Jean Ier de Bourgogne

archaïsmes et « Novelletés » Un royaume mosaïque : La prééminence du roi et l’unité du royaume : Un roi et des suzerainetés multiples, avec des concurrences entrent elles. 1576 : Six livres de la république de Jean Bodin, met en avant la souveraineté et sa légitimité. Entrave à l’unité : François Ier a un connétable : Charles II de Bourbon (1490-1527) qui possède un Etat dans l’Etat. Et il existe aussi des enclaves étrangères dans le royaume, par exemple : Calais, Anglaise puis prise par le duc de Guise

par les Sforza : il estime les droits des Visconti supérieurs aux droits des Sforza. Il réclame ainsi la possession du Duché de Milan, ainsi que du Royaume de Naples, en vertu des droits de son père. - la quatrième est dûe aux ambitions de François Ier ( 1515 – 1547 ), qui récapitule les prétentions de ses précédesseurs. Celui ci a un tempérament chevaleresque qui le pousse à tenter l’aventure italienne : en 1515, il remporte la bataille de Marignan et conclut en 1516 des traités qui font de la France

UNIVERSITÉ JEAN MOULIN – LYON 3 Faculté de Droit LICENCE EN DROIT, 1er SEMESTRE INTRODUCTION HISTORIQUE AU DROIT HISTOIRE DES INSTITUTIONS ET DU DROIT FRANÇAIS de la fin de l’Antiquité à la fin de l’Ancien Régime (5e-18e siècles) Chr. LAURANSON-ROSAZ Professeur à l’Université Jean Moulin Deuxième Partie LE MOYEN ÂGE (10e-15e siècles) De la Féodalité à la Monarchie La “mutation féodale” désigne le grand changement qui s’est opéré entre le 10e et le 12e siècle ― autour de l’an Mil

monastiques Plusieurs monastères vont perdre progressivement l’idéal de St. Benoît. Dès lors, le besoin de réformer le monachisme traditionnel va s’imposer dès le XIe s. Nous en retiendrons deux : a. la réforme clunisienne: Cluny, abbaye située en Bourgogne va adapter, au XIe s., la vie du moine en la centrant sur la liturgie et la prière et en conservant la règle bénédictine. En moins d’un siècle, Cluny est au centre d’un « empire » monastique européen (doc. 27, p. 47). Mais la dérive guette : rien

germanique Maximilien Ier de Habsbourg en 1519, trois concurrents sont en lice pour la couronne impériale : le roi d'Espagne Charles de Habsbourg alors âgé de 19 ans, le roi de France François Ier et l'électeur de Saxe Frédéric III. Né à Gand en 1500, Charles de Habsbourg est un prince bourguignon, fils de Philippe le Beau, qui gouverne le comté de Bourgogne et les Pays-Bas. A la mort de son grand-père maternel, Ferdinand d'Aragon, et à cause de l'incapacité de sa mère, Jeanne la Folle à gouverner

(doc 1) et St Etienne de Nevers (doc2). La basilique de St Apollinaire in classe date du milieu du 6°siècle, situé à Ravenne, en Italie. Et l'église de St Etienne de Nevers, datant de la fin du XI°s, ce trouve comme son nom l'indique a Nevers, en Bourgogne, en France. Après un brève analyse des deux batîments, le but étant ensuite de les comparez en les replaçant dans leur contexte historique respectif. Le plan se fera en trois parties; la premiere et la deuxieme feront chacunes la description et l'histoire

culturelles et enfin un contexte européen tendu. C’est une période qui constitue un déclin pour la France. Les causes du conflit L’affaiblissement du pouvoir royal Ces troubles coïncident avec un affaiblissement de l’autorité royale. Les rois François Ier et Henri II n’avaient permis aucune contestation de leur pouvoir. Lorsque Henri II meurt accidentellement le 10 juillet 1559, ses successeurs François II et Charles IX sont trop jeunes pour pouvoir imposer leur autorité. Ils ne peuvent pas empêcher

caractère obligatoire de la loi fondamentale impose l’exigence d’un contrôle institutionnel. Les lois fondamentales sont, par essence, supérieures à l’autorité royale. Sur ce point, tous les théoriciens de l’absolutisme, de Bossuet en revenant jusqu’à Jean Bodin tous ces théoriciens sont convaincus de cette idée. C’est pour cette raison que l’on distingue de façon systématique ce que l’on appelle les lois du roi, qui sont les lois ordinaires, des lois fondamentales qui elles sont les lois du royaume

exprimée par Louis XI à la fin de son règne de modifier le statut de « sa » noblesse en s’inspirant expressément des modèles « ouverts » offerts par les noblesses italienne et anglaise. On pourrait aussi ajouter ce passage de la chronique attribuée à Jean Juvénal des Ursins qui envisage un destin commun aux deux noblesses, à l’occasion des troubles de 1381-1382 : « Presque par tout le royaume [de France] telles choses se faisoient et regnoient, et mesmement en Flandres et en Angleterre ou le peuple

Nord fut toujours une région très active et peuplée. De grandes foires s’y tenaient dès le Moyen Age. Mais en raison de sa situation géographique, cette région fut souvent victime d’invasions et de partages entre les pays européens, Pays-Bas, Bourgogne, SaintEmpire romain germanique, Espagne... La frontière avec la Belgique n’a en effet été établie qu’au XVIIè s., au hasard des guerres et des traités de paix. Cette région fut également le théâtre de grandes batailles pendant la Première Guerre