Je Veux Mourir Pour Tes Beautés

la vois… » Moins je la vois, certes plus je la hais : Plus je la hais, et moins elle me fâche. Plus je l'estime, et moins compte j'en fais : Plus je la fuis, plus veux qu'elle me sache. En un moment deux divers traits me lâche Amour et haine, ennui avec plaisir. Forte est l'amour, qui lors me vient saisir, Quand haine

Tu me fais du bien. le seul qui mérite tes larmes ne te fera jamais pleurer. Je ne souhaite pas ta mort mais je regrette ta naissance. si tu savais le mal que je me donne pour étouffer le mal que tu m'as fait vivre sans toi c’est apprendre à mourir Ne plus être avec toi à cette heure, ne plus entendre battre ton cœur, ne plus sentir ton odeur, est pour moi la plus terrible des douleurs Je pense à toi une fois par jour mais cette pensée dure 24 heures. "Imagine, tu rêves de moi, et quand tu

chant du batelier Et mettez près de moi toutes les filles blondes Au regard immobile aux nattes repliées Le Rhin le Rhin est ivre où les vignes se mirent Tout l'or des nuits tombe en tremblant s'y refléter La voix chante toujours à en râle-mourir Ces fées aux cheveux verts qui incantent l'été Mon verre s'est brisé comme un éclat de rire Mai Le mai le joli mai en barque sur le Rhin Des dames regardaient du haut de la montagne Vous êtes si jolies mais la barque s'éloigne Qui donc

chant du batelier Et mettez près de moi toutes les filles blondes Au regard immobile aux nattes repliées Le Rhin le Rhin est ivre où les vignes se mirent Tout l'or des nuits tombe en tremblant s'y refléter La voix chante toujours à en râle-mourir Ces fées aux cheveux verts qui incantent l'été Mon verre s'est brisé comme un éclat de rire MAI Le mai le joli mai en barque sur le Rhin Des dames regardaient du haut de la montagne Vous êtes si jolies mais la barque s'éloigne Qui donc

fait des erreurs et on les répète encore et encore. Chaque fois que l'une d'elle se présente, on ne cherche pas à la contourner ! On fonce droit dans le mur, le sourire aux lèvres, on attend de savoir à quel point l'impact sera fort. Aveuglé par la beauté de la chose, c'est le saut de l'ange. Sauf qu'un jour t'auras sauté de tellement haut que t'en reviendras pas .. Je croyais que mon cœur était détruit. A maintes reprises j'ai essayé de m'attacher à d'autres garçons, de créer des liens, j'ai même

mienne. Lorsque je lus la citation du poète Rilke “Le beau est le premier degré du terrible”, une fois de plus je ne me senti inférieur, me plaçant à ses pieds, ne pouvant supporter une minute de plus d’être un infime homme devant cette beauté divine, ma beauté divine, qui serait si l’on en croit le poète autrichien, monstrueuse… Derrière chaque poème, le cœur d’un être humain, d’un séducteur, d’une séductrice bats, un homme qui éprouve un amour, partagé ou non. Et chaque histoire n’est-elle

plastrondans leur faux-coldans leur monocledans leur melonJ'ai l'impression d'être ridiculeavec mes orteils qui ne sont pas faitspour transpirer du matin jusqu'au soir qui déshabilleavec l'emmaillotage qui m'affaiblit les membreset enlève à mon corps sa beauté de cache-sexeJ'ai l'impression d'être ridiculeavec mon cou en cheminée d'usineavec ces maux de tête qui cessentchaque fois que je salue quelqu'unJ'ai l'impression d'être ridiculedans leurs salonsdans leurs manièresdans leurs courbettesdans leur multiple

ANTHOLOGIE (PETITE) A NTHOLOGIE POÉTIQUE – COLLÈGE ____ 9 Pour la liberté Laissez chanter L’eau qui chante Laissez courir L’eau qui court Laissez vivre L’eau qui vit L’eau qui bondit L’eau qui jaillit Laissez dormir L’eau qui dort Laissez mourir L’eau qui meurt. Philippe Soupault (1897-1990) Leçon de poésie Si j’étais un poème Ecrit par un enfant, Je creuserai des trous dans les mémoires fortes Pour regarder à l’intérieur, Pour en connaître la couleur. Puis je caresserais Les pattes des

l'univers. Sans Païkan, il n'y a plus d'univers, il n'y a plus de vie. Donnez-moi Païkan dans l'Abris, et je vous bénirai jusqu'au fond de l'Éternité!". Nous voyons dans l'extrait qui précède, qu'Eléa est prête à sacrifier l'humanité pour vivre ou mourir aux côtés de celui qu'elle aime. Le sacrifice est une preuve d'amour intense qui démontre à l'être aimé qu'il est plus important que n'importe quelle autre personne sur la terre. Lorsqu'Eléa apprend qu'elle a été choisie par l'Ordinateur pour accompagner

situation initiale est décrite dans les premières lignes. Un roi est voué à devenir veuf d’une femme « d’une telle beauté qu’on en reverra plus jamais sa pareille sur terre ». Nous devons ici préciser que cette fatalité sera contredite plus tard dans le texte, lorsque la fille du roi, ressemblant fortement à sa mère, aura grandi et sera perçue par son père comme ayant «  toute la beauté de ma reine défunte », et encore après en se disant n’avoir « encore jamais vu de femme aussi belle ». Car même s’il