Je m'en vais

suicider Mes potes toujours là pour m’en dissuader Les problèmes toujours là pour me faire chuter Heureusement les frères sont là pour me relever Maintenant je suis fort Ton cul je le prends à bras le corps Toujours là pour mes frères La vie est une pute faudra pas ce laissez faire J’ai bédaver pour oublier Maintenant mes parents sont divorcés J’ai envie de retrouver les doux bras de Morphée J’essaye de ne pas succomber Mais si je vois un 10balles je vais m’éclater Avec ma frappe t’est

compliments me charment; vous avez coutume de m'en faire à coups de gourdin qui ne valent pas ceux-là; et le gourdin est dans la chaloupe. IPHICRATE. − Eh ne sais-tu pas que je t'aime ? ARLEQUIN. − Oui; mais les marques de votre amitié tombent toujours sur mes épaules, et cela est mal placé. Ainsi, tenez, pour ce qui est de nos gens, que le ciel les bénisse ! s'ils sont morts, en voilà pour longtemps; s'ils sont en vie, cela se passera, et je m'en goberge. IPHICRATE, un peu ému. − Mais j'ai

oh ! Mais… SOLANGE, se rapprochant et prenant de l’assurance –Oui madame, ma belle madame. Vous croyez que tout vous sera permis jusqu’au bout ? Vous croyez pourvoir dérober la beauté du ciel et m’en priver ? Choisir vos parfums, vos poudres, vos rouges à ongles, la soie, le velours, la dentelle et m’en priver ? Et me prendre le laitier ? Avouez ! Avouez le laitier. Car Solange vous emmerde ! CLAIRE, lui faisant les gros yeux et lui murmurant- Claire ! Claire ! SOLANGE- Hein ? CLAIRE, rectifiant

adresser la parole pendant des mois, des jours ou je me posais encore la même question sur toi, et un jour tu viens me voir et tu t’excuses de tout ce que tu m’as fait ? Mais qu’est-ce que tu veux que je te réponde ? Je vais pas dire que je suis contente de te revoir et que je vais te faire un câlin, car je suis toujours en colère contre toi, tu m’a déçu, tu m’a trahis, tu m’a blessé, tu m’a détruite, et puis après tu me demandes de te pardonner tout ce que tu m’a fais pendant les mois que j’ai subis

trouver un fournisseur de confiance. OUSAMA  Vous ne trouvez pas que les membres commencent à désobéir des règles ? PUYO  Oui, tu as raison. J’ai aussi cette impression. SANCHEZ Je vois qu ‘il est temps de faire un nettoyage. OUSAMA  Je m’en occupe, si tu veux. PUYO  Ne te prive pas ! On est discipliné ici ! SANCHEZ  Occupe-toi de tes affaires ! PUYO  Il ne faut pas salir les mains, donne le travail à nos pillons. SANCHEZ  Exactement ! PUYO  Mais si on se débarrasse

charment ; vous avez coutume de m'en faire à coups de gourdin qui ne valent pas ceux-là, et le gourdin est dans la chaloupe. IPHICRATE. Eh ! ne sais-tu pas que je t'aime ? ARLEQUIN. Oui, mais les marques de votre amitié tombent toujours sur SCÈNE PREMIÈRE 5 L'Île des Esclaves mes épaules, et cela est mal placé. Ainsi tenez, pour ce qui est de nos gens, que le ciel les bénisse ; s'ils sont morts, en voilà pour longtemps ; s'ils sont en vie, cela se passera, et je m'en goberge. IPHICRATE, un peu

Malheureusement t’as pas fais attention. T’as jamais su ce que tu es pour moi. Et puis, tu m’a fais mal. Je ne vais pas citer ce qu’on a eu par détails car ca n’a plus d’importance. Maintenant j’essai encore de m’en sortir, de tous les manières. Mais avant que je le fasse, avant de te faire écraser de ma vie, avant de te bloquer de ma tête et de mon profil je vais me donner une chance et je vais retourner la ou tout a commencé, la ou je t’ai vu pour la première fois, a l’endroit ou mon cœur était volé

mort sans pitié va bientôt arriver. Je ne veux même plus me regarder tellement je ne me ressemble plus. Malgré leurs efforts, même les meilleurs médecins ne peuvent rien pour moi. Je vais quitter la Terre pour aller en enfer. Mes amis doivent être tristes de me voir ainsi. Au revoir mes amis et mes confrères. Je vais vous attendre dans l'au-delà. Il apparaît évident dans ce sonnet que le thème de la mort domine. Un champ lexical comprenant les mots comme «Os», «squelette», «peur», «adieu », «corps»

de bonne humeur. Mais bon sang dis-leur que je n'ai rien, qu'ils se sont trompés et que je me porte bien. Ils ont dû faire une erreur, je sens encore battre mon coeur. S'il te plait, ne leur demande pas de vérifier, demande-leur juste de me laisser m'en aller. Je ne veux pas les écouter ni les croire. Je ne veux pas quitter ce monde, mais dis-leur, à ces foutus médecins, qu'ils ont échoué. Dis-leur qu'ils doivent encore me sauver. Supplie-les comme je le fais. Je ne veux pas partir. J'ai déjà tellement

et chaque action que fait l'un, l'autre le subit par exemple:Mercure sous la forme de Sosie va voir la femme de Sosie, Cléanthis et il la traite comme une moins que rien et quand le vrai Sosie rentre à la maison, Cléanthis lui met une claque. Je vais justement lire un extrait de la scène ou Sosie revoit sa femme pour la première fois: Acte 2 Scène 3 Cleanthis : Tu n'appelles donc rien le procédé,peut-étre, qu'avec moi a tenu ton cœur ? Sosie : Et quel ? C:Quoi ? Tu fais l'ingénu ? Est-ce qu'à l'exemple