Judaïsme rabbinique

La christianisation du monde gallo-romain Introduction             Le christianisme est né dans la province de Palestine, une province aux marges de l'Empire romain. D'abord considéré comme une secte juive, le christianisme s'est détaché de la religion juive pour se diffuser partout dans l'Empire, progressivement, et non sans avoir connu des périodes difficiles.   Les premiers témoignages concernant cette religion nouvelle sont des textes d'auteurs latins du 1er siècle. Jusqu'à la fin du 3ème siècle

rapports du peuple hébreu avec un dieu unique : Yahvé ("Celui qui est"). Ce texte est à la base de trois des plus grandes religions monothéistes du monde : le judaïsme, le christianisme et l’islam. Pour comprendre la naissance du christianisme, il faut voir rapidement quelle a été l’histoire du peuple hébreu dans l’Antiquité. I. LE JUDAÏSME ET LE MONDE JUIF, AU TEMPS DE JÉSUS A/ L’Histoire du peuple de la Bilble Vers 1850 av. J.C., les Hébreux, peuple nomade, quittent la Mésopotamie, sous

être humain a un besoin du religieux, ce qui donne un sens au groupe et redonne une identité. I) Bref parcours sur les religions 1) les religions révélées Elles ont toutes la même finalité : apporter une lumière dans les ténèbres. a) le judaïsme : 13 millions dans le monde. Lutte contre les religions païennes, respect du prochain, respect de la liberté humaine. b) l'islam : 1 milliard 200 millions, dont beaucoup en Asie. Islam veut dire soumission à Dieu. En 612 : révélation du

rapport avec ces documents iconographiques et qui montrent les juifs comme des bourgeois pervers et vénaux. g. La vie spirituelle et religieuse Dans le ghetto, sont rassemblés des milliers de juifs religieux provenant de tous les courants du judaïsme polonais, créant ainsi des réseaux communautaires. Il existe entre les murs des écoles juives, des synagogues, des écoles talmudiques pour adultes. Un même local a parfois plusieurs affectations. Cependant, dans l’enceinte du « quartier juif », il

fils et ainsi de suite, montrerai le temps qui s'écoule entre la "création" de la religion et sa "disparition". Ensuite, l'anneau qui s'est divisée en trois au cour du temps représenteraient les trois religions monothéistes le christianisme, le judaïsme et l'islamisme : les trois religions apparaissant dans la pièce. Le dernier père serait alors Dieu, qui, ayant eu trois fils, ne saurait que faire de cette seule et même religion et finirait donc par la séparer. De plus, il est dit que « lorsqu'il

ainsi que cette nouvelle religion monothéiste : l’Islam se répand sur l’ensemble de la péninsule arabique. 2. Une nouvelle religion ● Religion monothéiste : elle se présente non pas comme une religion nouvelle mais comme le prolongement du judaïsme et du christianisme. Le principe de l’unicité de dieu conduit l’Islam à un monothéisme strict qui s’oppose au dogme de la trinité de la religion chrétienne. L’Islam est une religion du salut donc de l’espérance puisqu’elle promet le paradis à ses

l’hégémonie. La thèse du complot juif est attisé par Wilhelm Marr en 1879 dans un pamphlet intitulé « la victoire de la judéité sur le germanisme ». L’antisémitisme voit le jour dans cet écrit sans pour autant perdre les caractéristiques de l’anti-judaïsme traditionnel. Il influence fortement les étudiants qui s’organisent dans les Burschenshaft pour la création d’une unité nationale en Allemagne. C’est le juif qui divise pour régner. Après avoir mis en lumière les mobiles qui génèrent l’hostilité

l’arrivé des sionistes sur leurs terres, cette ville sainte devient alors petit à petit le symbole de leur identité nationale. Mais en contre partie depuis la période antique, Jérusalem incarnera la centralité politique, sociale et religieuse du judaïsme et de son peuple juif. Sa diaspora multiséculaire et sa souveraineté retrouvée avec l’état d’Israël contemporain symbolisent la détermination et l’aboutissement d’un retour sur la terre de leurs ancêtres. Lorsque les juifs arrivent en Palestine

quitter métier et famille. Il émet cette exigence, seulement proférée par quelques philosophes stoïciens : "Laisse les morts enterrer leurs morts." (Matthieu, 8, 22.) L'urgence de l'appel ne souffre aucune exception, pas même les rites funèbres dont le judaïsme faisait un devoir sacré. Et lorsqu'il envoie ses disciples en mission, il leur recommande - inconcevable au Proche- Orient ! - de ne saluer personne en chemin. A cet état d'urgence répond la radicalité de sa relecture de la Torah. Non seulement

Christ a enseigné : Au chrétien de réfléchir en conscience sur l'utilisation de son argent pour son bien, son équilibre personnel et familial. A chacun d'éviter de le gaspiller dans l'inutile, le superflu et les abus de la société de consommation. Judaïsme La Torah est consciente des besoins matériels et ne s’oppose pas à l'occupation professionnelle, dont le but est d’assurer la subsistance de l’individu et de sa famille, ainsi qu'il est rapporté dans le Sifri, « "Je te bénirai.". Ne crois pas