Julien Gracq En Lisant En écrivant

(romantisme) -> Julien : tristesse, contrariété -> Mme de Rênal : seule, naturelle, puis angoissée - quiproquo et malentendu Problématique : le jeu des points de vue Nous verrons comment la focalisation permet de présenter les personnages puis de les faire vivre de l’intérieur pour que l’auteur disparaisse au profit des deux héros. I - Le jeu des points de vue Première phrase : focalisation zéro => le narrateur est omniscient A) Portrait de Julien par Mme de Rênal

(romantisme)          -> Julien : tristesse, contrariété         -> Mme de Rênal : seule, naturelle, puis angoissée - quiproquo et malentendu Problématique : le jeu des points de vue Nous verrons comment la focalisation permet de présenter les personnages puis de les faire vivre de l’intérieur pour que l’auteur disparaisse au profit des deux héros. I - Le jeu des points de vue focalisation zéro => le narrateur est omniscient, alternance de points de vue entre Julien et Mme de Rénal A)

de Lanson. →  L’œuvre littéraire + extrait ds Le Lecteur (GF corpus). Dans ces deux textes, Proust tend à montrer qu'une lecture objective est impossible. => « Chaque lecteur est quand il lit le propre lecteur de soi-même »  (on a tendance en lisant à mettre le visage de notre sensibilité sur ce que l'auteur décrit : qd on décrit bel homme → on l'imagine tel que NOUS concevons un bel homme). L'idée que résume la formule est que le lecteur ne peut pas ne pas plier le livre et son sens à sa propre

et critiques, coll. Cursus, A. Colin, 3e édition : les chapitres 1 à 4 (Qu’est-ce qu’une œuvre littéraire ?) Sur « L’œuvre littéraire et le lecteur » : -Gros, Le lecteur : anthologie de textes théoriques (GF « Corpus », 2002). - Julien Gracq, En lisant en écrivant. - Jacques Vassevière et Nadine Toursel, Littérature : 140 textes théoriques et critiques, coll. Cursus, A. Colin, 3e édition : chapitres 8, 9, 10 (L’œuvre et ses lecteurs) Etape 4 : lectures critiques sur les œuvres : des références

pouvoir d’identification. Pour peindre ces personnages qui sont avant tout des personnes déchirées, l’auteur adopte une écriture sobre, distanciée, où le diversité de l’œuvre de rascal 53 Chapitre 2 Rascal, une écriture de l’existence En lisant les albums de Rascal, si vous avez un sentiment étrange de familiarité, votre sensation est assez juste. Souvent, ceux qui rencontrent l’auteur d’Éva ou le pays des fleurs se disent que celui qui écrit des albums et celui qui en parle sont vraiment

Nemours. Chaque péripétie du roman, chaque détail, visera ainsi à dramatiser le tragique de la situation initiale et à appuyer la thèse de l’auteur : le véritable amour ne peut advenir que dans la non-réalisation. Citation critique : Julien Gracq, En lisant, en écrivant : « Il y a un trajet à travers le livre et en fait il n’y en a qu’un. » 3. Stylisation : Ces faits relatés choisis avec soin pour leurs effets de sens, reliés les uns aux autres de manière à former une architecture cohérente,

propre prosodie, dont ne sait s’il vole ou s’il marche, son pied, ou cette aile quand il le veut déployée, à aucun élément étranger, que ce soit la terre, ou l’air, ou le feu, ou cette eau pour y nager que l’on appelle éther ! » Dans En lisant, en écrivant, Julien Gracq dit de la Chartreuse de Parme de Stendhal que « les paysages de la Lombardie et des Alpes y ont le flou voluptueux et embrumé des paysages de Watteau ». Philippe Sollers professe une grande admiration pour le peintre et le mentionne dans

des lecteurs, quels qu’ils soient. En cela, la maxime de Gustave Lanson est indéniable « Qui publie s’expose à la critique et reconnaît les droits de la critique » Witold Gombrowicz : « je me demandai s’il est bien correct que les auteurs en écrivant leur livre aient toujours l’air de se dire indifférents à la critique. En réalité nous écrivons tous pour des lecteurs, leur jugement est pour nous décisif, et la crainte de ce jugement nous hante " Pour l’auteur de Ferdydurke, on ne peut combattre

une sensibilité qui les rapproche des plus grands héros romantiques, comme l’illustre cet extrait de La Chartreuse de Parme. Il faut donc savoir manier les mouvements littéraires avec subtilité, comme nous le rappelle très justement Julien Gracq dans En lisant en écrivant : « En matière de critique littéraire, tous les mots qui commandent à des catégories sont des pièges. Il en faut, et il faut s’en servir, à condition de ne jamais prendre de simples outils-pour-saisir, outils précaires, outils de hasard

propre prosodie, dont ne sait s’il vole ou s’il marche, son pied, ou cette aile quand il le veut déployée, à aucun élément étranger, que ce soit la terre, ou l’air, ou le feu, ou cette eau pour y nager que l’on appelle éther ! » Dans En lisant, en écrivant, Julien Gracq dit de la Chartreuse de Parme de Stendhal que « les paysages de la Lombardie et des Alpes y ont le flou voluptueux et embrumé des paysages de Watteau ». Philippe Sollers professe une grande admiration pour le peintre et le mentionne dans