Julian Assange

d’alerte de copier et de diffuser auprès des médias et du public une grande quantité d’informations. Internet permet d'une diffusion rapide et mondiale d'une information, soit directement, soit après qu'elle soit relayée. C'est bien pour cela que Julian Assange, fonde WikiLeaks, un site Internet en 2006 pour publier de manière rapide, immédiate et mondiale des scandales ou des atteintes aux libertés fondamentales. Les membres de WikiLeaks s’appuient sur les principes démocratiques et les acquis des droits

tension. En effet, les conflits interétatiques peuvent également créer des tensions potentielles. C'est ainsi que l'incident WikiLeaks s'est produit. Révélant les actions des forces américaines en Afghanistan sur de possibles crimes de guerre. « Julian Assange » s’est mis dans en danger vis-à-vis du gouvernement Américain. Car cette affaire nous montre bien un paradoxe. En effet, les inquiétudes ne proviennent pas de la diffusion de mensonges. Mais des normes qui limitent l'accès à la vérité les «

Mondiale grâce aux écoutes et aux piratages de circuits électromagnétiques. La NSA a aussi le rôle d’assurer la sécurité des systèmes de communications et de traitement des données. Certaines personnes ont voulu lutter contre cet espionnage comme Julian Assange, il a créé un site WikiLeaks dans lequel il publie des documents secrets sur plusieurs pays ou organisme du monde entier comme l’Union Européenne ou encore les Etats-Unis. Mais ce n’est pas le seul moyen de se faire observer et pister. 2) La

compromettant l'Etat. Les lanceurs d'alerte défendent donc ce principe fondamentale de notre démocratie : la liberté d'information qui repose sur la liberté de communication des pensées et des opinions. Pour illustrer cette idée, on peut parler de Julian Assange qui fonde en 2006 le site « Wikileacks » afin de défendre la transparence de l'info : ce site a pourtant été classé « ennemi d'Etat » aux Etats-Unis, pourtant son initiative est au service d'une démocratisation de l'information ce qui reflète

dans les pays francophones : le Parti pirate suédois qui, à l'été 2010, a proposé d'héberger gracieusement WikiLeaks5 ; Reporters sans frontières qui, en décembre 2010, a dénoncé la censure infligée à WikiLeaks6 ; La Quadrature du Net, citée par Julian Assange durant sa résidence surveillée en Angleterre7, etc. À partir de juillet 2010, les révélations de WikiLeaks sont relayées par de grands quotidiens nationaux, comme le New York Times, The Guardian, Le Monde,El Pais et Der Spiegel. Par la suite

manifestations populaires, dont les images se propagent rapidement grâce aux réseaux sociaux à toute la Tunisie. Le mécontentement de la population est d’autant plus grand que, deux mois auparavant, en novembre 2010, le site internet Wikileaks de Julian Assange divulgue que 50% des grandes entreprises tunisiennes sont contrôlées par le président Ben Ali et sa famille étendue. Le régime du président Ben Ali, fermement implanté depuis 1987, s’effondre en l’espace d’un mois sous la pression populaire

cumule depuis un certain temps de nombreuses critiques. Les pays concernés sont du coup sous le choc, car ils pensaient ces informations sécurisées. Aux Etats-Unis, un ancien général de la CIA, Jeffrey H. Smith, appelle même à poursuivre en justice Julian Assange, la tête de Wikileaks. Maintenant que nous savons que les Etats nous cachent certaines choses, il est légitime de se poser la question s’il n’y a pas encore beaucoup plus que nous ignorons. Ensuite, il y a l’affaire des caricatures de Mahomet

première apparition médiatique lorsque WikiLeaks l’utilise pour contourner le blocage de ses dons par des institutions bancaires suite au scandale du “Cablegate” (la publication de messages diplomatiques américains ultra confidentiels par le site de Julian Assange). Le bitcoin est une monnaie totalement virtuelle : il n'y a ni pièces ni billets. Elle ne représente aucun Etat ou groupe d'Etats, le tout sans jamais passer par le moindre intermédiaire financier, d’où des couts de transactions très faibles

mettent 't comme cela; et je didn 't comme cela. Beaucoup de ces rapports dépendent de trust. "Pourtant Sarah Palin a semblé blâmer la Maison Blanche pour les fuites, écrivant sur sa page Facebook : "Pourquoi était il [le fondateur de WikiLeaks Julian Assange] non poursuivi avec la même urgence que nous poursuivons Al-Qaida et les chefs de Taliban ? " Les commentaires de Clinton et de la Maison Blanche sont venus un jour dans lequel les chefs mondiaux ont digéré les divulgations. En Afghanistan,

sont rassemblés devant le siège de la Banque centrale européenne (BCE). Le rassemblement parisien a réuni un millier de personnes sur le parvis de l'Hôtel de Ville, selon la préfecture de police, tandis qu'à Londres, le fondateur de WikiLeaks Julian Assange figurait au nombre des manifestants. «Le système bancaire de Londres est le récipiendaire de l'argent de la corruption», a-t-il déclaré devant environ 500 personnes devant la cathédrale St Paul, promettant une campagne de WikiLeaks contre les