KGB

également de faire la guerre aux terroriste, et pour cela il l'exprima plus que clairement en disant qu'il allait « buter les terroristes jusque dans les toilettes ». Son langage cru et sans complexe montrait déjà la forte personnalité de l'ancien chef du KGB, comité pour la sécurité de l'État. Il était déterminé à restaurer la « verticale du pouvoir » c'est à dire gouverner avec un style qu'il conviendrais d'appeler autoritaire. Sa politique mettant clairement fin au libéralisme politique induit jusqu'à

régner la Terreur dans le but de la répression (action de réprimer, de prendre des mesures punitives contre ceux qui sont jugés contrevenir aux règles, aux lois ou aux options d'un gouvernement, d'une société) avec le soutient de polices politiques KGB en URSS, l’OVRA en Italie et la Gestapo en Allemagne disposant d’ordres et envoyer les opposants, juifs, paysans ou autre dans les camps de concentration en Allemagne , dans les goulags en URSS et des condamnés pour l’Italie. Enfin ils mettent en

prolétariat (paysans et ouvriers). En effet, le PCUS est le seul parti politique autorisé et lors des élections, seuls les membres du Parti que celuici cautionne peuvent se présenter. Les opposants sont arrêtés par la police politique (Tcheka, NKVD puis KGB) et nombre d’entre eux sont exécutés. Dans les années 1936-1938, Staline organise les grands procès de Moscou : il fait accuser de faits invraisemblables les leaders de la révolution de 1917 qui s’opposent ou qui pourraient s’opposer à lui et les fait

compétences de tacticien et de stratège, et il est le seul chef de la Résistance à avoir jamais réussi à imposer une trêve avec l'Armée rouge en échange de son retrait. Il négocie alors directement avec Iouri Andropov, un des plus fameux directeurs du KGB et Secrétaire général du Comité central du Parti communiste de l'Union soviétique entre novembre 1982 et février 198 Guerre civile d'Afghanistan (1989-1992). Le 9 avril 1992, Ahmad Shah Massoud entre dans Kaboul avec

de l’ancien régime soviétique, qui ont cherchés à preserver leur pouvoir et leur influence dans la nouvelle Russie. Cette opposition a conduit à des affrontements politiques violents, y comprit une tentative de coup d’Etat en 1991 pardes membres du KGB et de l’armée soviétique qui ont tentés de renverser Eltsine et de rétablir le pouvoir du parti communiste de l’union sovietique. Bien que la tentative de coup d’Etat ait échoué, elle a révélé l’instabilité politique et la tension sociale qui régnaient

Ceux qui ne suivent pas d’expression, de presse, les idées de Staline sont d’opinion… arrêtés et jugés comme les « tièdes » qui ne suivent pas Staline jusqu’au bout. La terreur comme mode La police politique de gouvernement (Tcheka, Guépéou, NKVD puis KGB), les camps de travail (Goulag), la grande terreur, les procès de Moscou… Les autodafés, l’interdiction et la censure de journaux, l’absence de recours si l’on s’oppose aux décisions du régime… Les interdictions spécifiques concernant les juifs (lois

necesaria ante los ojos del Gobierno. Es lamentable que en el caso de Zapata Tamayo (disidente cubano muerto en huelga de hambre en 2010) no se le respete ni la muerte,” asegura Roberto Hernández del Llano, mayor de la inteligencia cubana graduado por la KGB que durante décadas se dedicó a reclutar agentes de la CIA en América Latina para Cuba. Días después de que el Gobierno de Cuba divulgara un vídeo de nueve minutos donde intenta demostrar que el preso Orlando Zapata Tamayo recibió en todo momento

CIA, on a retrouvé des dossiers détaillés sur 2 millions de fonctionnaires américains.  L’URSS : KGB créé en 1953-1954, ils envoyaient des « taupes » aux Etats-Unis, ils devaient vivre là-bas en toute discrétion et s’intégrer au pays durant une longue période pour ensuite renseigner les soviétiques. Des femmes ont également été envoyées afin de se rapprocher de personnes importantes. Le KGB surveillaient également toutes les populations auxquelles ils étaient alliés (Bulgarie, Hongrie, Pologne

décembre 1991 qui remplace l’URSS Double opposition politique à Gorbatchev: - tentative de coup d’Etat par les conservateurs en août 1991, échec car reprise en main de Eltsine (président de la Russie) - Eltsine interdit le PCUS et démantèle le KGB (2 derniers piliers du totalitarisme effondrés) - démission « logique » de Gorbatchev le 25 décembre 1991 (l’URSS n’existe plus et il n’a plus la réalité du pouvoir, il prend acte de l’échec de ses réformes) Conclusion - Processus court (Allemagne)

gouvernement d'URSS et aussi Mikhail Gorbatchev ne disposaient pas de toutes les informations: à la base, il n'y avait pas d'explosion, mais un incendie... Pour être sûr de diposer de données fiables, le N°1 soviétique a du dépécher sur place des agents du KGB lui rapportant l'ensemble des conversations des techniciens déjà sur place... Pour rappel, l'accident a eu lieu le samedi 26 avril 1986, à 01H23, à la centrale Vladimir Illitch Lénine, dans le réacteur n°4. Sachez enfin que dès la fin avril 1986, le