Je Fais Souvent Ce Rêve Etrange Et Pénétrant

papillon le destin enchanté! Il ressemble au désir, qui jamais ne se pose, Et sans se satisfaire, effleurant toute chose, Retourne enfin au ciel chercher la volupté! PAUL VERLAINE (1844-1896) Poème: "Mon rêve familier" Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D’une femme inconnue, et que j’aime, et qui m’aime, Et qui n’est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m’aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon coeur transparent Pour elle seule

folie, 1685 * Alfred de Musset : Une bonne fortune, XIX° siècle * Victor Hugo, Les femmes sont sur terre, 1856 * Charles Baudelaire : La mort des amants, 1857 * Charles Baudelaire : Le désir de peindre, 1863 * Paul Verlaine : Mon rêve familier, 1866 * Leconte de Lisle : Fille aux cheveux de lin, XIX° siècle * Paul Eluard : La courbe de tes yeux, 1926 * Louis Aragon : Il n’y a pas d’amour heureux, 1946 * Paul Eluard, Je t’aime, 1951 Liste des poèmes : * Louise

d’un vers se développe au vers suivant. Ex : « Souvenir, souvenir que me veux-tu? L'automne Faisait voler la grive à travers l'air atone » (Verlaine) Exercices 1- Faites le découpage syllabique du poème suivant Mon rêve familier Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur transparent Pour elle seule

bouleverser le ciel et la terre et soulever de telles masses ? J’ai envie de vous… ! Mais il faut d’abord apaiser les flots déchaînés… » (Virgile, l'Enéide) | Une assonance | Répétition d’une même voyelle dans un groupe de mots | « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant […] » Poèmes saturniens ,Verlaine | Une asyndète | suppression des particules de coordination dans l’ordre grammatical ou sémantique | " L'Arbre tient bon; le roseau plie" (Le chêne et le roseau, La Fontaine) | Un chiasme | A-B-B-A

présence des rimes croisés. C'est un poème original par le temps que Alphonse Allais à décidé d'utiliser : au lieu d'utiliser de l'imparfait ou de présent (les temps les plus courants), il utilise le passé simple ce qui donne une sonorité plutôt étrange, qui peut surprendre à la lecture. Dernier Vœu – Théophile Gautier C'est un poème rédigé en quatre quatrain d'alexandrins de rimes croisées en octosyllabes. Ce poème est un aveu : il avoue à une femme qu'il l'aime depuis longtemps avant de mourir

Procédé Définition Exemple Effet général éventuel (c'est souvent le contexte qui en détermine l'effet) comparaison la comparaison comporte trois éléments : le comparé - l'outil de comparaison - le comparant « Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir », Baudelaire, Les fleurs du Mal Permet de construire une image (ici, la femme devient un objet religieux, l'ostensoir, ce qui la sacralise) métaphore Comparaison implicite (sans outil de comparaison). « Le soleil s'est noyé dans

1ere ST2S Anthologie poétique Paul Verlaine Table de matiere Pablo Picasso, Femme assise (Dora Maar), 1941 Mon rêve familier Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seule, hélas ! Cesse d'être un problème Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême, Elle

ou de voyelles. - l’allitération est la répétition du même son produit par une consonne. Ex. « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » - l’assonance est la répétition du même son produit par une voyelle. Ex. « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant » 

Vieille chanson du jeune temps Victor Hugo – Les feuilles d'automne 1831 – A une femme Charles Baudelaire – Les fleurs du mal 1857 – Tout entière Charles Cros – Le collier de griffes 1908 – Cueillette Paul Verlaine – Poèmes saturniens 1866 – Mon rêve familier Vieille chanson du jeune temps Je ne songeais pas à Rose ;Rose au bois vint avec moi ;Nous parlions de quelque chose,Mais je ne sais plus de quoi.J'étais froid comme les marbres ;Je marchais à pas distraits ;Je parlais des fleurs, des

chasseresse sans chance / de son sein choie son sang sur ses chasselas » (Desnos, Corps et biens, « Chanson de chasse »). Assonance (féminin) : répétition d’une même voyelle dans une phrase ou un vers. « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant *…+ » dans « Mon rêve familier » de Paul Verlaine Antithèse (féminin) : procédé qui consiste à rapprocher deux pensées, A propos de Quasimodo : deux « à la perfection de sa laideur » (Hugo, Notre-Dame de expressions, deux