Joseph-François Baudelaire

textes ? -Tirso de Molina, le Trompeur de Séville et le Convive de pierre, scènes 7 et 8 - W. Mozart,livret de Da Ponte, Don Giovanni, « Air du catalogue » - Ernst-Theodor Hoffmann, « Don Juan », in Fantaisies à la manière de Callot, 1814-1815 - Baudelaire, « Don Juan aux Enfers », In : Les Fleurs du Mal, « Spleen et Idéal », XV - Eric-Emmanuel Schmitt, La Nuit de Valognes, 1991, III,13 in Théâtre *Le dénouement de DJ - Tirso de Molina, le Trompeur de Séville et le Convive de pierre - P. Corneille

situations de l’âme, que les artistes du passé ont dédaignés ou n’ont pas connus. Qui dit romantisme dit art moderne, c’est-à-dire intimité, spiritualité, couleur, aspiration vers l’infini, exprimées par tous les moyens que contiennent les arts. » Ch. Baudelaire, Curiosités esthétiques. Portrait de lord Byron, de Théodore Géricault. Le peintre français, qui avait séjourné en Angleterre, rend ici hommage à l’une des grandes figures du romantisme. / Giraudon et à un même savoir, issu de la redécouverte

1912 . Charles Baudelaire , « L’horloge » , Les fleurs du mal , 1857 Alphonse de Lamartine , « Le lac » , Méditations poétiques .1820 Esther Granek , « Saisir l’instant » , Je cours après mon ombre , 1981 Louise Ackermann ,  « Le fantôme » , Contes et poésies , 1863 Victor Hugo, « Soleils couchants » , Les Feuilles d'Automne,1831 Théodore de Banville, « bien souvent je revois … » , Les cariatides , 1841 Charles Baudelaire , « L’ennemi » , les fleurs du mal ,1861 François Coppée , « Décembre »

Duranty en France ; elles demeurent secondaires dans toutes les littératures. En second lieu, ce sont des œuvres fondées sur l'esthétique hégélienne, pour laquelle le Vrai et le Beau sont des critères respectifs : ce sera la voie de Flaubert, de Baudelaire et, plus tard, d'Henry James et de Proust. Enfin, et c'est le cas le plus fréquent, sont réalistes des œuvres résolument engagées, dans quelque sens que ce soit, et dont le but est d'abord non pas artistique, mais psychologique, moral, social, politique

tremblements 1999 M. François TAILLANDIER Anielka 1998 Mme Anne WIAZEMSKY Une poignée de gens 1997 M. Patrick RAMBAUD La Bataille 1996 Mme Calixthe BEYALA Les Honneurs perdus 1995 M. Alphonse BOUDARD Mourir d’enfance 1994 M. Frédéric VITOUX La Comédie de Terracina 1993 M. Philippe BEAUSSANT Héloïse 1992 M. Franz-Olivier GIESBERT L’Affreux 1991 M. François SUREAU L’Infortune 1990 Mme Paule CONSTANT White spirit 1989 Mme Geneviève DORMANN Le Bal du Dodo 1988 M. François-Olivier ROUSSEAU La

Gautier commença à participer aux rencontres du « petit cénacle », groupe d’artistes et d’écrivains qui se réunissait dans l’atelier du sculpteur Jehan Duseigneur. Là, il se lia d’amitié avec Nerval, Pétrus Borel, Alphonse Brot, Philotée O’Neddy et Joseph Bouchardy. Il menait à cette époque une joyeuse vie de bohème. C’est le 4 mai 1831 que le Cabinet de lecture publia la Cafetière, son premier conte fantastique. Dès lors, son talent dans cette veine très en vogue ne devait cesser de s’affirmer

catholique a un faible pour les êtres révoltés, marginaux, sataniques, hors de toute mesure et de toute norme, pour les climats de violence paroxystique. Une vieille maîtresse (1851), L'Ensorcelée (1854), Un prêtre marié (1864), Les Diaboliques (1874). BAUDELAIRE (Charles, 1821-1867). Révolté contre sa famille Sa mère s'est remariée au général Aupick et contre la société, il mène une vie dissipée qui amène son entourage à l'envoyer faire un grand voyage maritime (1841-1842), puis à lui donner un conseil

ses intentions et se remit au service de Charles VII de France. Il remplissait les fonctions d'élu du Bas-Limousin, mais sa résidence se situait à Paris. Il écrivit également des poèmes satiriques : ses contemporains le comparèrent quelquefois à François Villon, étant le poète français le plus connut durant le Moyen-âge. Ce poème qui est lui aussi du 15ème siècle présentant toujours l’érotisme car cela parle d’un valet et du ventre de Charlotte, on peut donc dire que c’est érotique. Gilles D'Aurigny

mouvement, souvent confus, des idées ne prenant, la plupart du temps, conscience de lui que dans l’après-coup, la pensée d’une époque ne se détachant clairement sur un fond mouvementé que pour la ou les générations d’après : c’est pour nous que Baudelaire est le premier poète de la « modernité ») ; ou simplement relatifs à la datation des « mouvements », constitués ou non en « écoles », rassemblés ou non autour d’une figure maîtresse, conscients ou non d’eux-mêmes. Cependant, face à l’extraordinaire

demeurer chez lui. » L’accord entre le maître et l’élève, d’humeur également vive, ne fut pas de longue durée. Néanmoins, Watteau conserva toujours pour Gillot une grande reconnaissance, car « c’est chez lui qu’il se débrouilla complètement », dira Edmé-François Gersaint. C’est bien chez Gillot, en effet, qu’il prit le goût des scènes de théâtre, des fantaisies galantes, des arabesques à figurines, des mythologies et des singeries, et qu’il s’enhardit dans ses tendances naturelles à observer sans cesse les