Jeune Fille Devant Un Miroir

Rouge et le Noir. La personnalité de Julien est très complexe et contradictoire. Elevé dans une famille plébéienne, il n’avait pas l’éducation propriétaire et il ne pouvait pas gagner la bonne place dans la société dont il habite. Mais, Julien est un jeune homme d’une grande énergie et trop ambitieux. Méfiant contre cette société, il décide d’en réussir, de montrer des grandes valeurs napoléoniennes, qu’il aperçoit le plus. Il se sent seule dans ce monde que ne lui comprend pas, qui le veut dégrader

pourtant il leur naquit une fille. On fit un beau baptême ; on donna pour marraine à la petite princesse toutes les fées qu’on put trouver dans le pays (il s’en trouva sept), afin que, chacune d’elles lui faisant un don, comme c’était la coutume des fées en ce temps-là, la princesse eût, par ce moyen, toutes les perfections imaginables. Après les cérémonies du baptême, toute la compagnie revint au palais du roi, où il y avait un grand festin pour les fées. On mit devant chacune d’elles un couvert

Nikolai Gogol Le Nez Un texte du domaine public. Une édition libre. bibebook www.bibebook.comChapitre 1 C e jour-là, 25 mars dernier, Pétersbourg fut le théâtre d’une aventure des plus étranges. Le barbier Ivan Yakovlévitch, domicilié avenue de l’Ascension (son nom de famille est perdu et son enseigne ne porte que l’inscription : On pratique aussi les saignées, au-dessous d’un monsieur à la joue barbouillée de savon), le barbier Ivan Yakovlévitch se réveilla d’assez bonne heure et perçut une odeur

le début de ce stage j’ai rencontré une jeune fille polyhandicapée Estelle, 13 ans, (anonymat) dont mon éducatrice référente, Catherine, s’occupait. Cette intervention s’accomplie généralement le mercredi lors d’un repas pris en commun avec elle. La peur que j’éprouve par rapport à ces enfants ressemble plutôt à une incompréhension de leur situation et la peur de pouvoir m’en occuper. Je choisi de réaliser mon écrit sur la rencontre avec cette jeune fille pour dépasser ce bouleversement à propos

artiste «dégénéré » par le régime nazi, il sera l’un des premiers professeurs renvoyés et persécutés. *En 1916, plusieurs centaines de ses dessins de guerre sont exposés à Dresde. *En 1922, à Berlin, la police confisque le tableau « Jeune fille devant le miroir », le jugeant indécent ; mais Dix gagne le procès qui lui est intenté pour diffusion d’images obscènes. *En 1929, Dix entreprend le triptyque « La Guerre », un constat méticuleux de la guerre de tranchée d’une incomparable puissance narrative

des autres patients « La chambre des officiers ». Le couloir que Anaïs et Levauchelle traverse pour aller voir sa famille. Une petite pièce où se trouve la famille de Levauchelle. Les personnages : Il y a Adrien le personnage principal. Adrien un jeune lieutenant qui est parti en reconnaissance à cheval se prend un obus qui lui arrache le bas du visage. Il va passer toute la guerre à l’hôpital du Val de grâce dans la chambre des officiers. Une chambre à part réservée aux grades atrocement défigurés

désordre. Chaque semaine, j'allais dans cette maison un jour entier, seule pour être bien tranquille, et je commençais à tout arranger. J'en éprouvais un vif plaisir. Je mis aux murs d'une chambre les images de la « La Dame à la Licorne » avec son miroir, sa tente dressée et le petit lièvre blanc aux aguets dans la prairie pleine de fleurs. Le fond rougeâtre, parfois tirant sur la rose, de cette tapisserie me plaisait à tel point que j'avais fait recouvrir d'un tissu de la même teinte plusieurs

un monastère durant quelques mois. Ne sachant quelle orientation prendre, il rentre à Combourg où demeure sa famille. Dans le château féodal racheté par son père, l'adolescent est la proie d’une mélancolie troublante et d’un total désœuvrement. Le jeune est profondément déprimé et vit en permanence un malaise dû au cadre, au milieu familial et à l'inactivité. Devenu sous-lieutenant à Navarre, Chateaubriand gagne sa garnison à Cambrai en 1786, quand la mort de son père le pousse à retourner

(1621-1695), Les Fables choisies mises en vers furent publiées à Paris de 1668 à 1693. La fable intitulée « La fille » est extraite du Livre VII, dans lequel elle figure en quatrième position (variable selon les éditions). Dédié à Mme de Montespan, ce livre figurant dans le second recueil des Fables semble nettement infléchir le ton: l’inspiration se diversifie, et les enjeux se complexifient. “La Fille”, met en scène une précieuse épousant à la fin de sa vie un malotru, et vise, peut-être, la Grande Mademoiselle

XVII°. Ce tableau nous livre un intérieur (un cabinet de travail) où un couple s'adonne à ses activités quotidiennes. L'atmosphère n'est ni comique, ni grotesque. Au premier plan, le bureau est encombré d'objets de valeur (bijoux, argent) ; un miroir convexe à la manière de Van Eyck reflète le quatrième côté de la pièce où l'on voit un lecteur assis près de la fenêtre. La profondeur de l'arrière plan est rendue grâce à la présence d'étagères garnies de bibelots... Le mari à droite observe minutieusement