João Havelange

internationale : la Coupe d'Amérique du Sud que remporte le PARAGUAY. Il faut patienter jusqu'en 1971 pour que la Fédération Internationale de Futsal (FIFUSA) voie le jour. Elle fixe son siège à Sao Paulo au BRESIL et son premier président sera Monsieur Joao Havelange, ancien président de la FIFA. Le futsal prend dès lors son envol et atteint une dimension mondiale. Il s'implante en Europe, puis en Asie et en Océanie et plus récemment en Afrique. Cette expansion rapide et cet engouement important pour l'activité

fins personnelles, en échange des droits de retransmission TV. Ils écoperont, respectivement, d’un avertissement et d’un blâme, ce qui leur permet tout de même de conserver leur poste au sein du CIO. Le seul à avoir démissionné est le brésilien Joao Havelange, ancien président de la FIFA. Egalement soupçonné de corruption, il a préféré se retirer de son poste au CIO plutôt que de se voir jugé et condamné. La procédure de désignation a donc due être revue et des commissions de visite et d’évaluation

internationales du sport ? L’affrontement entre le Brésilien Joao Havelange et l’Espagnol Juan Antonio Samaranch – respectivement président de la FIFA entre 1974 et 1998 et président du CIO de 1980 à 2001 –, s’est joué notamment dans les coulisses, sur fond de lobbying, de retours d’ascenseur plus ou moins discrets. Ainsi, l’actuel président de la FIFA, Sepp Blatter, avait peu caché qu’en tant que membre du CIO, sa voix irait pour Rio et son ancien mentor Havelange. À quelques semaines du verdict, ce dernier se

Etats-Unis, Sports et Argent avaient convolé en justes noces depuis longtemps.( QUIRK J. et FORT R., 1999, pp. | |50-51). A tout seigneur, tout honneur, reprend un adage français. Le football doit une partie importante de sa transformation à JOAO | |HAVELANGE . Et comme Octave qui s'écria | |«Acta est fabula », le Brésilien, octogénaire actuellement, pourrait, lui aussi, en entendant les records des droits

dans les années 1990 (Bourg, 1994). Cette intrusion de la télévision dans le registre sensément autonome du champ technico-sportif, pour choquante qu’elle puisse se révéler, n’est certes pas nouvelle. Il faut se souvenir de l’émoi provoqué par Joao Havelange, président de la Fifa, lorsque fut déposé en février 1990 un projet de réforme visant à rentabiliser la retransmission de la Coupe du monde de football prévue aux Etats-Unis en 1994 : il s’agissait de remplacer les deux mi-temps de 45 minutes