Jules Romains L Homme Blanc

noblesse d’attitude des corps, ▪ sévérité, expression pensive, ▪ attention nature et réalisme, ▪ pas de statues colossales : précision et détail (chouette) • Œuvres ▪ Stèle d’Athéna pensive : votive en marbre blanc ▪ > acropole d’Athéna ( 460), ▪ Expression pensive, ▪ Sculpture très fine et détaille, ▪ Aurige de Delphes : 470> quadrige de bronze consacrant

question des principes qui règlent la vie des citoyens. (Le Marquis rédigeait des projets de lois dont deux sont arrivés jusqu'à nous ; les arènes publiques de combat comme celles des Romains et des établissements de prostitution règlés par l'État.) Sade lui-même affirme que le seul tort qu'il peut pardonner à un homme c'est celui de croire à Dieu, pour Sade l'ennemi aussi bien que l'autre ne sont que des outils pour parvenir à l'état le plus parfait de la nature, à savoir celui de la destruction

| | |Sur les merveilles des nuits |Sur toute chair accordée | |Sur le pain blanc des journées |Sur le front de mes amis | |Sur les saisons fiancées |Sur chaque main qui se tend | |J'écris

après 1792, le critère de la représentation nationale n'est pas l'élection, mais la participation au pouvoir législatif. B/ Les modalités de la représentation 1° Le rejet de la conception classique Le mandat est une institution de droit romain qui va être transposé du droit privé au droit public, dans le cadre des Etats généraux. La nature du mandat ne change pas. Un mandat est un acte par lequel une personne donne pouvoir à une autre personne, d'agir en son nom et conformément à sa volonté

vieillards, quatre animaux ailés, sept vertus, le char triomphal de l’Église traîné par un griffon, trois dames à droite et quatre à gauche et sept derniers vieillards. Chant XXX À l’arrêt du char, dans un nuage de fleurs, Béatrice, voilée de blanc, ceinte d'une branche d'olivier, portant un manteau vert et une robe flamboyante, vient se poser sur le char de l'Église, faisant une glorieuse apparition devant le poète qui la reconnaît et est en proie à une émotion intense. Se rappelant les années

rattachée au reste du continent par le massif des Alpes. Le territoire italien correspond approximativement à la région géographique homonyme. L’apport de l’Italie à la civilisation occidentale est immense : elle est notamment le berceau de l’Empire romain, du Saint-Siège, des Républiques maritimes et de la Renaissance. Existant en tant qu’État unitaire depuis le Risorgimento (Renaissance ou Résurrection) menée par le Royaume de Sardaigne en 1861, l'Italie est une République depuis l'abolition par référendum

Méditerranée ainsi qu'à deux îles de cette mer, la Sicile et la Sardaigne. Elle est rattachée au reste du continent par le massif des Alpes. L’apport de l’Italie à la civilisation occidentale est immense : elle est notamment le berceau de l’Empire romain et de la Renaissance. Existant en tant qu’État depuis le Royaume de Sardaigne, l'Italie est une République depuis l'abolition par référendum de la monarchie italienne en 1946. Elle est membre fondateur de l’Union européenne (UE). L’Italie reste un

ressemblent mais ils l’ont fait en nous laissant l’image de l’animalité qu’ils quittaient. Voilà le paradoxe : au moment où l’homme devient proprement homme, il s’efface devant l’animal. Il le fait en multipliant les représentations animales mais aussi parce que lorsqu’il se représente lui-même, il se dissimule souvent sous les traits d’un animal. Cet homme qui possédait jusqu’à la virtuosité les ressources du dessin dédaignait son propre visage. Par la virtuosité du dessin, il inaugure l’humanité. Lorsqu’il

avant les bœufs, se grattait là où cela ne le démangeait 1. Éculait : usait. 2. Fouace : pain brioché. 3. Patenôtre : prière. 5 10 15 208 Gargantua point, tirait les vers du nez, trop embrassait et étreignait peu, mangeait en premier son pain blanc, ferrait les cigales, se chatouillait pour se faire rire, ruait très bien en cuisine, faisait offrande aux dieux de gerbes de foin, faisait chan- ter Magnificat pour les mâtines1 et le trouvait bien à pro- pos, mangeait des choux et chiait de la

Aristote, la seule véritable amitié est l'amitié vertueuse. Cette dernière est recherchée par tout homme, même si tout homme ne la rencontre pas nécessairement. Elle peut naître entre deux individus d'« égale vertu » selon le philosophe et se distingue de l'amour en cela que l'amour crée une dépendance entre les individus. Toujours selon Aristote, l'ami vertueux (« véritable ») est le seul qui permet à un homme de progresser car l'ami vertueux est en réalité le miroir dans lequel il est possible de se voir