Joseph Fouché

constitution allemande. Dans la nuit du 27 au 28 février 1933, un militant politique isolé, Marinus van der Lubbe, qui avait la nationalité néerlandaise, mit le feu au bâtiment du parlement allemand (le Reichstag). Hitler et son ministre de la propagande, Joseph Goebbels, présentèrent cet événement comme le prélude d’un soulèvement armé communiste et parvinrent à persuader le vieux président Paul von Hindenburg, de proclamer ce qui devait devenir un état d’urgence permanent. Ce décret, connu sous le nom de

favorise l’apparition des Koulaks qui sont des paysans riches et des Nepmen qui sont des artisans riches grâce à la NEP. La NEP va faire reculer la famine mais le chômage reste très important. C) La montée au pouvoir de Staline Joseph Staline (1979-1953) est le fils d’un cordonnier envoyé au séminaire mais chassé pour ses idées révolutionnaires. Il se rallie aux idées de Lénine et devient militant bolchevik. Il prend le surnom de Staline et est élu ensuite secrétaire général du

Nazisme : 11 novembre 1918 : armistice 9 novembre 1918 : République de Weimar, abdication de guillaume II opposition droite/extrême droite (nobles, anciens combattants,…) reprochant la signature du traité de Versailles Janvier 1919 : semaine sanglante

Yalta qui se sont déroulés du 4 au 11 Février 1945 à Yalta, sur les rivages de la Mer Noire, en Crimée, c'est à dire en territoire soviétique, Staline accueillant les dirigeants alliés anglo-saxons. Le communiqué est commun aux trois signataires, Joseph Staline président du conseil des commissaires du peuple de l'URSS et premier secrétaire du PCUS, Franklin D. Roosevelt, président des Etats-Unis et Winston Churchill, premier ministre britannique, et il définit les points d'accord entre les 3 dirigeants

La guerre froide I – La fin de la Grande Alliance 1) La rupture Est-Ouest • Avant même la fin de la guerre, la méfiance s’installe entre les vainqueurs. A Potsdam, en juillet-août 1945, les divergences (écarts) paraissent déjà profondes. Cette conférence avait pour but de régler les problèmes de l’après guerre pourtant sur l’accord sur l’occupation de l’Allemagne et l’Asie orientale ainsi que le partage de l’Europe en deux zones d’influences : américaine et soviétique chacun ayant

Le plan Marshall « Il est logique que les États-Unis fassent tout ce qui sera en leur pouvoir pour contribuer au retour de conditions économiques normalement saines dans le monde, sans lesquelles il ne peut y avoir de stabilité politique ni de paix assurée. Notre politique n'est dirigée ni contre un pays ni contre une doctrine, mais contre la faim, la pauvreté, le désespoir et le chaos. Son objectif devrait être de remettre l'économie mondiale en état de fonctionner, et d'ainsi permettre l'émergence

En 1945, l’Union soviétique est en position de force en Europe de l’Est. La situation militaire due à la progression de l’Armée rouge au cours de la guerre permet à Staline de bénéficier d’une présence militaire en Europe Orientale. C’est l’Armée rouge qui a pris Berlin en mai 1945, et Staline décide de la laisser dans les territoires qu’elle a "libérés" du nazisme. Staline a signé les accords de Yalta et notamment la "déclaration sur l’Europe libérée" qui l’engage à respecter le droit des peuples

Staline ne veut aucune opposition à l'intérieur même du Parti. -Staline veut un État fort et autoritaire. Il pousse le nationalisme, le chauvinisme et la xénophobie à leur extrême. Il embrigade également la jeunesse. {text:list-item} Joseph Vissarionovitch Djougatchvili, dit Staline l' « homme d'acier » est né le 21 décembre 1879 à Gori en Géorgie dans une famille ouvrière . C'est à l'âge de 19 ans qu'il intègre le parti communiste clandestin . Pendant la guerre civile, Staline élabore

partie de la doctrine soutient, en particulier Jean Foyer 4 l’ancien garde des sceaux du Général de Gaulle qui participa à la rédaction de la Constitution. Cette conception prévalait déjà sous la Troisième République, elle était exprimée par Duez et Joseph-Barthélémy (5) ainsi que sous la Quatrième République où Georges Vedel (6) la rappelait. D’ailleurs les faits la confirment. b) Sur le plan des faits Deux précédents peuvent être cités. Celui du président Poincaré que rappelait Dominique Chagnollaud

comme par exemple le cor, sont modifiés par les facteurs d'instruments de manière à devenir plus maniables. Les sonorités inventées par les romantiques sont particulièrement colorées et évocatrices, davantage en tout cas que chez des classiques comme Joseph Haydn ou Wolfgang Amadeus Mozart. À la jonction de ces deux courants se situe la puissante personnalité de Ludwig van Beethoven, dont les premières œuvres se rattachent à l'esthétique classique tandis que celles de sa maturité doivent être considérées