Jupon

normalement, eût été presque impossible. Car la crinoline apparut opportunément à la fin d’un long processus d’extension qui avait commencé, approximativement, dans les années 1820-1830. Pendant de longues années, on ajouta au volume des jupes par des jupons de plus en plus nombreux puis, dans les années 1840, les paniers pneumatiques firent leur apparition, mais même eux ne purent rivaliser avec les dimensions de la vraie crinoline qui, à son plus vaste, remplissait les pièces, bouchait les encadrements

du drame de ces 2 œuvres. *L’amour Libertin. Cet amour ce résume par le simple fait d’aimer sans attache on adopte alors une attirance que sensuel. Il n’existe donc pas d’autres sentiments dans cette façon d’aimer. Ex: Don Carlos (coureur de jupon) et Dona Sol (jeune fille cherchant le grand amour) dans Hernani. *Un amour sans harmonie. Bien qu’il présente tout les caractères d’une passion authentique c’est amour sans harmonie est vouée à l’échec. Ex : Don Ruy (vieillard) et Dona Sol amour

d’une accumulation « d’un rire atroce, frénétique, désespéré » prouvent de même qu’Emma n’a plus toute sa tête puisqu’elle est en proie à des réactions incohérentes. De plus, la dernière parle de la chanson « Il souffla bien fort ce jour là, Et le jupon s’envola. » indique un mouvement vers le haut. Mais Flaubert fait suivre une phrase au passé simple « Une convulsion la rabattit sur le matelas » qui rabaisse une ultime fois le désir d’Emma de fuir sa réalité. Enfin, c’est le rythme ternaire décroissant

au bord du chemin Et tout un horizon de chiens Aboyait loin de la rivière Quand nous avons franchi les ronces Les épines et les ajoncs Sous elle son chignon s’enfonce Et fait un trou dans le limon Quand ma cravate fût ôtée Elle retira son jupon Puis quand j’ôtai mon ceinturon Quatre corsages d’affilée Ni le nard ni les escargots N’eurent jamais la peau si fine Ni sous la lune les cristaux N’ont de lueur plus cristalline Ses cuisses s’enfuyaient sous moi Comme des truites effrayées

de Molière pour ne pas subir de censure et de représailles en laissant la « bienséance commune » triomphée. Cependant, avec cette œuvre, Molière s’attaque également à une dénonciation de ce que l’on pourrait appeler les caractères. Du coureur de jupons au « plus grands des scélérats que la terre ait jamais connu » selon son valet Sganarelle, Dom Juan cumule les fautes. L’auteur dénonce ici les mœurs « libertines » de son époque, mais surtout l’hypocrisie, la manipulation, la tromperie qui sont des

identité féminine dans tout cela. Les femmes ne seront des hommes et les hommes ne deviendront femmes. Comme un homme parle d’une femme qui se compare à un garçon, physiquement et psychologiquement. Les femmes de cette ère osaient porter de petit jupon et montrer plus qu’un centimètre cube de peau. Elles sont sorties de leurs jupes et ont enfilé des pantalons. Une femme extraordinaire, Coco Chanel dit: In order to be irreplaceable one must always be different. Les femmes ont accepté sa vision de

serviteur « Monseigneur » l.6 + l.22 « en trois sauts me voilà rendu » c) Il est le valet hérité de la tradition des valets du XVIIème siècle : * Valet français : ingénieux, habile, intelligent, qui manigance des stratagèmes * Coureur de jupon, séducteur, aime les femmes complimente Suz l.3 « ma charmante. Oh ! que ce joli bouquet virginal » + dida 2ème réplique de Fig « (lui prend les mains) » * Mais contrairement aux traditions il est très naïf l.25 « qu’entendez-vous par ces paroles 

Littérature 19e siècle Cercle de lecture Janvier 2006 « Thérèse Raquin » « A bas l’habit ! à bas les dentelles des jupons! En chemise, tous ! Et montrez vos chancres, vos pattes velues de bêtes, vos peaux bleuies de filles. Vous êtes de la ménagerie, malgré vos vê- tements de soie et de drape fin. Vous sentez le rut et le vice. Quand votre masque de politesse apprise et de mensonge accoutumé tombe et vous laisse nus, vous apparaissez plus marbrés de pourriture que les misérables qui

que les femmes «qui veulent passer pour savantes ignorent ordinairement tout ce qu'elles pensent sçavoir et... ne sont véritablement sçavantes qu'en ce qu'elles feignent d'ignorer». En écrivant sa comédie, en s'en prenant aux intellectuelles en jupons, Molière, qui avait lui-même, encore jeune auteur débutant, trouvé des encouragements dans le salon littéraire de Ninon de Lenclos, qui recherchait la compagnie de femmes d'esprit, éclairées et de bon sens, affranchies ou désirant l'être, qui lisait

avenue Montaigne. Christian Dior présente sa première collection en 1947. Alors que les esprits sont à peine remis des privations de la guerre et des tickets de restriction, Dior décide de remettre au goût du jour une silhouette taille de guêpe aux jupons opulents. Carmel Snow, rédactrice en chef du Harper's Bazaar, séduite par la ligne Corolle, nommera l'ensemble "New Look". Les silhouettes proposées par Dior n'ont en effet rien à voir avec l'uniforme de la Parisienne d'après-guerre, aux jupes courtes