Johann Heinrich Füssli

ORALIntroduction : J’ai choisi une œuvre nommée le Cauchemar de Johann Heinrich Füssli. Il existe plusieurs versions du Cauchemar mais seulement deux sont exposées, une version de 1781 et une autre de 1790. J’ai choisi la version de 1741. Le Cauchemar est une huile sur toile de style fantastique et romantique créée en 1781. Cette œuvre mesure 101,6 cm de largeur sur 127 cm de longueur. C’est l’une de ses œuvres les plus célèbres. Celle-ci a suscité un extrême intérêt. Elle est exposée au Detroit

Le romantisme n’est, dans un premier temps, qu’un courant littéraire “Poèmes d’Ossian (1760)” œuvre de l’anglais James Macpherson ou Wilhelm Heinrich Wac-kenroder l’écrivain allemand précurseur également de ce romantisme littéraire qui, notamment, s’affichait en Allemagne comme anti-français et antirationaliste. Ce courant littéraire va influencer tous les autres arts, dont la peinture. Historiquement, vers la fin du 18e siècle, la civilisation occidentale a connu un bouleversement profond. La Révolution

Le Cauchemar : Le cauchemar est un tableau de 1782 peint par  Johann Heinrich Füssli. Le tableau à une structure pyramidale, en effet les 3 éléments principaux du tableau sont la femme, le démon et la tête de cheval, leur emplacement forme un triangle. Le style du tableau est le préts-romantique, et est centrée sur le gothique, l’horrible et l’imaginaire En effet les couleurs les plus présentes sur le tableau sont sombres, comme le noir au fond du tableau. Signe de présence gothique, l’horrible

guidage de la lumière sert à dramatiser la scène représentée, plutôt qu’à expliciter les formes, ce qui rend les compositions aussi plus mouvementées.
Les artistes du romantisme sont : John Constable, Eugène Delacroix, Caspar David Friedrich, Johann Heinrich Füssli, Théodore Géricault, Philipp Otto Runge, William Turner. Le romantisme triomphe en France avec Lamartine, Hugo, Musset, Vigny,( Nodier, Gautier ou Nerval, entre autres…) qui prolongent un courant qui remonte à Rousseau en passant par Mme

la chevalerie et le christianisme médiéval avant de prendre, en France, le sens de « mouvement opposé au classicisme ». L’ORIGINE DU ROMANTISME Dès la fin du xviiie siècle, l’Anglais William Blake, le Français Jean-Jacques Rousseau, les Allemands Johann Wolfgang von Goethe et Friedrich von Schiller apparaissent comme des précurseurs du romantisme, des « préromantiques ». Par exemple, on découvre déjà dans les œuvres de Jean-Jacques Rousseau les premières expressions d’un des aspects les plus importants

contente D'avoir de vos vertus mille illustres témoins ! Avec tous ces attraits, si l'on n'ose vous dire : « Je meurs d'amour pour vous, je languis, je soupire », Adorable comtesse, on n'en pense pas moins. Tableau : La Jeune Fille à la perle de Johannes Vermeer [pic] Le sonnet montre que la comtesse n’est pas seulement belle mais également intelligente. Le tableau montre une jeune fille de dos qui observe le spectateur, tout comme la joconde. La bouche entrouverte permet, avec le mouvement

retrouvons Frédérick Chopin, Pyotr I.Tchaikovsky, Ludwig Von Beethoven avec la lettre à Elise ou de son nom originale Für Elise, qui est une œuvre romantique qui aspire au lyrisme. Enfin dans l’art nous retrouvons: Caspar David Friedrich, Johann Heinrich Füssli, ou bien encore Théodore Géricault avec le radeau de la méduse.

(1791-1824) : le Radeau de la Méduse (1819) Eugène Delacroix  (1798-1863) : La Liberté guidant le peuple (1830) Théodore Chasseriaux  (1819-1856) : Le Khalife de Constantine Ali Ben Hamet, chef des Karachas, suivi de son escorte (1845) Allemand : Johann Heinrich Füssli (1741-1825) : Le Cauchemar (1781) Caspar David Friedrich  (1774-1840) : Le Voyageur contemplant une mer de nuages (1818) Anglais : William Turner (1775-1851): Pluie, vapeur, vitesse (1844) Espagnol : Francisco Goya (1746-1828) : Dos

au fur et à mesure que la médecine se sépare de la philosophie, le terme est aussi repris dans celle-ci et elle caractérise alors un être-là existentiel qu'on retrouve chez des écrivains, poètes et intellectuels. Johann Heinrich Füssli Ezzelin Bracciaferro, songeur, devant Méduna qu’il a tuée pour son infidélité lorsqu’il était absent en Terre sainte Vers 1780 Huile sur toile 50,8 x 61 cm Sir John Soane’s Museum, Londres L’âge des Lumières crée

l'âme. Les romantiques ne sont plus fascinés par l'antiquité mais par le Moyen-Age, ils sont attirés par l'exotisme, surtout les civilisations arabes. Quelques peintures romantique : Jean Auguste Dominique Ingres – Songe d'Ossian 1813 Johann Heinrich Fussli – Le cauchemar 1781 Caspar David Friedrich – Voyageur contemplant une mer de nuages Source : fr.m.wikipedia.org www.histoiredelart.net