue imprenable sur la Tour Eiffel. Avec un prix minimum de 6 500 euros pour trois nuits et 13 000 euros la semaine pour un appartement de 150 mètres carrés, il se pose en concurrent

vapeur bleuâtre qui achevait de donner aux lointains un charme exquis, un air d’adorable fausseté. Sur l’autre rive, le Châlet des îles, comme verni de la veille, avait des luisants de joujou neuf ; et ces rubans de sable jaune, ces étroites allées de jardin, qui serpentent dans les pelouses et tournent autour du lac, bordés de branches de fonte imitant des bois rustiques, tranchaient plus étrangement à cette heure dernière, sur le vert attendri de l’eau et du gazon. Accoutumée aux grâces savantes

s'étendait devant lui. Le toit du célèbre musée offrait une vue impressionnante sur les monuments de la rive droite : l'immense palais du Louvre débordant de sculptures, la basilique meringuée du Sacré-Cœur, la coupole du Grand Palais, la grande roue du jardin des Tuileries et le dôme vert et or de l'Opéra Garnier. Plongée dans la nuit, la capitale avait un aspect intemporel. C'était le Paris d'Arsène Lupin, celui du Fantôme de l'Opéra. Archibald enfila des gants d'assurage, détendit ses muscles et déroula

s'étendait devant lui. Le toit du célèbre musée offrait une vue impressionnante sur les monuments de la rive droite : l'immense palais du Louvre débordant de sculptures, la basilique meringuée du Sacré-Cœur, la coupole du Grand Palais, la grande roue du jardin des Tuileries et le dôme vert et or de l'Opéra Garnier. Plongée dans la nuit, la capitale avait un aspect intemporel. C'était le Paris d'Arsène Lupin, celui du Fantôme de l'Opéra. Archibald enfila des gants d'assurage, détendit ses muscles et déroula

dirais qu'aujourd'hui l'essentiel, c'est de ne pas participer. Il faut foutre le camp comme Gauguin, Rimbaud ou Castaneda, voilà tout. Partir sur l'île déserte avec Angelica qui met de l'huile sur les seins de Juliana qui te pompe le dard. Cultiver son jardin de marijuana en espérant seulement qu'on sera mort avant la fin du monde. Les marques ont gagné la World War III contre les humains. La particularité de la Troisième Guerre mondiale, c'est que tous les pays l'ont perdue en même temps. Je vous annonce

II ANGLE DES AV. HEDI NOUIRA (71) 828.700 ET NLLE ERE LA MARSA CORNICHE AVENUE H. BOURGUIBA (71) 983.150 ETTAHRIR RESIDENCE ZARROUK, (71) 505.416 ROUTE KSAR SAID EL MENZAH RUE 7400 LES JARDINS (71) 887.711 D'EL MENZAH EL MENZAH VI CITE JAMIL-EL MENZAH VI (71) 767.022 LA MARSA CORNICHE TUNIS ETTAHRIR TUNIS JARDIN D’EL MENZAH ARIANA EL MENZAH VI ARIANA 114 RÉSEAU DES BANQUES ■ Rapport Annuel 2005 ASSOCIATION PROFESSIONNELLE TUNISIENNE DES BANQUES & DES ETABLISSEMENTS FINANCIERS ■ AMEN

reprocher de laisser son fils s‟abrutir devant des niaiseries. On ne parle pas assez de ces pères démissionnaires qui prétendent être modernes parce qu‟ils ont changé une couche dans leur vie ou qu‟ils jouent au foot une fois par mois avec leur fils au jardin en disant fièrement à leur progéniture « plus tard, tu seras Zidane ». 20h30 : arrivée de Philippe. Comme le matin, échange formidable entre nous deux, je lui demande « alors, bonne journée, pas trop dur ? » et, comme au réveil, je m‟aperçois que

aux peintures de l’impressionniste. En charge du projet, l’architecte Michel Savarin a modernisé les lieux et redonné de l’éclat à certaines toiles majeures, les accrochant directement sur des supports de verre qui font écho aux vues extérieures du jardin environnant. Une totale réussite. Après la grande exposition personnelle consacrée à Berthe Morisot – la première depuis près d’un demi-siècle – le Musée Marmottan Monet qui a attiré l’an passé plus de 300 000 visiteurs, présentera à partir du 13