Jean-Christophe Cambadélis

  Principaux partis Front de gauche (Coalition de trois partis: Parti communiste français (PCF), Parti de gauche (PG), la Gauche unitaire (GU))   Parti socialiste (PS)   Europe écologie les verts (EELV) Dirigeant   Premier secrétaire : Jean-Christophe Cambadélis. Secrétaire nationale : Emmanuelle Cosse.    Grandes idées   Révolutionnaire, pour les travailleurs. Intervention de l’Etat dans la vie économique et sociale. Solidarité, justice sociale. Redistribution des richesses. Protection de l’environnement

trois portes paroles du parti et piliers de l'idéologie anticapitaliste. Adresse du site web : http://www.npa2009.org/ Parti de Gauche ( PG ) Le congrès fondateur du Parti de Gauche (PG) a lieu le 1er février 2009 avec Jean-Luc Mélenchon et Marc Dolez, mais sa création est annoncée dès novembre 2OO8. Le PG résulte d’une scission du PS suite au congrès de Reims. Le Parti de gauche est, comme son nom l’indique, de gauche, mais les fondateurs misent surtout sur l’« autre

selon Alain Bauer. Le leader socialiste a au moins deux raisons de ne pas vouloir fréquenter les "frères trois points" : "Primo, une forte proportion d'entre eux sont impliqués dans des affaires, ils ont trahi leurs principes, explique Jean-Christophe Cambadélis, député PS de Paris qui a appartenu à la même chapelle trotskiste que Jospin. Secundo, ils sont, comme lui, des gens secrets et infiltrés, ce qui le dérange beaucoup." Pourtant, il aurait fait de timides tentatives pour s'attirer les bonnes

Manuscrit auteur, publié dans "Cahiers de lexicologie 1, 100 (2012) 37-53" HAL JFS 47 2012c Sablayrolles Jean-François (Paris 13 SPC et LDI UMR 7187) « Extraction automatique et types de néologismes : une nécessaire clarification », Actes du colloque Néologie sémantique et corpus, une rencontre de méthodes, Université de Tübingen, 29-30 avril 2010, organisée par Christophe Gérard et Johanes Kabatek, Les Cahiers de lexicologie n° 100, juillet 2012, p. 37-53 halshs-00721991, version 1 -

de la Justice M. Henri Nallet et M. Michel Vauzelle de protéger leurs affairistes et notamment M. Bernard Tapie et M. Jean-Michel Boucheron (maire d'Angoulême). En 1996 ce sont les socialistes qui reprochent au ministre RPR de la Justice, M. Jacques Toubon, qualifié de "garde des siens" par M. Lionel Jospin, de protéger, notamment, le maire de Paris, M. Jean Tiberi, (M. Jean Tiberi aurait fait attribuer un logement HLM à son fils, logement qui aurait été refait avec marbre de carrare pour plus

d’expoujadistes, des activistes de l’Algérie française, des catholiques intégristes, comme des néo-paganistes, la jeune génération de 1968, d’Occident et d’Ordre nouveau, les « solidaristes » de Jean-Pierre Stirbois, etc. Jean-Marie Le Pen, homme d’action plus que de pensée, qui avait été le directeur de campagne de Jean-Louis Tixier-Vignancour lors de l’élection présidentielle de 1965, et qui divisait alors le moins, devint le leader du mouvement et allait le rester, arrivant même à créer une « monarchie

horizon; les thèmes de campagne du Bloc national: la victoire, la peur du bolchevisme. Le Bloc national et le mouvement social. Les mesures d'apaisement avec l'Église. L'essor du catholicisme social. L'évolution de l'Église; la canonisation de Jeanne d'Arc. Les nouvelles organisations catholiques (la S.F.T.C.). Les catholiques et la République: la rupture avec l'Action française. Conséquences politiques et spirituelles. La politique internationale du Bloc national: l'occupation de la Ruhr, ses

moins possible que le pays doit aussi se débattre avec de graves problèmes sécuritaires: la présence d’Al-Qaeda, une insurrection chiite dans le Nord, une agitation séparatiste dans le Sud et les intrigues compliquées et parfois violentes des tribus. JEAN-PIERRE PERRIN gue Tewfiq Aclimandos. «Je veux oser espérer. Mais… je n’arrive pas à être totalement persuadée que ça va bouger. Les gens ont encore peur», reprend Madiha. LE VENT A TOURNÉ. Car si la manifestation de mardi a été exceptionnellement

volonté de changement radical et crainte du chaos. TUNIS (TUNISIE), HIER. Des manifestants, qui brûlent l’effigie de l’ex-dictateur Ben Ali, réclament un nouveau gouvernement sans ministre ayant appartenu à l’ancien parti du président tunisien. (AP/CHRISTOPHE ENA.) Dans la capitale, l’armée entre en scène «L ’armée nationale se porte garante de la révolution. » Le général Rachid Ammar a pris la parole hier pour la première fois. Face à la foule, le chef d’état-major de l’armée de terre tunisienne

suffisent pas à soulager l’ire de l’élu, outré de n’avoir pas été invité à une réunion de concertation au ministère en présence des présidents des conseils généraux des deux départements voisins du Gers, Philippe Martin (PS), et du Tarn-et-Garonne, Jean-Michel Baylet (PRG), dont Sylvia Pinel est une proche. « Ce n’est pas une attitude républicaine», s’offusque le sénateur de noble lignée, prêt à dégainer la rapière. Le député Philippe Martin rejoint son homologue sur le fait que « pour le département