Julie Dans Horace

femmes du peuple voisin, les Sabins. A la suite de la guerre qui s’ensuivit, les deux peuples fusionnèrent. Et à la suite de Romulus, les rois furent alternativement romains et sabins : Numa Pompilius, Tullius Hostilius qui s’empare d’Albe (épisode des Horace et des Curiace), Ancus Martius. Pendant cette période, on peut essayer de voir quelle était l’organisation de la société (A) et les institutions de la cité (B). A) Des Gentes à l’aristocratie des patres L’ancienne ligue, qui semble avoir déjà

autres que ceux de certaines dynasties, ne prennent pas la marque du pluriel. Prennent la marque du pluriel : les Antonins, les Bourbons, les Capets, les Césars, les Condés, les Constantins, les Curiaces, les Flaviens, les Gracques, les Guises, les Horaces, les Paléologues, les Plantagenets, les Ptolémées, les Scipions, les Sévères, les Stuarts, les Tarquins, les Tudors. Mais on écrira: les frères Curiace (c'est-à-dire : les frères qui portent le nom de Curiace). - Les deux Corneille (Pierre et Thomas)

Vannozza de’ Cattanei, plusieurs enfants : Jean, duc de Gandia, mort tragiquement en 1497 ; César, à peine âgé de seize ans, qui reçut, dès l’élection d’Alexandre, archevêché espagnol de Valence ; Lucrèce, fiancée à Jean Sforza, seigneur de Pesaro. Julie Farnèse, fille d’un Orsini, était la maîtresse en titre. Mais l’avènement de ce pape, dont le pontificat ouvrait dans l’histoire de l’Église une période critique, ne paraît avoir provoqué, tant la cour romaine avait habitué le monde chrétien au scandale

aînés ? Faible copie ! -Faites-vous autrement qu’eux ? Mauvais système ! - Etes-vous modeste ? Niaiserie ! - Confiant en vous-même ? Présomption !- M. Dumas a bien raison de le dire : c’est une vocation ! Et, pour l’accomplir, il faut avoir, comme dit Horace, une ame de diamant dans un corps de fer. Les débuts sont tous ainsi, rudes, âpres ; désespérans. On commence par l’impossible pour arriver au difficile. Que d’exemples on pourrait invoquer ici ! Elles sont rares les renommées qui se font tout d’une

plaisir, parce que c'est la peinture du inonde la plus vive. Ce n'est pas que je mette Rabelais à côté Voltaire, Lettre à j'ai relu... Dfffant, j ajs ^ comme ie ; RABELAIS — I 3 34 _ OPINIONS d'Horace ; mais si ET JUGEMENTS Horace est le premier des faiseurs quand il de bonnes est bon, est le premier des bons bouffons. Il ne faut pas qu'il y ait deux hommes de ce métier dans une nation mais il faut qu'il y en ait un. Je me repens épîtres, Rabelais, : d'avoir dit autrefois

e qui s’avan¸aient, et dont l’aspect n’avait rien de joyeux ni de triste. c - Regarde, me dit l’ombre romaine, celui qui marche le premier ; il porte un glaive d’une main2 , et semble le chef des trois autres : c’est Hom`re, prince des e po`tes ; Horace le suit ; Ovide vient ensuite, et Lucain marche apr`s lui. Au nom e e de po`te, que tu a entendu, ils accourent vers moi, pour honorer ce titre, que je e partage avec eux. ´ Je vis alors cette illustre famille se rassembler sous le p`re de l’Epop´e

humanités, à Virgile, à Horace, à Cicéron. Ces noms-là, pensa Julien, m’ont valu mon numéro 198. – 248 – Je n’ai rien à perdre, essayons de briller. Il réussit ; le prélat, excellent humaniste lui-même, fut enchanté. Au dîner de la préfecture, une jeune fille, justement célèbre, avait récité le poème de la Madeleine. Il était en train de parler littérature, et oublia bien vite l’abbé Pirard et toutes les affaires, pour discuter, avec le séminariste, la question de savoir si Horace était riche ou pauvre

humanités, à Virgile, à Horace, à Cicéron. Ces noms-là, pensa Julien, m’ont valu mon numéro 198. Je n’ai rien à perdre, essayons de briller. Il réussit ; le prélat, excellent humaniste lui-même, fut enchanté. Au dîner de la préfecture, une jeune fille, justement célèbre, avait récité le poème de la Madeleine. Il était en train de parler littérature, et oublia bien vite l’abbé Pirard et toutes les affaires, pour discuter, avec le séminariste, la question de savoir si Horace était riche ou pauvre. Le

un idéal, c'est I'individu redressé par I'individu, reconstruit et rendu par le pinceau ou le ciseau à l'éclatante vérité de son harmonie native.» 8. ‘’De quelques dessinateurs’’. 9. ‘’Du portrait’’. 10. ‘’Du chic et du poncif’’. 11. ‘’De M. Horace Vernet’’, peintre qu’il mit plus bas que terre, le stigmatisant comme «l’antithèse absolue de l’artiste». 12. ‘’De l’éclectisme et du doute’’, chapitre où il donnait cette définition : «Un éclectique est un navire qui voudrait marcher avec quatre

hand were minor genres and modes – épigramme, épître, élégie (a form of love poetry), satire and the pastoral bergerie and éclogue. At the other extreme were the ‘noble’ forms of lyric poetry, the drama and epic. The ode, developed from Pindar and Horace, was launched by Ronsard in 1550. With its complement, the chanson, it was considered suitable for subjects located below the heroic level and was one of the major vehicles for lyric expression. For L’Olive, Du Bellay took the canzionere, a sequence