Je m'en vais

- Avez vous visité Souk Ahras, la région de votre père ? Je n’ai jamais été à Souk Ahras. Je n’ai plus personne là-bas. La maison de mon père n’existe plus. Qu’est-ce que je vais voir là-bas ? Je vais aller pleurer ? Mais je garde un bout de terre de Souk Ahras avec moi. Mon père a tout fait pour que je reste algérienne malgré que je sois née à Paris. C’est lui. Il m’a rempli la tête de l’Algérie. On ne doit jamais oublier ses origines. Mon algérianité est toujours présente. Même en Egypte, les

Apollinaire EL 1 : « Le pont Mirabeau », Alcools, Guillaume Apollinaire, 1913 Dans ce poème, Apollinaire évoque sa rupture avec l’artiste peintre Marie Laurencin. Sous le pont Mirabeau coule la Seine
             Et nos amours
        Faut-il qu'il m'en souvienne
 La joie venait toujours après la peine
  
      Vienne la nuit sonne l'heure 5
      Les jours s'en vont je demeure
   Les mains dans les mains restons face à face
             Tandis

[…] il y a encore deux mois j‘y allais pratiquement tous les jours. Ca fait bizarre, je m’ennuie maintenant […] C’est pour ça je ne sors plus, c’était le seul endroit où j’allais … bah maintenant je reste chez moi et quand je promène mon chien je vais pas de ce coté là ». Ce bouleversement amène Monsieur M. a arrêter l’entretien, il semble être déstabilisé par ce qu’il venait d’exprimer. Ce choc met en évidence la non élaboration par la Moi de la perte de sa mère auprès de laquelle il retrouver

pourrais montrer mon intérêt. Au lieu de ça je me laisse conter fleurette par des hommes qu'il me faut ensuite écarter habilement. De toute façon, je laisse tomber. Dans ce milieu, dans ce pays, c'est sans avenir. Manuela arrive demain et tant mieux. Je vais lui faire faire des visites culturelles, on va se gorger de Kunsthistorisches Museum ; faire mes devoirs de grande sœur me changera les idées. Soyons lucide, ma vie est dans une impasse, je n'aime personne assez longtemps pour dire même que j'aime

exprimer ce qu'il ressent à l'intérieur de lui. Chanson d'automne Les sanglots longsDes violonsDe l'automneBlessent mon coeurD'une langueurMonotone.Tout suffocantEt blême, quandSonne l'heure, | Je me souviensDes jours anciensEt je pleure Et je m'en vaisAu vent mauvaisQui m'emporteDeçà, delà,Pareil à laFeuille morte. Paul Verlaine Paul Verlaine, poète français né le 30 mars1844, sa famille appartenait à la bourgeoisie. Il s'installe à Paris en 1851. Passionné de dessin et de littérature depuis

quoi faire. J’étais pris au piège Frère Yvon. Tu as pas l’air de comprendre ce que ça implique de vendre des travaux Michel. Je voulais juste un peu d’argent pour aller voir un pièce de théâtre Frère Yvon, sur une voix furieus. Tu essaye encore de m’en passer une hein? Michel. Non, mais je veux juste…. Frère yvon frappe sur le bureau avec sa main Frère Yvon, en colère. ¨ca suffit! Tu as fini de me mener en bateau Michel Tremblay Michel. C’est vrai je vous dit la vérité! Frère yvon. Petit insolant

L'institutrice demande : - Jim, si tu courtiserais une fille éduquée lors d'un dîner et que tu avais besoin d'aller aux toilettes que dirais-tu ? - Attends je vais pisser ! - Non c'est grossier ! Et toi Michel serais-tu capable de montrer les bonnes manières ? - Je dirais, ma chère pardonnez-moi de m'absenter je m'en vais tendre la main à un ami intime que j'espère pouvoir vous présenter après le dîner ! - Le jour de la confession : - Voilà, mon père. Hier, j'ai fait l'amour

Chanson policier Je m'en souviens comme simple comme le jour Bien que cela s'est passé dans l'obscurité de la nuit. J'ai été promener dans les rues de paris Et il faisait froid, il commence à pleuvoir. Et puis j'ai entendu un cri perçant Et je me suis précipité sur les lieux du crime Mais tout ce que j'ai trouvé a été abattu le reste Deux jeunes filles de poser à côté de l'autre. Meurtres dans la rue morgue Quelqu'un appelle les gendarmes Meurtres dans la rue morgue Exécuter

---- «Parfois, il est difficile de tourner la page mais lorsque tu le fais, tu réalises que c'était la meilleure décision à prendre»  ----------------------------------------------------------------------------- Je m'appelle Cassie Blackwell, je vais avoir 18 ans l'été prochain. Je reviens dans ma ville natale ''Houston''. Il y a des chose que j'aimerais fuir mais contre la violence, la mort, la tristesse, l'amour et l'amitié,on y peux pas grand-chose à par être présent auprès de ses amis qui

Mais demeurant et contemplant j’invente Des espaces interminables au-delà, de surhumains Silences et une si profonde Tranquillité que pour un peu se troublerait Le cœur. Et percevant Le vent qui passe dans ces feuilles- ce silence Infini, je le vais comparant A cette voix, et me souviens de l’éternel, Des saisons qui sont mortes et de celle Qui vit encor, de se rumeur. Ainsi Dans tant d’immensité ma pensée sombre, Et m’abimer m’est doux en cette mer. Version Originale : Sempre caro mi