Je vais craquer

la prendre dans mes bras, la rassurée de ses craintes, la protéger de tous cela. Mais c’est elle qui prend soin de moi, qui me protège. J’aimerais l’embrasser, lui parler, lui dire combien elle me manque, qu’il ne faut pas qu’elle s’inquiète. Que je vais bien. J’aimerais être loin avec elle. Rien que tous les deux. Loin dans les plaines. Sur cette colline où l’on a passé des heures sans parler. Juste à être l’un contre l’autre, à regarder le ciel.. A écouter le vent chanter dans les arbres. J’aimerais

Maintenant, tu ne peux pas savoir, tout est déjà rose, jaune, vert. C'est devenu une carte postale. Il faut te lever plus tôt, nourrice, si tu veux voir un monde sans couleurs. Elle va passer. LA NOURRICE Je me lève quand il fait encore noir, je vais à ta chambre pour voir si tu ne t'es pas découverte en do�ant et je ne te trouve plus dans ton lit ! ANTIGONE Le jardin dormait encore. Je l'ai surpris, nourrice. Je l'ai vu sans qu'il s'en doute. C'est beau un jardin qui ne pense pas encore aux

délicatement sur votre épaule.» T'es quoi sans moi? - Tu veux un café? - Dis-moi, t'es quoi sans moi? - Avec un sucre, ou deux? - S'il te plaît, j'ai envie de savoir? - Du lait? - Moi je suis rien, je suis perdu. - Oups, la cuillère, j'arrive, je vais t'en chercher une. - J'ai plus rien, plus de repères. C'est le néant sans toi. - Tiens ta cuillère. - Arrête de jouer l'innocente, je vois très bien la lueur dans tes yeux. - Un biscuit? - Arrête de détourner ce sujet. - Crois moi, ils sont délicieux

millions. Se sont les personnes fragiles ou en détresse qui souvent croient aux superstitions qui sont le plus arnaquer. Leur objectif est de soutirer le maximum d’argent dans un minimum de temps à des personnes crédules. L’honnête travailleur qui craque, la femme délaissée par son mari, des couples souffrant de stérilité, et jeunes au chômage. Le principe est toujours le même : exploiter la détresse et promettre une vie meilleure. Combien de familles ruinées ou disloquées. Combien d’esprits à jamais

Prospérité à moi et à vous : c'est par là que débutera mon message. Je vous apporte Plaute, non dans ma main, mais sur ma langue; soyez assez bons pour l'accueillir d'une oreille favorable. Et maintenant écoutez le sujet, et faites bien attention. Je vais le résumer aussi brièvement que possible.Autre chose : vous savez ce que font nos poètes comiques. Ils sont toujours à prétendre que l'action se passe à Athènes, pour que leur ouvrage vous ait davantage l'air grec. Pour moi, je ne placerai jamais le

« Et depuis ce jour-là, nous sommes comme fous ! Le tas des ouvriers a monté dans la rue, Et ces maudits s'en vont, foule toujours accrue De sombres revenants, aux portes des richards. Moi, je cours avec eux assommer les mouchards : Et je vais dans Paris, noir, marteau sur l'épaule, Farouche, à chaque coin balayant quelque drôle, Et, si tu me riais au nez, je te tuerais ! - Puis, tu peux y compter, tu te feras des frais Avec tes hommes noirs, qui prennent nos requêtes Pour se les renvoyer

oui ! Madame !GILBERT : Euh… Qu’est ce que c’est que la crêpe GigiGIGI : Et bien, la crêpe Gigi, c’est une fine couche de sarrasin saisie dessus-dessous et parsemée de pétales de roses tièdes ! C’est délicieux !GILBERT : Ah, oui, certainement ! Je vais vous prendre une crêpe au sucre avec un bière !GIGI : Ah, non non non, je m’excuse Monsieur, nous ne faisons pas cela ici, vous vous êtes trompé d’établissement ! Vous avez toutes nos crêpes sur la carte.GILBERT : Vous avez de la pâte ! Vous avez du

agonie Vais vous quitter dans peu d'instants, Qui ne regrette de la vie Que quelques jours de mon printemps Et quelques baisers d'une amie Qui m'ont charmé jusqu'à vingt ans !... Salut à toi, ma belle fiancée, Qui dans tes bras vas m'enlacer bientôt ! A toi ma dernière pensée, Je fus à toi dès le berceau. Salut ô guillotine ! expiation sublime, Dernier article de la loi, Qui soustrais l'homme à l'homme et le rends pur de crime Dans le sein du néant, mon espoir et ma foi. Je vais mourir

derrière pour mieux déguerpir SAMSON. - Ne crains rien de moi. GRÉGOIRE. - De toi ? Non, Morbleu. SAMSON. - Mettons la loi de notre côté et laissons-les commencer GRÉGOIRE. - Je vais froncer le sourcil en passant près d'eux, et qu'ils le prennent comme ils le voudront. SAMSON. - C'est-à-dire Comme ils n'oseront. Je Vais mordre mon pouce en les regardant, et ce sera une disgrâce pour eux, s'ils le supportent. ABRAHAM, à Samson. - Est-ce à notre intention que vous mordez votre pouce, monsieur ? SAMSON

tu te tiendras derrière pour mieux déguerpir SAMSON Ne crains rien de moi. GRÉGOIRE De toi ? Non, morbleu. SAMSON Mettons la loi de notre côté et laissons-les commencer GRÉGOIRE Je vais froncer le sourcil en passant près d’eux, et qu’ils le prennent comme ils le voudront. SAMSON C’est-à-dire comme ils l’oseront. Je vais mordre mon pouce en les regardant, et ce sera une disgrâce pour eux, s’ils le supportent. ABRAHAM, à Samson Est-ce à notre intention que vous mordez votre pouce, monsieur ? SAMSON