Jour de l'Unité allemande

précédemment. Mais cette définition demeure très vague et de la volonté de hiérarchiser ces composantes, de préciser celles-ci vont naître deux conceptions de la nation appelées à un certain succès que, pour schématiser, j’appellerai la «française» et l’«allemande». 1. De la Nation révolutionnaire à la conception dite «française» de la Nation. Comme il est exposé dans l’article 3 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, «Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la nation»

Causes de la 1ère G.M (1914-18)Objectifs Expliquer le nationalisme allemand (pangermanisme), français (revanchard) et italien (irrédentisme) Expliquer les difficultés que rencontre les pays Expliquer le jeu d’alliance (comment cela s’est formé ?) Expliquer les motifs des pays qui les inciteraient à se battre L’idée est de comprendre la situation politique, sociale et géographique du monde avant l’assassinat de François – Ferdinand. L'assassinat Meurtre de l'archiduc Franz Ferdinand (AH) à Sarajevo

homme porté par deux autres criait à pleine gorge ; il avait l’air d’un possédé ; il dit à peu près ce qui suit : « Qu’on nous accorde ce qui est conforme à l’esprit du temps (bravos), la liberté de la presse (bravos), la justice est rendue au grand jour (bravos), la liberté de pensée (vivats) » et bien d’autres choses encore. A six heures du soir, pendant qu’on se battait sur les places, j’appris que l’on commençait à faire des concessions, et que la première concession accordée était la chute de

La politique menée par Bismarck en AllemagneIntroductionI-Un homme conservateur au pouvoir a- Bismarck, fils de junkerb- Les débuts de Bismarck contre révolutionniste c-  “Par le fer et par le sang”II- La création d’une allemagne unie a- l’unification du territoire en deux étapes                -La victoire de 1866                -La victoire de 1871 b- l’unification du peuple et la naissance d’un sentiment national par des réformes sociales                -affirmer le parti politique et lutter contre

partagée ; deux France s’opposent. Au XIIe siècle, selon que l’on est du Nord ou du Midi, l’on se trouve en pays de langue d’Oïl ou de langue d’Oc, or Ch. de Troyes, comme l’analyse fort bien Aragon dans " La leçon de Ribérac " a le premier fait l’unité de la France en écrivant en langue romane - c’est-à-dire française - une œuvre qui puise ses sources dans la matière de Bretagne tout en promouvant des valeurs qui sont celles de la poésie courtoise des troubadours de la cour d’Aliénore d’Aquitaine

aux années 1970 : une mémoire héroïque 1. Une nécessité : reconstruire l’unité nationale En 1945, les Français sortent traumatisés de la Seconde Guerre mondiale : la défaite militaire de mai-juin 1940 et l’armistice, la collaboration menée par le régime de Vichy, les persécutions politiques et raciales, l’épuration ont divisé la nation. Dès la Libération, la priorité du général de Gaulle est de reconstruire l’unité nationale autour de sa personne en pansant ces blessures : il faut oublier

système westphalien fait référence à une vieille époque (1648), et aux traités de Westphalie, qui mettent fin de la guerre de Trente Ans (1618-1648). Une guerre qui a frappé les contemporains. Cette guerre concernait l’espace allemand, car les différentes nations allemandes se trouvaient regroupées sous le Saint Empire Romain Germanique, et cet espace a été marqué par la querelles religieuses (affrontement entre les catholiques et les protestants).Peu à peu ce conflit s’étend, et devient européenne

Nous chercherons plutôt l'explication de l’arrivée au pouvoir d’Hitler dans l’évolution de la société allemande, non de sa mentalité, mais des rapports de force fondamentaux autour desquels s’organisent l’équilibre des pouvoirs politiques et socio-économiques. Nous montrerons qu’il existait en Allemagne des forces et des organisations qui avaient la capacité de stopper Hitler, et que ce sont justement les échecs et les erreurs de ces organisations qui ont permis aux nazis de prendre le pouvoir.

l'Europe ne revêt aucune signification politique. Pour eux l'Europe est juste un espace géographique. Les grands écrivains romains soit n'utilisent pas le mot "Europe" ou lorsqu'ils le font ils n'y attachent aucune importance ; et ce car pour eux l'unité politique de l'empire romain se fonde tout simplement autour de la méditerranée. De plus, c'est la mer Méditerranée qui a servi d'axe à la conquête romaine. L'Europe est donc en réalité plutôt l'œuvre des hommes plutôt que l'œuvre de la nature

Charles Quint, élu empereur du Saint Empire Germanique en 1519, peut voir son règne tel une monarchie absolue, c'est-à-dire réunir ses sujets son l’unité chrétienne dont il fut un fervent défenseur tout au long de sa vie. « Cujus regio, ejus religio » : La religion dans son sens commun relie les individus entre eux par le biais de rites et de croyances, or en ce qu’elle ordonne une communauté, la religion quelle qu’elle soit est porteuse d’un modèle de société ; et c’est ce que le règne de Charles