Johannes Vermeer

(jouer, manipuler plutôt que « gober »). Parmi les grands enseignants : l’un des tout premiers c’est Kandinsky (peintre russe, il va se réfugier en Allemagne et va travailler l’atelier de couleurs au Bauhaus). Paul Klee : théorie des couleurs. Johannes Itten  elle va incarner cette première partie du Bauhaus. C’est un enseignant qui a créé sa propre école à Vienne. Ces cours au Bauhaus commençaient par un début de méditation. Puis, c’était des cours de couleurs qui donnaient naissance à la maquette

rôle social. » « un jeu auquel on se trouverait obligé de participer cesserait aussitôt d'être un jeu » R. CAILLOIS Stéphane CHAUVIER, Qu'est ce qu'un jeu, EDITION, DATE Marc VALLEUR ET Christian BUCHER, Le jeu pathologique, EDITION, DATE Johan HUIZINGA, Homo Ludens, EDITION, DATE 1 - Quelle définition pour l’enfance ? Ethymologie Le mot « enfance » est un dérivé de « enfant ». Ce mot vient du latin « infans » qui se traduit par « celui qui ne parle pas ». Dans l’antiquité romaine

ouvrage dans lequel un auteur prétend créer une histoire fantastique qui ne relève pas de la pure fantaisie ou du surnaturel. • Thomas More (1478-1535), Utopia, 1516 • Francis Godwin (1562-1633), et son Man in the Moon, 1638 • Johannes Kepler (1571-1630), Somnium, 1634 • Cyrano de Bergerac (1616-1655), Histoire comique des États et Empires de la Lune et Histoire comique des États et Empires du Soleil (satiriques), 1627 L'histoire officielle de la science-fiction désigne deux

s et commentaire des scènes 5 et 6 **Molière, Dom Juan : V, 5 et 6 le dénouement descriptif de la première partie de l'entretien : L'étude proposée est d'un bon niveau, elle se compose d'une introduction, d'une problématique, de la lecture des deux scènes à présenter à l'oral, d'un commentaire en trois axes avec pour chaque partie deux sous-parties de plusieurs arguments, une conclusion et deux ouvertures possibles pour terminer votre prestation orale. l'ordre d'étude de l'analyse vous

d’invention ni l’inventeur de la lunette d’approche, précurseur du télescope. On peut juste dire que cette invention a été conçue en Italie vers le 15e siècle. C’est en 1609 que l’astronome italien Galilée invente la première lunette astronomique, puis Johannes Kepler propose une amélioration de ce principe avec un formule à deux lentilles convexes. En 1663, le mathématicien écossais James Grégory propose une formule d’un télescope dont le grandissement est dû à un second miroir concave. Dans un télescope

l’ensemble des activités divertissantes. La principale difficulté est en fait de dégager le caractère distinctif du jeu qui définirait le jeu, seulement le jeu et entièrement le jeu. Le premier à avoir tenté de préciser le concept de façon notoire est Johan Huizinga 2 à travers son ouvrage « Homo Ludens » en 1951. Il définit le jeu comme étant « une action libre, sentie comme fictive et située en dehors de la vie courante, capable néanmoins d'absorber totalement le joueur ; une action dénuée de tout intérêt

par Aristarque de Samos (Grèc). Ce concept ne sera retrouvé qu'au 16e Siècle. Nicolas Copernic (1473-1543), astronome Polonais. L'héliocentrisme serait "un meilleur système" mais il n'a pas d'arguments pertinants. Son Oeuvre : De Revolutionibus. Johannes Kepler (1571-1630), astronome Allemand. auteur de 3 lois les planètes décrivent, autour du Soleil, des trajectoires planes /qui sont des éllipses dont le Soleil occupe l'un des foyers Il vérifiera ses lois. Galiléo Galiléi (1564-1642), astronome

Johannes Kepler (1571-1630) Johannes Kepler, ou Keppler, fut célèbre dans les domaines de l'astronomie et de la physique pour ses trois lois à propos du mouvement planétaire. Celles-ci sont d'ailleurs aujourd'hui connues sous le nom de Kepler. C'est le 27 décembre de l'an 1571 que naquit Kepler, à Weil der Stadt dans le Wurtemberg. Il étudia ensuite la théologie et les sciences humaines à l'université de Tübingen. C'est Michael Maestlin, son professeur de mathématiques de l'époque, qui l'influença

avant J.C.) qui participa à la décoration du Parthénon sur l’Acropole à Athènes.  Quant à son nom, il a évolué avec le temps.  Le mathématicien et moine franciscain Luca Pacioli (1445 ; 1517) parle de « Divine proportion », plus tard le physicien Johannes Kepler (1571 ; 1630) le désigne comme le « joyau de la géométrie ».  Alors que pour Léonard de Vinci, ce sera la « section dorée ».  Il faudra attendre 1932, avec le prince Matila Ghyka, diplomate et ingénieur pour entendre le terme de « nombre

Copernic, qui fut le premier à proposer un modèle héliocentrique incluant la Terre et toutes les planètes connues à l'époque. On doit à Galilée les observations astronomiques et les premiers principes mécaniques justifiant l'héliocentrisme, et à Johannes Kepler un modèle bien plus précis du système solaire, se démarquant notamment par l'introduction d'orbites elliptiques des planètes admettant le Soleil comme un de leurs foyers, et non plus circulaires. La théorie de l'héliocentrisme s'est opposée