John Fru Ndi

Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC), détient la majorité de sièges à l’Assemblée Nationale depuis septembre 2002 avec 150 députés sur 180 élus. Si le pays compte plus de 200 partis politiques légalisés, le Social Democratic Front (SDF) de Ni John Fru Ndi constitue le principal parti d’opposition. Les étapes du développement avant la crise des années 1980 L’évolution de l’économie camerounaise a connu plusieurs phases de développement assez soutenues, avant la crise économique des années 80. Le

poursuivit sous la houlette de Félix Roland Moumié (tué à Genève en 1960). Les nationalistes camerounais revendiquaient l'indépendance mais aussi la réunification du Cameroun. Ils rencontraient en cela le KNDP (Kamerun National Democratic Party) créé par John Ngu Foncha du côté britannique. L'évolution se précipita. En 1956, la France mit en vigueur une loi-cadre. En 1957, le Cameroun français devint partiellement autonome, avec André-Marie Mbida, président des Démocrates camerounais, puis Ahmadou

l’allemand Heinrich Barth visite la même cité quelques temps plus tard à partir de Tripoli et du lac Tchad ; le missionnaire britannique David Livingstone explore le Zambèze et, en 1855, découvre les chutes victoria ; en 1863, les explorateurs britanniques John Hanning Speke, venant du sud, et Samuel Baker, venu du nord, résolvent en partie le mystère des sources du Nil. A la suite de ces explorateurs arrivent les missionnaires chrétiens, puis les marchands européens. A/ Les raisons économiques :

le mois de mai a été marqué par un fait majeur avec le lancement d’un parti d’opposition, le Social Democratic Front (SDF). Parmi ses fondateurs : John Fru Ndi, un Anglophone de Bamenda (nord-ouest), libraire de profession et ancien membre du RDPC19, qui en deviendra la tête de proue. Après l’avoir fait enregistrer auprès de l’administration20, Fru Ndi et ses camarades ont décidé d’organiser le meeting inaugural du SDF le 26 mai dans leur fief, à Bamenda. Mais les choses ont mal tourné : les forces

22 juillet au Cameroun , sur les 5 maires de la ville de Douala, aucun n’est autochtone du Wouri ( Lengue Malapa de Douala 1é est Ewodi du Nkam, Denise Fampou de Douala 2è est ngrafi francophone, Oumarou Fadil de Douala 3è est foulbé du Grand Nord, John Ndangle kumase de Douala 4è est ngrafi anglophone et Françoise Foning de Douala 5è est ngrafi francophone.) 3 Il a occupé successivement de 1993 à 2003 les fonctions de Secrétaire Général de l’Université de Dschang en même temps qu’il était Doyen de

organismes relevant de vos secteurs de compétence respectifs: définitivement corps au concept de normalisation. A cet effet, je vous engage à prendre inlassablement en compte tant dans l'accomplissement de vos missions, que dans les relations Ni John Fru Ndi L'ANOR est chargée d'établir le programme national annuel d'élaboration des normes camerounaises sur la base des besoins exprimés par les acteurs économiques et sociaux, ainsi que des orientations des gouvernements. A cet égard, elle procède

anglophones et possèdent leurs Églises propres : la Convention of Baptist Churches (CBC) et la Presbyterian Church in Cameroon (PCC). Enfin, le Grand Ouest forme la base de l’opposition politique au Cameroun, dont sont issus les principaux leaders, John Fru Ndi et Adamou Ndam Njoya. Du point de vue géopolitique, le Cameroun échappe effectivement au clivage Nord musulman / Sud chrétien-animiste, en raison de la perpétuation d’une alliance entre les élites septentrionales musulmanes et les élites méridionales

Children in the political system. Origins of political legitimacy, New York, Mac Graw Hill, 1969 3 Bernard B. BERELSON, Paul F. LAZARSFELD, William N. MCPHEE, Voting, Chicago/ Londres, The University of Chicago Press, 1954 4 Norman H. NIE, Sidney VERBA et John R. PETROCIK, The Changing American Voter, Harvard University Press, 1979 5 Angus CAMPBELL, Philip CONVERSE, Warren MILLER, Donald STOKES, The American Voter, New York, Wiley and Sons, 1960 2 1 4 affectif et durable à un parti politique), mais

politiques représentés par les personnalités ci-après : DAKOLE DAÏSSALA, Joseph Charles NDAM DOUMBA, Augustin Frédéric KODOCK, BELLO BOUBA Maïgari, Adamou NJOYA, et John FRU NDI. Il était également structuré d’autres personnalités suivantes : AYANG Luc, Feu Charles ASSALE, BOUBA BELLO GONI, feu Emmanuel EGBE TABI, Fon ANGWAFOR III, feu John NGU FONCHA, Samuel KAME, Jean KEUTCHA, feu ENOCH KWAYEB, Lamido de REY BOUBA, N.N MBILLE, Sultan Ibrahim MBOMBO NJOYA, feu BASILE EMAH, Dieudonné MONTHE, MOUSSA YAYA

sont anglophones et possèdent leurs propres églises : la Convention of Baptist Churches (CBC), et la Presbyterian Church in Cameroon (PCC). Ces provinces constituent le fief de l’opposition politique dont sont issus les deux principaux leaders : John Fru Ndi et Adamou Ndam Njoya. Pour autant, ce pays échappe au clivage Nord musulman et Sud chrétien-animiste que l’on peut observer au Nigéria, en raison de la perpétuation d’une alliance entre les élites septentrionales musulmanes et les élites méridionales