Je vais craquer

 Chapitre 1 : La rentrée Cher journal, je viens de t’avoir alors je vais me présenter. Je m’appelle Natacha Spencer, j’ai 16 ans et je vis dans une banlieue de Bordeaux avec toute ma famille : mes parents, ma grande sœur, mon petit frère et notre petit caniche blanc Duffy. Je suis plutôt grande avec une forme ‘’athlétique’’ mince, vue que je fais du basket, même si j’ai une poitrine assez prononcé et un derrière moyen. J’ai de longs cheveux, châtins clairs avec des mèches blondes lisses et une

gueule pour dire de la merde. Il y a n raisons qui me poussent à vous raconter, ce que je vais vous raconter ici. J’ai l’an dernier, passé, sûrement l’une des meilleurs années de ma vie. J’ai renforcé et fait des liens avec des gens qui sont désormais incassables. Vos prédécesseur sont, et j’espère vous aussi, des gens extraordinaires. Et c’est pour cela que je veux vous les faire connaître. Je vais faire cela a travers quelques anecdotes. Ces histoires ne sont pas inconnus de tous, en effet

CHAPITRE 1. Théa est une belle blonde aux yeux verts. Elle a tout pour faire craquer les hommes, mais n’en a qu’un depuis ses quatorze ans. Elle n’en a jamais connu d’autre, elle ne connaît donc pas la souffrance de l’amour. Son copain était d’ailleurs le meilleur ami de son frère. Elle craquait dessus depuis ces onze ans. C’est la plus jeune d’une famille de quatre enfants. Théa a toujours été chouchoutée par ces sœurs, son frère et ses parents. Son frère était tout pour elle, elle ne voyait

garçon de ma classe parce qu’il ce moquais de ma mère. Il n’a jamais recommencer. Vous vous demander sûrement comment elle peut avoir le nom de Tolwer alors qu’elle a divorcé, et bien tout simplement parce que elle voulait le garder. Bon, je ne vais vous embêter avec mon enfance car sinon j’en aurait gros sûr la patate. Ce matin ne commençait pas très bien. Mon réveil n’a pas sonné si bien que j’avais au moins 1demie heure de retard. Et ce n’était pas fini. J’ais pris une douche froide car l’eau

aujourd’hui ce qu’il me coûte ». Un amour qui ne m’a rien coûté, c’est un amour qui n’a pas beaucoup de valeur. C’est une lapalissade ! Un amour qui vaut cher c’est un trésor, pierre précieuse. Qu’est ce que le prix que je vais mettre pour l’amour ? C’est l’effort que je vais faire pour renoncer à moi-même, pour donner quand même, pour renoncer à ce que j’aurais pu prendre pour donner, alors l’amour redevient un échange où celui qui est l’objet de mon amour c’est l’autre et non pas moi. Mère

dextrement troublant (en bourse il y a une saisonnalité, on constate que la bourse souvent le mois de décembre est plutôt favorable ainsi que janvier, février, mars par contre en été mai, aout 3 fois sur 4 c’est pourri. alors septembre c’est toujours le craque). ( S’il fait beau constate que la * Sur représentation des titres domestiques : quelque soit le pays un investisseur détient plus d’action de son pays que d’autres. (pour les japonais c’est de la trahison que d’avoir des actions américaine …)

en compte les avis de chacun. Mise en perspective dans le cadre professionnel Grace à ces cours de management relationnel j’ai essayé d’appliquer les plans d’action à travers ma liste BDE. Au sein de ma micro entreprise, voici ce que je vais mettre en œuvre dans un avenir proche: -Communication entre les pôles pour mieux gérer les problèmes et si possible apporter son aide -Acquérir une démarche professionnelle et ne pas hésiter à dire « je ne sais pas faire » -Tenir une liste des tâches

pose sa main sur la poignée pour ouvrir la porte, mais elle est fermée. Elle baisse les yeux et remarque que de l’air s’échappe de la chambre. SORA (En colère) Ah, non ! SEQUENCE 6. INT.JOUR. APPARTEMENT DE JOHAN - CHAMBRE La porte craque, Sora entre, elle est en colère . La fenêtre est ouverte en grand. Johane n’est plus la. Elle s’avance vers la fenêtre. SEQUENCE 7. EXT.RUE . JOUR Johan court dans la rue. Au loin, Sora crie de toute ses forces. SORA Johan ! SEQUENCE

la jeune protagoniste vers une certaine forme de schizophrénie positive pour son évolution personnelle. Le moment charnière est la modification du nom de Chihiro par Yubaba ; cet acte ne se dévoile pleinement qu’en connaissant un peu de japonais, je vais donc vous l’expliquer. Dans la langue japonaise, les noms et prénoms sont constitués de caractères appelés kanji qui ont un sens, mais également plusieurs lectures selon qu’ils sont utilisés seuls ou accompagnés. En l’occurrence, le nom de « Chihiro

n'es pas Megan Fox, moi non plus, et aucune de ces filles non plus. Les filles sont devenues des vraies machines à méchancetés gratuites sur le physique des autres. Si elles ne sont pas comme elles, elles ne sont pas assez bien. Mais ces filles-là, je vais te dire, le soir avant de dormir, elles n'ont ni messages à relire ni amis à appeler, elles n'ont personne. Il n'y a que leur solitude pour les accompagner. Un jour, tu te regarderas dans la glace et tu compteras toutes les années que tu as perdu à