Katharina Freud

les complexes sexuels, d'un certain symbolisme qui, parfois, varie d'une personne à l'autre, mais qui a aussi des traits généraux et se ramène à certains types de symboles, tels que nous les retrouvons dans les mythes et dans les légendes. Sigmund Freud, Cinq leçons sur la psychanalyse. 6. Nul ne peut écrire la vie d'un homme que lui-même. Sa manière d'être intérieure, sa véritable vie n'est connue que de lui. J.J. Rousseau, Confessions. 7. L’homme n’est peut-être pas fait pour un seul moi

moins forte et durable qui consiste à se focaliser sur un but considéré comme bon et à tendre vers lui pour le posséder. Différencier besoin et désirs. Principaux désirs humains : - selon Marx : désir de bien-être, sécurité, justice. - selon Freud : désirs sexuels, être reconnu, aimé, dominer voire agresser - monde : ensemble de tout ce qui existe autour de l'homme: la société et la nature ordre de la nature : lois physiques, comme la loi de la pesanteur ordre social: lois, mœurs, coutumes

peint à partir de modèles réels, de photos ou de photos de tableaux. Les figures ici représentées, une pour chaque panneau, sont : à gauche, George Dyer, avec qui Bacon se lie de 1964 à 1971, année de la mort de Deyer ; à droite, probablement Lucian Freud, peintre anglais ; et, au centre, Bacon lui-même, la bouche tordue en un cri. Malgré les déformations que le peintre fait subir à l’image, on reconnaît chaque modèle : « Je voudrais, dans un portrait, faire de l’apparence un Sahara, le faire si ressemblant

dont on a besoin? Le désir semble-t-il être ainsi la prise de conscience du besoin (besoin de boire, manger, dormir, se reproduire,…etc). Dans la petite enfance nos désirs correspondent à nos besoins élémentaires : téter, être au sec, être bercé - Freud parle du «ça», de ce désir impérieux, ce principe de pulsion qui doit être satisfait. Le besoin, chaque fois qu'il peut être satisfait disparaît de la conscience du sujet : il n'est originairement que la relation d'appropriation de l'être vivant à

- En 1900, Nietzsche meurt et Freud publie l'interprétation des rêves. Ces deux penseurs marquent ce que l'on a pu appeler "l'ère du soupçon", en ce qu'ils introduisent des méthodes et des hypothèses radicalement nouvelles dans l'histoire de la pensée : selon ces auteurs, derrière les représentations et les activités conscientes du sujet, il faut soupçonner des forces psychiques inconscientes, qui échappent à la maîtrise et à la volonté du sujet lui-même. Nietzsche décrypte, derrière les affirmations

dernier qu’il va mourir un jour Descartes : « je penses donc je suis » * Pour pouvoir penser, il faut être. Donc celui qui pense, existe. Husserl : « la conscience est intentionnel » * L’homme ne peut percevoir que ce qui pour lui à un sens Freud : « l’inconscient est une force psychique active réfoulée » * L’inconscient est l’ensemble des pulsions que je refuse d’avoir conscience et que je refoule. Il ne pourra s’exprimer qu’indirectement dans les rêves ou les lapsus. 2. Le désir

conscience voudrait toujours « posséder » l’autre afin de retrouver la relation passionnée entretenue jusqu’à maintenant ? Autrement dit, qu’est ce qui pousse l’homme ou la femme à tuer la personne qu’il aime ? De nombreux philosophes tels que Freud se sont interrogés quant à la définition de cette pulsion. Autrefois, cette notion était traduite par « instinct ». Ainsi, elle attribuait à chaque Homme une part d’animalité ; c'est-à-dire une part de réactions instinctives normalement attribuées

recherche du beau s'avère inutile et l'art n'a plus lieu d'exister. L'art est libre et ne doit pas suivre un type de règles. En assumant le principe de plaisir, l'artiste élabore son œuvre à partir de ses pulsions refoulées (Malaise de la civilisation de Freud). Comme le rêve, elle permet la satisfaction, sur le plan de l'imaginaire, des désirs inconscients et elle a donc une fonction thérapeutique. Déjà Aristote expliquait le rôle cathartique (purificateur) et social de l'art, en montrant qu'il permet aux

parle également dans L’Odyssée. Tableau en haut à gauche : Exil d’Œdipe avec Antigone, C.F. Jalabert Tableau de droite : Œdipe et le Sphinx, G. Moreau ----------------------- INTERPRETATIONS Complexe d’Œdipe, en psychanalyse (Sigmund Freud) : Principe selon lequel l’enfant est, à la fois, partagé par des désirs amoureux (parent de sexe opposé) et hostiles (parent du même sexe) envers ses parents. On parle du complexe d’Œdipe lorsqu’il s’agit d’un garçon, et à l’inverse, on parlera

moins graves.Cela va du rêve (expression de nos désirs inconscients), à la névrose, en passant par le labsus ou l'acte manqué. Cet inconscient, Freud l'appelle le ça. C'est un inconscient dynamique car il est actif. Il s'oppose au surmoi qui repésente les interdits sociaux, et au moi sui fait l'intermédiaire entre les deux. Plus précisément selon Freud on refoule nos désirs d'enfants, par exemple le triangle d'Oedipe. Si tout se passe bien le petit garçon refoule ces désirs socialements inacceptables