Judith Malina

peut y parvenir. Le problème est que pour la transe, il faut communauté et communion mais le public occidental est laïcisé et éclaté, alors qu’Artaud rêve de foules immenses dans un théâtre ritualisé. La « peste » à New-York En 58, Julian Beck et Judith Malina du Living Theatre découvrent Artaud. Ils sont marqués par la métaphore de la peste : l’épidémie provoque une formidable explosion libératrice, le pestiféré va jusqu’au bout de lui-même car il n’a plus aucun avenir, l’individu est enfermé dans le

sphere, we can be, at the same time, painter, photographer, writer, the important thing is to liberate art. In this perspective, The Living Theatre is a good example. Founded in 1947 as an imaginative alternative to the commercial theatre by Judith Malina, the German-born student of Erwin Piscator, and Julian Beck, an abstract expressionist painter of the New York School, The Living Theatre has staged nearly a hundred productions performed in eight languages in 28 countries on five continents -

considère comme un crime. Elle se sent en butte à la haine de Vénus, c'est-à-dire à la fatalité. (...1 Cette irresponsabilité doit planer sur la pièce. Ce n'est pas une amoureuse ordinaire, c'est un rouage, une possédée. Ceci la grandit. " 1955 : Judith Malina (Grenier Living Theatre, New York) " Je me bats, traverse des agonies, m'exténue à chaque répétition. C'est inimaginable ce que je me fais à moi-même sur cette scène. Je suis possédée, complètement délirante, et cependant contrôlée. Ce pourrait

Feu sacré. Souvenirs d’une vie de théâtre Fayard Lista (Giovanni) 1976 Le Théâtre futuriste italien 2 vol. L’Âge d’homme Living Theatre 1968 Le Living Theatre (Biner Pierre) La Cité 1969 Living Theatre, entretiens avec Julian Beck et Judith Malina (Lebel Jean-Jacques) Belfond 1978 La Vie du théâtre (Beck Julian) Gallimard, coll. «Pratique du théâtre» Lumbroso (Fernand) 1991 Mémoires d’un homme de spectacles Lieu commun Mallarmé (Stéphane) 1956 Crayonné au théâtre in OEuvres complètes

Albert, Imitation et Renaissance dans la poésie de Ronsard, Droz, 1984. – deGuy Michel. Tombeau de Du Bellay, Gallimard, 1973. – Gadoffre Gilbert, Du Bellay et le sacré, Gallimard, 1978. – Gray Floyd, La Poétique de Du Bellay, Nizet, 1978. – Chavanne Judith, Les Regrets de Du Bellay, Nathan (coll. Balises), 1997. Variations baroques et classiques TexTe 5 ➜ p. 192 Saint-Amant, La Solitude n 1. Situation du texte n 4. Une tonalité discrète et mystérieuse (question 5) En opposition avec