Je Fus Comme Fou

d'ouvrir le quatrième manioc un policier en tenue et bien armé l’empêchât d'ouvrir le quatrième et lui dit Mr si vous ouvrez ce manioc je tue le mangeur de manioc lui dit n'ai-je pas le droit de manger à ma faim?et le policier lui répond : oui mais pas comme ça Mondo dans un restaurant.  Mondo:bo pesa ngai sprite moko.  le serveur:te mokonzi ba lobaka sprayte et non sprite.  mondo:ok kasi pesa ngai pe plat moko ya frayte.  le serveur:te mokonzi ba lobaka frite.  mondo:yo zoba gai moko na tangi sprite

Le vieux fou du dessin I. Description de l’ouvrage Auteur et illustrateur: Le vieux fou du dessin est une œuvre de François Place publiée en 1997. F; Place est un auteur illustrateur de littérature de jeunesse en particulier. Né dans le Val d’Oise en 1957, il suivra des cours d’art et publiera ses premières illustrations pour la jeunesse en 1983. Son talent sera révélé avec l’ouvrage : Les derniers géants livre publié en 1992 qui recevra de nombreux prix. Style de l’illustrateur Dans

L’écume des jours de Boris Vian, le thème de l’amour fou caractérise particulièrement le chapitre XI. Il est possible d’observer ce thème par le biais de la rencontre entre deux des personnages, qui sont, Colin et Chloé. Leur rencontre traduit bien l’amour fou, puisqu’il s’agit d’un « coup de foudre ». Comme il possible de le voir à la page 31, lorsque Isis, un des personnages, présente Chloé à Colin « Colin avala sa salive. Sa bouche lui faisait comme du gratouillis de beignets brûlés » (lignes 844-845)

puis demanda : « -Est ce qu’il y a quelqu’un ? » Aucun son ne provint de l’intérieur comme si l’endroit était abandonné depuis plus de 3 ans. Elle poussa la porte, la chambre n’était pas fermée, elle douta un instant avant d’y pénétrer. Mais finit par se décider. Erreur fatale. Puisque à peine arrivée sur le seuil de la porte, un homme d’une trentaine d’années la menaça avec un fusil à pompe qui comme accessoire portait à l’extrémité un silencieux. Il lui dit d’une voix menaçante. « -Avance 

Ici, Dubois révèle le mal de Dorante en créant un comique de geste comme l’indique la didascalie « il se touche le front ».On observe alors que la scène devient alors réélement comique. La comparaison à valeur hyperbolique « timbré comme cent » vient alimenter le blâme que Dubois fait de son maître pour ensuite mieux faire son éloge. Puis, Araminte est surprise de la confidence de Dubois car celle-ci contredit les apparences, comme l’indique le verbe « paraître » : « il m’a paru de très bon sens »

Yue Minjun, L’ombre du fou rire Jusqu’au 17 mars 2013, une grande exposition consacrée à l’artiste chinois Yue Minjun, l'un des noms le plus reconnus de l'art contemporain chinois d’aujourd’hui, est présentée à Paris par la Fondation Cartier pour l'art contemporain. C’est la première exposition majeure de l'artiste en Europe. Sous le titre de « L'ombre du fou rire », l’exposition a rassemblé une quarantaine de toiles les plus emblématiques issues des collections du monde entier, ainsi qu'une centaine

intellectuelle ! Être clercs leur procurait des privilèges, mais cela pouvaient être gênant pour certaines activités considérées comme incompatibles avec la clergie. Ainsi par exemple, on ne pouvait pas être clercs et tavernier ; un clerc veuf n'avait pas le droit de se remarier ; un clerc célibataire ne pouvait pas épouser une veuve. Un veuf se remariant était considéré comme bigame. Cette question agitait beaucoup Arras au XIIIème siècle. Les Papes fulminaient contre les clercs bigames. Le débat

littéraire appeler le Fantastique rencontre un essor inattendu ,grâce à des œuvres écrit par des auteurs tel que Guy de Maupassant qui écrivit le  Horla  et  La chevelure ou bien Bram Stocker auteur de l’œuvre connu de tous  Dracula .Certain dirons comme R. Caillois « le fantastique manifeste… une déchirure, une irruption insolite…dans le monde réel »et d’autre tel que T.Todorov « Le fantastique ,c’est l’hésitation éprouvée par un être qui ne connait que les lois naturelles, face à un événement en

Maupassant Texte La Chevelure GdeM Travail a faire | 1/Lire le texte (activement : crayon a la main) 2/Résumer la nouvelle en 5.6lignes Le narrateur est en visite dans un asile de fou et son attention est capté par l'un des pensionnaire, le médecin lui donne a lire un cahier dans lequel le fou relate son aventure et donne l'origine de sa folie. En chinant il trouve un meuble qui contient une longue natte de cheveux, son esprit fait venir au pres de lui la propriétaire de cette chevelure

meurtrie, par contre, le personnage principale de l'histoire semble être en amour avec cette occupation qu'est la chasse. Maupassant décrit cette scène de façon à mettre en valeur cet amour. L'ambiance est décrite de façon passionnée : «Rien de m'émeut comme cette première clameur de vie qu'on ne voit point et qui court dans l'air sombre, si vite, si loi, avant qu'apparaisse à l'horizon la première clarté des jours d'hiver.» explique le personnage principal. Dans l’Auberge, en quoi l’espace et le