Journalisme gonzo

en journalisme, qui seront en plein ère où le web et le numérique ne cessent d’évoluer, lorsqu’ils deviendront de vrais journalistes. Cet œuvre raconte les propos d’un colloque qui s’est tenu à l’Université du Québec à Montréal (UQAM), le 11 mars 2010. Des journalistes du quotidien Le Devoir ainsi que le directeur du journal étaient présents à ce colloque, pour, entre autre, fêter le centième anniversaire du Devoir. Ce colloque avait pour but de faire réfléchir les étudiants en journalisme de la

Duroy d'atteindre le sommet de la pyramide sociale. Dans ce monde du journalisme sont évoquées des complications politiques sur fond d’économie, avec les dessous de la colonisation Française dans les pays du Moyen-Orient actuel. L’argent s’inscrit donc dans un récit vraisemblable, dans les dessous de la presse Parisienne, en rapport avec l’actualité de l’époque. Maupassant connaissait parfaitement le monde du journalisme. Il utilise en quelque sorte George Duroy comme le porte-parole de toutes

largement la période de l’Occupation. En effet, Jean Guéhenno, déjà directeur de la revue Europe en 1929 avant de ne quitter son poste pour cause de désaccord politique en 1936 fonde l’hebdomadaire Vendredi journal du Front Populaire ces actions de journalisme engagé attestent de la volonté de l’auteur d’ancrer son travail dans les luttes de son temps. Durant l’Après-guerre, il est chargé de l’organisation et de la direction de la culture populaire et des mouvements de jeunesse. C’est dans ce cadre là

lancés sur ce marché et proposent des journaux gratuits "locaux" pour concurrencer les formats gratuits nationaux et internationaux. Car comme l'a dit Pierre Boucaud, anciennement directeur de la Chaine Marseille, lors d'une conférence à l'École de Journalisme et de Communication de Marseille : "L'avenir est dans le local...". Pour notre part nous préfèrerons dire que l'avenir est dans le gratuit ! Histoire des médias et institutions politiques Master 1 CCN-J (2009/2010) - EJCM Les journaux gratuits

Emprunter et alterner : une étude des phénomènes d'emprunt et d'alternance codique, application à un corpus de textes journalistiques issus de la presse francophone marocaine L’existence et la vivacité de la presse francophone au Maroc est la preuve que la langue française n’a en rien reculé du territoire, malgré la fin de la présence coloniale française, en 1956. Le français marocain se trouve être sujet à différentes influences : celle de l’anglais, langue qui tend à s’imposer mondialement ;

citoyens devant la loi, vu que les premiers font grise mine à toute poursuite judiciaire à leur encontre, sous prétexte de la liberté de la presse. Certes, je suis fondamentalement défenseur de cette liberté, il n’en reste pas moins, que les enjeux du journalisme, comme métier, sont tels que celui qui le pratique doit s’attendre durant sa carrière à des poursuites judiciaires ou des évènements un peu sombres et ce, pour diffamation, publication d’informations erronées, des reportages mal renseignés….Alors

substituer à l’expérience directe du monde. Aussi conditionne-t-elle plus que jamais plus que jamais notre représentation du monde. C’est pourquoi nous ne pouvons que souhaiter qu’elle soit intègre), (en écho à Léon Blum pour qui « la règle d’or » du journalisme est non pas de « ne dire que la vérité, ce qui est simple, mais de dire toute la vérité, ce qui est bien plus difficile. ») (Cette revendication de transparence et d’exhaustivité est d’autant plus poignante qu’elle émane d’un homme qui, au lendemain

part, la presse gratuite a fait polémique puisque de nombreuses personnes doutaient de sa fiabilité. Cependant, malgré les doutes et les préjugés, la presse gratuite a tout de même réussie à faire sa place face aux grands quotidiens du monde du journalisme tel que, « La Tribune » ou encore « L’Est Républicain » au niveau régional. C’est pourquoi nous chercherons à savoir si la presse gratuite est bénéfique pour notre pays et si celle-ci a changé les habitudes des lecteurs voir de non lecteurs. Tout

NETWORK, 1976 (Sydney Lumet) Le film « network » nous plonge dans le milieu journalistique, le monde de la télévision et l’impact qui en résulte. A travers ce film, plusieurs thèmes sont abordés : • Tout d’abord, l’auteur fait le blâme des programmes de télévisions, il oppose 2 générations, l’ancienne, qui travaille selon des principes (autonomie, indépendance de l’information), et qui privilégie la base du métier, faire de l’information, et l’autre, dont la seule priorité est de faire de l’audience

l’opposition au colonialisme, une sorte de riposte virulente, d’abord réformiste puis très vite nationaliste, face aux protectorats français et espagnol. Formée dans le cadre de cette lutte indépendantiste, la presse marocaine incarne avant tout un journalisme d’opposition qui, embryonnaire au début des années vingt, notamment lors de la guerre du Rif, s’impose de plus en plus dans les années trente avant d’acquérir le statut d’arme politique, durant la décennie 1940. Au-delà de l’analyse technique de