Julien Sorel Monologue

Mme de Rênal dans le roman « Le Rouge et le Noir » de Stendhal. I / Sa description physique p-48 : « frapper du regard si rempli de grâce de Mme de Rênal » elle a un regard doux « etonné de sa beauté » elle est belle « Julien n’avait jamais vu un être aussi bien vêtu et surtout une femme avec un teint si éblouissant, lui parler d’un air doux » elle est bien habillée, belle et douce « Bientôt elle se mit à rire, avec toute la gaieté folle d’une jeune fille.

S'il a déjà été question de Julien Sorel au chapitre III, le lecteur ne l'a pas encore «vu» lorsqu'intervient la scène qui le met en situation et permet une présentationefficace du personnage. En effet, l'extrait proposé met Julien en scène dans son contexte familial et fait de lui, immédiatement, un être à part. Le jeune homme oppose sa fragilité, son goût pour lalecture et pour la solitude à la brutalité bornée de ses frères et de son père. Le récit d'une scène violente au cours de laquelle le

intrigué et impatient de découvrir la suite du roman. Cet extrait est assez original car il place le lecteur du coté du meurtrier et non de la victime tout comme dans le chapitre XXXV de Le Rouge et le Noir de Stendhal quand le personnage principal Julien Sorel assassine la femme qu’il a aimé Mme de Rênal. Questions de corpus : 1) L’évocation des lieux souligne la gravité du geste grâce à plusieurs procédés. Tout d’abord car il poste le lecteur dans une position ou il est tout a

Extrait du Rouge et le Noir : «Ce fut en vain qu'il appela Julien deux ou trois fois. L'attention que le jeune homme donnait à son livre, bien plus que le bruit de la scie, l'empêcha d'entendre la terrible voix de son père. Enfin, malgré son âge, celuici sauta lestement sur l'arbre soumis à l'action de la scie, et de là sur la poutre transversale qui soutenait le toit. Un coup violent fit voler dans le ruisseau le livre que tenait Julien ; un second coup aussi violent, donné sur la tête, en forme

Envoyé par Aurélie. Explication de texte Stendhal , Le Rouge et le noir (1830) (excipit) Texte : « Julien avait exigé de Mme de Rênal le serment qu’elle vivrait pour donner des soins au fils de Mathilde. Qui sait ? peut-être avons-nous encore des sensations après notre mort, disait-il un jour à Fouqué. J’aimerais assez à reposer, puisque reposer est le mot, dans cette petite grotte de la montagne qui domine Verrières. Plusieurs fois, je te l’ai conté, retiré la nuit dans cette grotte, et

pouvoir moral et politique très important qui lui est imposé depuis sa naissance, l'obligeant à assumer ses responsabilités. Le héros ayant un destin incroyable, transporte le lecteur loin de la réalité. Comme le héros Julien Sorel dans le rouge et le noir de Stendhal, Julien Sorel semble être un personnage présentant les qualités d'un héros moralement parfait, c’est un personnage intelligent, instruit et raffiné ; mais aussi un héros romantique, qui ne supporte pas la médiocrité, il est naturellement

d’introspection de la part de l’auteur qui, peut-être, se retrouve un peu en la personne de son héros. Un autre de ses plus célèbres chefs-d’œuvre, Le Rouge et le Noir, met d’ailleurs en scène un autre personnage admirateur de Napoléon, à savoir Julien Sorel qui, s’il ne participa pas quant à lui à ces grandes batailles, recherche de la même façon que lui le bonheur dans l’aventure et la fuite d’un milieu trop étriqué et trop connu.

parfaitement structuré dans lequel un jeune homme transforme par la puissance de sa personnalité une dure sanction en véritable enchantement. L'affirmation de la liberté intérieure contre la contrainte extérieure. Un héros indépendant, à la manière du Julien Sorel de Le Rouge et le noir.

interne est utilisé, nous sommes amenés à connaître les sentiments et les pensées du personnage, c’est le cas des trois textes qui composent ce corpus. Dans « Le rouge et le noir » le point devue interne nous permet de connaitre les sentiments de Julien, comme l’admiration que ressent celui-ci face au paysage, ligne 1 « il fut presque sensible un moment à la beauté ravissante des bois aumilieu desquels il marchait ». C’est aussi le cas pour Balzac qui, grâce au point de vue interne nous présente

passage peut renvoyer à l’exécution de Julien qui aura lieu après « l’assassinat » de Mme de Rênal. De même, sur le papier Julien relève les premiers mots d’une ligne : « Le premier pas. » en italique qui peut faire échos au premier pas dans cette nouvelle vie dont il était le maître et le dernier pas serait celui de sa chute, quatre ans plus tard dans l’église de Verrières aussi. On remarque que le prénom de cet homme exécuté est une anagramme de Julien Sorel. Une autre similitude c’est la description: