Jean Paul Rousseau

un récit dans lequel une personne raconte sa vie. Ce genre littéraire connu dès l’Antiquité avec des Confessions de Saint Augustin, puis pratiqué par Montaigne au XVIe siècle, s’est surtout développé au XVIIIe siècle avec Les Confessions de Rousseau. Mais qu’elles sont les raisons qui poussent une personne à écrire son autobiographie ? Je vais justement faire en sorte de vous les énoncer. Tout d’abord, il y a ceux qui écrivent pour laisser une trace à leurs descendants et qui veulent

1856 à Freiberg (Moldavie). Après de brillantes études secondaires, il se consacre à la médecine. Il se spécialise dans l’étude du système nerveux et, en 1885, il obtient une bourse d’étude qu’il utilise pour se rendre à Paris, auprès du professeur Jean-Martin Charcot (Paris, 1825-Nièvre, 1893), un grand psychiatre français, avec qui il étudie le phénomène de l’hystérie. Peu après, il rencontre le professeur H. Bernheim, à Nancy, où il observe la pratique de l’hypnose. Ces deux évènements marquent

(1627). Les premiers romans d’analyse psychologique apparaissant au XVIIème siècle, avec notamment La princesse de Clèves de Mme de la Fayette. Une deuxième vague de romans satyriques et parodiques voit le jour avec par exemple Le roman comique de Paul Scarron. Ce courant parodie le roman précieux avec des phrases à rallonge et des mots recherchés. De plus, les romans issus de se courant ne se focalisent plus sur les nobles, mais sur le peuple. En l’occurrence, dans Le roman comique, Scarron décrit

Jean-Jacques Rousseau (1762) DU CONTRAT SOCIAL ou Principes du droit politique Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université

1er novembre 1755 et le début de la guerre de Sept Ans (1756) qui lui inspirent cette réflexion : « Presque toute l’histoire est une suite d’atrocités inutiles » (Essai sur l’histoire générale, 1756). Ayant envoyé son Poème sur le désastre de Lisbonne à Jean-Jacques Rousseau, celui-ci lui répond par une lettre dans laquelle il cherche à justifier la divine providence, dont Voltaire doute fortement après ces évènements. Il prétend, dans le neuvième livre de ses Confessions, que le roman philosophique Candide serait

principe cardinal en vertu lequel «L’énumération de certains droits dans la Constitution ne devra pas être interprétée comme annulant ou restreignant d’autres droits conservés par le peuple». B) La garantie de la participation citoyenne Selon Jean-Jacques Rousseau, la Constitution est la mise en forme du «pacte social» par l’intermédiaire duquel les individus décident d’organiser leurs relations, de mettre en forme une vie sociale stable. Par ce pacte, les hommes ont fondé une société et ont organisé

pas uniquement un droit, que le citoyen est libre d’exercer ou pas, mais également une fonction que la Nation attribue aux citoyens. Elaborées au dix-huitième siècle, ces deux théories majeures de l’histoire du droit public sont l’œuvre de Jean-Jacques Rousseau pour ce qui est de l’électorat-droit, et de l’Abbé Sieyès pour l’électorat-fonction. Dans un premier temps, nous examinerons ce que ces deux théories apportent à la question du vote obligatoire. Dans un second temps, nous distinguerons deux

la première fois pendant la Renaissance par l'école de Salamanque. Il a été étudié par le philosophe néerlandais Hugo Grotius (1583-1645) et repris par les théoriciens du contrat social, Thomas Hobbes (1588-1679), John Locke (1632-1704) et Jean-Jacques Rousseau (1712-1778). On oppose au droit naturel, le droit positif qui est le droit tel qu’il existe dans les différents pays. Alors que le droit positif est forcément particulier à une société et change au cours du temps, le droit naturel est universel

militaires." Georges Clemenceau   "La guerre est donc divine en elle-même, puisque c'est une loi du monde." Maistre, Les Soirées de Saint-Pétersbourg.   "Braves, devant l'ennemi, lâches devant la guerre, c'est la devise des vrais généraux." Jean Giraudoux, La guerre de Troie n'aura pas lieu.   "A quoi servirait d'être victorieux, si l'on n'était plus vivant pour en profiter ?..." Francis Blanche   "Dans une guerre, c'est toujours l'adversaire qui commence." Francis Blanche   "La guerre

provoquait un tarissement d’inspiration et de création poétiques ont lancé un cri d’alarme contre les règles et la discipline classique et ont revendiqué la réhabilitation de l’imagination et de la sensibilité dans la création littéraire. Jean-Jacques Rousseau dans La Nouvelle Héloïse (1761), Madame de Staël avec Delphine (1802), Corinne (1807) et surtout De l’Allemagne (1810-1813), et Chateaubriand avec Atala (1801), René (1802) et le Génie du Christianisme (1812) ont préparé la voie et ont largement