Je Ne Suis Pas Si Seul De Paul Eluard

aux catholiques son Discours sur les misères de ce temps. Elles peuvent être politiques, comme lors de la seconde guerre mondiale où plusieurs poètes s’opposent à l’occupation nazie, notamment René Char avec Les feuillets d’Hypnos, Robert Desnos, Paul Eluard avec les poèmes Liberté, Au rendez-vous des Allemands, ou sous le règne de Napoléon III où Victor Hugo rédige Les Châtiments, une arme destinée à abattre le régime. Ce dernier a aussi défendu des causes sociales, comme dans le poème Melancholia

sens d'un texte. Pas d'autorité de l'auteur. Quoi qu'il ait voulu dire, il a écrit ce qu'il a écrit. Une fois publié, un texte est comme un appareil dont chacun peut se servir à sa guise et selon ses moyens.»   Comment comprenez-vous cette opinion de Paul Valéry ?   Les termes du sujet : il invite à examiner la notion de « sens », entendu à la fois comme direction à faire prendre au texte et interprétation de son contenu.   Le libellé du sujet : il s'agit d'une question ouverte vers une appréciation

langue Comme à Babel Fermons nos portes À double tour Chacun apporte Son seul amour Guillaume APOLLINAIRE La Géante Du temps que la Nature en sa verve puissante Concevait chaque jour des enfants monstrueux, J'eusse aimé vivre auprès d'une jeune géante, Comme aux pieds d'une reine un chat voluptueux. J'eusse aimé voir son corps fleurir avec son âme Et grandir librement dans ses terribles jeux ; Deviner si son coeur couve une sombre flamme Aux humides brouillards qui nagent dans ses

DISSERTATION « Ma Bohême », « Demain dès l’aube », « El Desdichado », « Parfum exotiques »…autant de poèmes où les auteurs accordent la prééminence à l’expression des sentiments personnels. Et si ils ne sont pas amoureux, nous retrouvons une véritable plainte élégiaque. Cette omniprésence mérite que nous nous interrogions sur l’image que nos lectures de poèmes nous ont laissées. La poésie est-elle vouée à l’expression des sentiments personnels ? Pour répondre à cette question nous nous intéresserons

*Salvador Domingo Felipe Jacinto* Dalí "A six ans je voulais être cuisinier. A sept ans Napoléon. Depuis, mon ambition n'a cessé de croître comme ma folie des grandeurs." - Salvador Dali Toute sa vie, Salvador Dali aura été un personnage à lui tout seul ! Né le 11 mai 1904 en Catalogne, ses parents lui donnent le nom de son frère aîné, décédé un an auparavant. Un événement qui pourrait expliquer sa mégalomanie légendaire Le jeune Salvador commence à dessiner très tôt : à sept ans, il peint son premier

vingt-six ans, Picasso décide d’abandonner la peinture réaliste qui est liée à l’apparence extérieure des | |objets. Il entre dans une nouvelle phase marquée par l’influence des arts grecs, des arts africains et de Paul Cézanne. Il commence à peindre les visages | |comme si c’étaient des masques, en géométrisant le réel et en multipliant les points de vue pour représenter un objet. Les objets sont fragmentés en | |plusieurs facettes permettant de les observer sous différents angles

l'ombre épaisse. Le printemps embaumait, moins que votre jeunesse ; Les astres rayonnaient, moins que votre regard. Moi, je parlais tout bas. C'est l'heure solennelle Où l'âme aime à chanter son hymne le plus doux. Voyant la nuit si pure et vous voyant si belle, J'ai dit aux astres d'or : Versez le ciel sur elle ! Et j'ai dit à vos yeux : Versez l'amour sur nous ! Jacques Prévert (1900-1977) Le cancre Il dit non avec la tête Mais il dit oui avec le cœur Il dit oui à ce qu'il aime

Trouvez des reproductions d'œuvres surréalistes. Séance 2 Dominante : argumentation. Sous dominante : genres et registres. Support : BRETON, extrait de l'Union libre + BRETON, extrait de Nadja ( doc 3 et 4) Activité : après vérification et, si besoin, rectification des définitions du Surréalisme, les élèves sont invités à produire un écrit visant à convaincre "En quoi ces deux textes sont-ils surréalistes ?" NB : Une séquence ayant porté sur le registre fantastique en début d'année, certains

Nerval | | | | |- « La courbe de tes | | | | | |yeux » Eluard | | | | | |- « Il n’aurait fallu… » | | | | |

Il pleure dans mon cœur ( paul verlaine) Il pleure dans mon cœurComme il pleut sur la ville ;Quelle est cette langueurQui pénètre mon cœur ?Ô bruit doux de la pluiePar terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s'ennuie,Ô le chant de la pluie !Il pleure sans raisonDans ce cœur qui s'écœure.Quoi ! nulle trahison ?...Ce deuil est sans raison.C'est bien la pire peineDe ne savoir pourquoiSans amour et sans haineMon cœur a tant de peine ! Chanson d'automne Paul verlaine Les sanglots longsDes violonsDe