Je vais craquer

pour cent de chances de vivre encore cinq ans, vous vous livrez à un rapide calcul et vous arrivez à la conclusion que ça fait une personne sur cinq… alors vous regardez autour de vous et vous vous dites, comme toute personne saine d’esprit : je vais gratter quatre de ces tocards.) Le seul participant qui rendait ces séances supportables s’appelait Isaac, un maigrichon au visage long, aux cheveux raides et blonds qui lui cachaient un œil. 15 Car le problème d’Isaac, c’étaient les yeux.

nécessairement que je passe pour arriver d'eux à moi. Depuis quinze ans et plus que je suis dans cette étrange position, elle me paraît encore un rêve. Je m'imagine toujours qu'une indigestion me tourmente, que je dors d'un mauvais sommeil, et que je vais me réveiller bien soulagé de ma peine en me retrouvant avec mes amis. Oui, sans doute, il faut que j'aie fait sans que je m'en aperçusse un saut de la veille au sommeil, ou plutôt de la vie à la mort. Tiré je ne sais comment de l'ordre des choses

Je me présente, je suis un infirmier de 26 ans, en début de carrière dans la première année d'exercice de mes fonctions. Peu à peu durant cette année les conditions de travail sont devenue plus difficiles (manque de personnel, manque de moyen, je ne vais pas ressortir la même rengaine que tout le monde connait l'hôpital public est malade de toute façon...) Il faut donc combler les trous, prendre sur soi, sur ses jours de repos, savoir mettre sa vie sociale de côté pour les soit disant besoins de service

L'équipe lui demande si Monsieur M. est au courant de cette information, elle nous explique qu'elle l'informera en temps voulu. Aux transmissions, l'équipe est très déstabilisée par l'attitude de Monsieur M. et la position du Docteur B. Une infirmière craque et pleure, une autre dit qu'on aurait du rien lui dire et plusieurs aides-soignantes sont d'accord avec elle. L'équipe est unanime pour dire que la prise en charge de Monsieur M. va être de plus en plus difficile. Cette situation m'interpelle

zen… Je vais les tuer… Stop ! Zen… Cool… Abrutis congénitaux… Stop ! Re-Re Zen-Zen… Zen… Respire… (je me tutoie dans l’intimité) voilà c’est bon… cool… détendu… paisible… détendu… je suis bien… Dring ! Téléphone - Oui ? - Bien entendu, tu te mets de suite au régime, tu as 5 kg de trop, salut on se rappelle – Clic ! Ça craque dans ma tête… Crac ! pas grand mais un crac quand même… Je vais faire une embolie cérébrale… J’ai soixante et un ans… L’âge dangereux je l’ai lu dans " Voici " ça a craqué trop

et Carla Bruni, Ségolène Royal et François Hollande, Rachida Dati et le père caché de son enfant et beaucoup d’autres. La presse people révolutionne l’image des politiques. Nous avons pu lire dans Gala : « Pourquoi Dominique de Villepin fait-il craquer les femmes ? », ou bien, voir Chirac, prenant la main de son petit-fils, en grand-père attentif, sur la plage, bordant la résidence présidentielle. N’y a-t-il pas un tantinet de mise en scène ? Nicolas Sarkozy, spécialiste en la matière, s’arrange

fond. Une femme assez jeune, qui ne travaillait évidemment pas ici lorsque j’y étudiais. À voir son visage concentré, penché sur une feuille, elle doit être en train de corriger une copie particulièrement ardue. D’ici quelques jours, c’est moi qui vais afficher ce genre d’expression. Paul farfouille toujours dans sa paperasse en marmonnant des mots inintelligibles. J’en profite pour poursuivre mon examen du dessin accroché sur la première tablette de son bureau. Ça représente une sorte d’amoncellement

Emma s'arrêta net. « Ben, qu'est c'qui y'a ? lui demandais-je, inquiète. - Regarde devant. » Je regardais dans la direction qu'elle m'indiquait et me figeais. « Heuuu ... On s'en va ? Dis-je à Emma. - Oui, mais je pars de l'autre côté, je vais pas te laisser passer toute seule devant eux ! - Ah ... T'inquiète, ça va le faire. - T'es sûre ? - Mais oui ! Allez, à demain. - A demain, me dit-elle en me lançant un regard peiné. » Je lui faisais la bise et me retournais en prenant une grande

Ne bouge pas, répète doucement Gédémus à Arsule qui ne bouge pas. Ça passe à travers le fouillis des figuiers. On s'arrête pour décrocher l'étoffe. Puis le pas. Ils sont serrés l'un contre l'autre. Ils ne bougent pas. Il ne faut pas que la paille craque. Par leur bouche grande ouverte, ils font passer de longs morceaux de leur respiration, doucement, longuement, sans bruit. Il faut qu'ils soient là, dans le milieu de l'ombre, muets, immobiles, comme de l'ombre. Il le faut. Ce n'est plus pour rire

un bien... CARPE DIEM Solene.F ___________ On doit souvent recommencer certaines choses depuis le début, pour oublier, pardonner, et se faire pardonner. Aujourd'hui j'ai mal, mais je n'ai jamais baissée les bras face à ma destiné Donc je vais ré-apprendre à marcher, à aimer en oubliant les blessures du passé... Un désolé spécial si je ne puis recommencer à voler, Mais les ailes de cupidon mon trop cruellement blessées. Il faut savoir se l'avouer. Solene.F __________ Ne laissez