Jean Charles Harvey

confidentielle, puisque son tirage n’atteint même pas 5 000 exemplaires par jour, en 1907. Déclinant aussi bien en notoriété, qu’en audience, du fait du refus de sa ligne éditoriale, à rejoindre la Ligue d’Action française, ainsi que les thèses de Charles MAURRAS1, cette publication offre néanmoins une vision du point de vue royaliste assez intéressante des évènements de 1907. Le Soleil, est un autre quotidien monarchiste, plus modéré à l’égard d’un certain cléricalisme2, mais très hostile envers

la population ouvrière de Québec en 1983 et 1984, qui montrent que « si la famille a changé dans sa composition, son importance effective dans le tissu social reste considérable. ''La parenté polarise toutes les relations sociales[17]'' ». Selon Charles Taylor, auteur de l'étude. De plus, le journaliste se présente littéralement comme l'anthropologue de la famille québécoise, s'insinuant dans le milieu naturel de cette ethnie étrange à la manière du correspondant des Lettres persanes de Montesquieu

pour la poésie avec Malherbe. Mais si le classicisme s’impose dans la seconde moitié du siècle sous le règne de Louis XIV, les chefsd’œuvre qu’il a produits ne doivent pas éclipser d’autres genres comme les textes des moralistes et des fabulistes (Jean de La Fontaine) et le genre du roman qui s’invente au cours de cette période avec les romans précieux, les histoires comiques et les premiers romans psychologiques comme la Princesse de Clèves, ou encore la poésie baroque de la période Louis XIII.

mus par toutes sortes de raisons sociales, économiques, religieuses se lancent à la conquête du Monde. C’est en 1492 que Christophe Colomb débarque en Amérique. (À remarquer ici que j’évite le terme de « découverte » de l’Amérique.) Le sociologue Jean-Jacques Simard définit assez bien ce qui se déroule dans le monde occidental à cette époque : Alors même qu’ils entrent en contact avec l’Amérique, les Européens sont, sur leur propre continent, aux prises avec un autre « Nouveau Monde » : montée

Œuvres à l’étude : • AUBERT DE GASPÉ, fils, Philippe, L’influence d’un livre, Montréal, Boréal, « Boréal compact », 1996 [1837], 148 p. • GRIGNON, Claude-Henri, Un homme et son péché, Montréal, Stanké, « 10/10 », 2008 [1933], 154 p. • HARVEY, Jean-Charles, La peur, Montréal, Boréal, « Boréal compact », 2000 [1945], 60 p. • BORDUAS, Paul-Émile, Refus global, Montréal, Le bleu du ciel, 2017 [1948], 48 p. (Les images sont données à titre indicatif, elles peuvent varier.) Autres ouvrages

Les Ambassadeurs Les Ambassadeurs est un double portrait de Jean de Dinteville et Georges de Selve peint par Hans Holbein le Jeune en 1533, actuellement conservé à la National Gallery de Londres. Le tableau est signé et daté en bas à gauche, dans une zone d'ombre : IOANNES HOLBEIN PINGEBAT 1533. Cette huile sur bois qui assemble dix panneaux de chêne, est, par ses dimensions (207 × 209,5 cm), l'œuvre la plus ambitieuse de la carrière de Hans Holbein. Considérée comme pionnière du genre du portrait

- Fernand de Magellan est né en 1480 à Sabrosa (Portugal). Il participa à plusieurs batailles comme la bataille d'Azamor au Maroc (où il fut blessé au genou et, le roi refusant d'augmenter sa pension, Magellan offrit ses services au roi d'Espagne Charles Quint auquel il proposa de mener une expédition jusqu'aux Iles Moluques (ou Iles au Epices, dont les européens étaient friands). Il s'embarque donc en 1519 avec cinq navires ; cependant, trois des capitaines sont en désaccord avec Magellan. Une première

(Richard Carlyon), Joan Greenwood (Elizabeth), Jean Kent (Lucy), Francis L. Sullivan (Braddock), Ronald Shiner (« Harry le Cockney »), Basil Sydney (Sir Henry Merriman), Ernest Thesinger (Mr Farne), Felix Aylmer (le prêtre), Allan Jeayes (Sir Edward Parkin Ŕ le juge dans le film), Ralph Truman (l’homme de l’interrogatoire), David Horne (docteur Stanton), John Olson, Charles Rolfe, George Merritt, Maurice Denham, George Merritt, Lyn Evans, Torin Thatcher, Charles Rolfe, Herbert Lomas, Danny Green, Andrew

Pour une brève histoire du cinéma canadien Jean-Pierre Berthomé p. 17-25 TEXTE BIBLIOGRAPHIE NOTES AUTEUR TEXTE INTÉGRAL Les débuts 1L’histoire du cinéma au Canada commence bien avant celle d’un véritable cinéma canadien avec la présence des pionniers-français, anglais ou, dans une moindre mesure, américains – qui viennent y filmer et y exportent leurs productions nationales. Les spectateurs des tout débuts du cinéma sont friands d’images exotiques, et les grandes compagnies envoient leurs opérateurs

Fernand de Magellan est né en 1480 à Sabrosa (Portugal). Il participa d'abord à plusieurs batailles comme la bataille d'Azamor au Maroc où il fut blessé au genou et, le roi refusant d'augmenter sa pension, Magellan offrit ses services au roi d'Espagne Charles Quint auquel il proposa de mener une expédition jusqu'aux Iles Moluques (ou Iles au Epices, dont les européens étaient friands). Il s'embarque donc en 1519 avec cinq navires ; cependant, trois des capitaines sont en désaccord avec Magellan. Une première