J'voulais

et j’y ai demandé la manière pour le cas que ça arriverait sans elle. Et puis j’ai fait mon trousseau, nuit à nuit, jusqu’à une heure du matin, chaque soir ; et puis j’ai cherché une autre place, car je savais bien que je serais renvoyée ; mais j’voulais rester jusqu’au bout dans la maison, pour économiser des sous, vu que j’n’en ai guère - — Oh ! pour sûr non, m’sieu. - — V’là la chose. C’est arrivé plus tôt que je n’aurais cru. Ça m’a pris dans ma cuisine, comme j’finissais ma vaisselle. - je

galères Je m’souviens, ma mère disait Mais je n’ai pas cru ma mère : « Ne traîn’pas dans les ruisseaux T’bas pas com’un sauvage, T’amus’pas com’les oiseaux » Ell’me disait d’être sage. J’ai pas tué, j’ai pas volé J’voulais courir ma chance J’ai pas tué, j’ai pas volé J’voulais qu’chaq’jour soit dimanche Je m’souviens ma mère pleurait Dès qu’je passais la porte Je m’souviens com’elle pleurait Ell’voulait pas que je sorte. Toujours, toujours ell’disait : « T’en va pas chez les filles

mal interprétés.. en dépit de tous les chagrins et les humiliations.. vous n'ayez jamais, jamais perdu espoir. (c'est fini, je ne t'aime plus depuis bien longtemps). "J'veux dire tes défauts vont bien avec les miens ou ils me font rire. Et, j'voulais te dire aussi, t'es la meilleure chose qui soit arrivée dans ma vie cette année. T'es même la meilleure chose qui me soit arrivée dans ma vie tout court. J'suis content. J'suis content d'avoir trouvé une personne qui s'accorde aussi bien avec moi

la notice explicative : A1 : Elles construisent leur nid dans des énormes champignons ! Ah non ça c’est les schtroumpfs ! Après cette remarque qui leur a certainement rappelé leur jeunesse l’autre annonce un souvenir. A2 : Quand j’étais petit j’voulais avoir une fourmilière. C’est simple à faire il suffit de mettre deux plaques en verre, tu donnes à manger de temps en temps et elles font leur vie ! La fourmilière a donc fait réveiller des souvenirs passés de ces deux adultes qui connaissaient

UE 701 – Les théories de la socialisationA. le BlancSupport de coursL’ENTRETIEN DE SOPHIE (Extrait de l’ouvrage de D. Demazière & C. Dubar (1997), Analyser les entretiens biographiques. L’exemple de récits d’insertion. Paris : Nathan.) Cet entretien intégralement retranscrit ici a été mené auprès d’une jeune femme, bachelière, mariée, mère d’un enfant et qui en attend un second. Sophie est ouvrière dans un abattoir de cailles d’une petite commune

mettant en scène un client masculin, aux prises avec deux vendeuses – mais seule V1 apparaît dans ces extraits) : (11) 326- V1 moi j’vous aimais bien avec celui-ci... vous l’aimez pas vous ? 327- C ouais mais elles sont chères... 600 balles... j’voulais pas mettre euh... si vous m’faites un prix moi j’vous les prends mais sinon... 328- V1 moi j’peux pas vous faire de prix hein 329- C si vous si vous m’les laissez à 525 comme les autres moi j’vous les prends mais euh... 330- V1 ben non j’peux pas

queavec mon père -_-' Thomas : Mélanie Pire que tout :D(L)Léo LPI (L):D dit : *Mias jVIAS FAIRE LA DESCENDTE DE LARDECHE EN kAYAK    C    αmille    »     C'est fou d'aimer autant de n'pas comprendre ce qu'on ressent (8)(L):^) dit : *Moi j'voulais te voir une dernière fois avant d'partir :( *mais tanpis *j'penseré a toi pour mconsolé Thomas : Mélanie Pire que tout :D(L)Léo LPI (L):D dit : *:S *Dimanche aperm Jpeu venir *Mais tu sera plus la :S    C    αmille    »     C'est fou

pour vivre avec une tronche paraille ! les frères Bogdanov seront nos invités d’honneur  . Je vous dis au revoir . Tout le monde sort sauf Nicolas . Claire revient  le chercher Claire : Ben , Papa ! qu’est ce que tu fais là ? Nicolas : Ben , j’voulais témoigner . Claire : Attends sur quoi tu veux témoigner ? Sur tes vacances au Tréport ? Ta vie , elle est nase ! Nicolas : Ma petite fille , c’est ce que tu crois . Finalement , ça veut dire quoi , une vie nase ? Ah , tu t’y f’ras jamais à not’petite

t'aime Mais j'sais pas aimer Ton cœur de rubis Qu'est-ce que j'en ai fait ?J'ai joué à l'amour J'savais même pas jouer Ton cœur de rubis Qu'est-ce que j'en ai fait ?La vitre est brisée L'magasin fermé L'satin déchiré L'écrin piétinéJe voulais t'avoir J'voulais t'posséder Je jouais à l'amour J'ai seul'ment trichéTon cœur de rubis Qu'est-ce que j'en ai fait ? Maintenant c'est trop tard J'ai tout saccagéTon cœur de rubis J'peux même pas le fourguer Y a pas d'recéleur Pour l'amour volé.

finalement Curley s’excuse : p 109 « Ben, tu m’as demandé trop souvent. J’en ai plein le dos. Si tu n’peux pas surveiller ta sacrée femme, qu’est ce que tu veux que j’y fasse ? Fous-moi la paix. » Et Curley lui répond : « je m’efforce de te dire que j’voulais pas t’offenser » Quand Lennie a broyé la main de Curley et qu’il le convint de dire qu’il se l’est fait prendre dans une machine pour pas que Lennie ne soit renvoyé : p113 « Alors, écoute, je crois que tu t’es fait prendre la main dans une