Joachim Garraud

Séquence 1 : La poésie Texte : poème CVIII du recueil Regret Auteur : Du Bellay Introduction : Connu pour être l’un des dirigeants de la Pléiade, Du Bellay a écrit son célèbre recueil Regret inspiré par sa terrible déception devant la décadence de Rome et de l’échec de sa carrière. Pourtant ici se déploie un poème satirique où il se met en scène avec auto dérision. Le sonnet développe une prosopopée, il s’agit d’une statue. Registre : lyrique Problématiques : -En quoi la structure du sonnet

16. siecle: LA RENAISSANCE La renaissance marque une restauration de la culture et de la civilite apres les »tenebres« du Moyen Age: • Le developpement de l'imprimerie (les premieres presses apparaissent a Paris vers 1470) qui favorise l'edition et la diffusion des textes de l'Antiquite grecque et latine • L'exploration des nouveaux mondes (le continent americain, conquis et ravage) qui elargit les horizons geographiques et intellectuels • Le succes manifeste du modele italien

voyager? Nous pourrons d’abord analyser comment l’expérience du voyage nourrit la poésie, avant de chercher en quoi la poésie constitue en elle-même une forme de voyage. Les personnages de poètes voyageurs sont nombreux dans la littérature : de Joachim Du Bellay au XVIe siècle à Blaise Cendras au XXe siècle, en passant par Lamartine au XIXe siècle, tous ont évoqué leur départ et les lieux visités dans leurs œuvres poétiques, nourries par des expériences réelles. En premier lieu, les voyages

Thème : L'angoisse Liste des poèmes : Pourquoi le ciel se doit de nous couper de l'aube, Isaac Lerutan La Date, Sybille Rambard Chant du déséspéré, Joachim Du Bellay Le Cauchemar, Jules Delavignes Adieu à la poésie, Louise Ackermann Les corbeaux, Nérée Beauchemin Cauchemar, Paul Verlaine Explosions, Winston Perez Terreur, Guy de Maupassant Justification : Le thème de cette anthologie est l'angoisse. J'ai voulu traiter ce thème avec des poèmes de différentes époques, écrits par

mouvement, « La Pléiade ». La base de ce groupe poétique est composée de Pierre de Ronsard, Joachim Du Bellay, Étienne Jodelle, Rémi Belleau, Jean-Antoine de Baïf. De ses voyages, en Italie, Ronsard a retenu le goût des académies littéraires. Il fonde la Brigade qui, avec l’apport d’hellénistes et latinistes brillants deviendra, la Pléiade. La Défense et illustration de la langue française (1549) de Joachim du Bellay en est le premier manifeste : il prône une littérature en langue vulgaire, c’est-à-dire

thème de son amour impossible (en fait, elle était tombée amoureuse à 16 ans de Maurice Scève qui lui en avait 35 à l’époque) afin de les mettre en musique et en chant. Œuvre célèbre : « Rymes de gentille et vertueuse dame ». • Joachim Du Bellay (1522-1560) Joachim Du Bellay rédigea le manifeste « Défense et Illustration de la langue française » (1549) du groupe de la Pléiade qui contient 7 membres. Le sentiment du regret l’inspiré considérablement dans ses plus belles pages. Œuvres célèbres

La Pléiade Son «noyau dur» : Ronsard, Du Bellay, Jean-Antoine de Baïf (1532-1589), condisciples au collège de Coqueret. Ceux qui l’ont rejoint : Étienne Jodelle (1532-1573), _ Rédigé à la hâte pour prendre le contre-pied de l’_Art poétique_ de Thomas Sébillet, ce manifeste exprime une "heureuse inconséquence" (V.L. Saulnier) : préconisant l’imitation des langues anciennes, il n’exclut pourtant pas que la langue française rivalise à son avantage avec elles, et, du même

JoachimDu Bellay Dates : 1522-1560 Il est issu d’une famille célèbre depuis la Renaissance. C’est un ami de Ronsard. Il entre avec Ronsard au Collège de Coqueret (Paris), centre de la poésie nouvelle qui forme les Humanistes. En 1549, Du Bellay publie un manifeste nommé Défense et Illustrations de la langue française, écrit en français  auparavant, tous les livres étaient écrits en latin. Dans cet ouvrage, Du Bellay prône l’enrichissement de la langue française. Il est à l’origine

poèmes, qui sont certes très différents les uns des autres, mais qui contiennent des thématiques communes. Je vais alors faire une brève présentation de chacun de mes poèmes, somme toute simpliste, en commençant par le « Sonnet 92 » de L’Olive de Joachim Du Bellay (1522-1560), publié dans la seconde édition de 1550, où il présente une sorte d’évolution de l’espoir qui semble au début n’être qu’un songe, mais qui, à la fin du sonnet, est recrée par Olive et se termine donc par une note d’Optimisme

qu’ont bâti mes aïeux,
Que des palais Romains le front audacieux,
Plus que le marbre dur me plaît l’ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin,
Plus mon petit Liré, que le mont Palatin,
Et plus que l’air marin la doulceur angevine. Joachim Du Bellay (1522 - 1560) L’écolier J’écrirai le jeudi j’écrirai le dimanche
Quand je n’irai pas à l’école
J’écrirai des nouvelles j’écrirai des romans
Et même des paraboles
Je parlerai de mon village je parlerai de mes parents
De mes aïeux de mes