Khôl

soutenu, le teint est coloré, les yeux cernés de noir ou de gris (khôl ), les paupières ombrées par la malachite (minerai de cuivre de couleur verte) et les lèvres sont rarement maquillées. La Grèce Antique : En Grèce la beauté est une recherche d ‘équilibre et de simplicité naturelle. Le maquillage est plus léger , le teint est éclairci avec une crème à base de farine ou de craie, les joues rosées, les yeux agrandis au khôl et les paupières noircies. La Rome antique : Leur maquillage

les archéologues ont retrouvé certains produits dans des jarres apparemment destinés au maquillage, mais ils n'en ont aucune certitude aujourd’hui. AU TEMPS... Des Égyptiens [pic] Fresque, portrait de Néfertiti, pots à khôl Les égyptiennes avaient pour habitude de s'enduire le corps de produits à base d’huiles végétales qu’elles mélangeaient à des herbes aromatiques. Le maquillage a d'abord été réservé aux traditions religieuses et aux rites funéraires, puis il est

une ligne qui prolonge le ras de cils inférieur jusqu'à la tempe. Il ne faut pas que le maquillage dépasse cette ligne. Etape n°5: Accentuer le contour de l'oeil. A l'aide d'un eye-liner, redessiner la ligne du ras de cils supérieur. Appliquer un khôl à l'intérieur de la muqueuse inférieure de l'oeil puis au ras des cils inférieur. Dégrader ensuite avec du fard à paupières marron et une touche de noir, à l'aide d'un pinceau fin. Il faut que le trait dégradé soit épais vers l'extérieur de l'oeil

chose doit subir un traitement de présentation sans être modifié. Au ier siècle, non sans risques pour leur santé, Néron et Poppée éclaircissaient leur peau avec de la céruse (oxyde de plomb, très toxique) et de la craie, soulignaient leurs yeux au khôl (contenant du plomb toxique) et rehaussaient leur teint et leur lèvres avec du rouge (toxique quand il s'agissait de cinabre). C'est avec les retours des croisades que le maquillage semble s'être répandu en Europe du Nord ; à partir du xive siècle

mettre en valeur. Par exemple, Baudelaire soutenais déjà ce point de vue à son époque. En effet, du point de vue baudelairien, le maquillage doit s’afficher, s’assumer pour ce qu’il est, à savoir un artifice. Baudelaire donne l’exemple du trait de khôl autour de l’œil qui vient accentuer l’intensité du regard et qui donne donc davantage de profondeur, d’intelligence, d’âme à un visage. L’auteur des Fleurs du mal a écrit que « la peinture du visage ne doit pas être employée dans le but vulgaire,

de poudre de riz ; leur nuque était également poudrée de blanc en laissant apercevoir une partie de leur peau. Quant aux joues, aux yeux et aux lèvres ils étaient maquillés de rouge et de rose. Grâce à un batônnet de charbon de paulownia (ou avec du khôl) elles traçaient leurs sourcils et leurs contours des yeux. Le maquillage des maiko est une délicate opération, celles-ci se font souvent aider lorsqu’elles débutent par leur okâsan ou par une maquilleuse, plus tard elles devront savoir le reproduire

L’histoire de la cosmétique a commencé, il y a des milliers d’années, en même temps que l’Egypte ancienne. En effet, 3000 ans avant J.-­‐C., les égyptiens utilisaient des produits toxiques (oxyde de plomb, cinabre, khôl, etc.) mais aussi naturels pour éclaircir leur peau, souligner leurs yeux ou mettre du rouge sur leurs lèvres. Mais qu’est ce qu’un cosmétique ? Dans le dictionnaire, le terme « cosmétique » est défini comme une

  même   temps   que   l’Egypte   ancienne.   En   effet,   3000   ans   avant   J.-­‐C.,   les   égyptiens   utilisaient   des   produits   toxiques   (oxyde   de   plomb,   cinabre,   khôl,   etc.)   mais   aussi   naturels   pour   éclaircir   leur   peau,   souligner  leurs  yeux  ou  mettre  du  rouge  sur  leurs  lèvres.     Mais  qu’est  ce  qu’un  cosmétique

Références  :     Petitfils  (Jean-­‐Christian)  Louis  XIV,  Paris,  Perrin,  collection  tempus,  2002,  708  pages.   Couronné  par  l’Académie  française  des  sciences  morales  et  politiques  ;  prix  Hugues   Capet  en  1995  ;  grand  prix  de  la  biographie  (Histoire)  de  l’Académie  française,  1996.       Auteur  :       Jean-­‐Christian  Petitfils

KHOLLE D’ANGLAIS Il faut une problématique car on attend un COMMENTAIRE du TEXTE. Pas un exposé, ni un discours autour du texte. L'idéal, à mon sens, c'est de se rapprocher d'un commentaire composé - approche thématique, sans jamais perdre de vue que l'un des enjeux est de faire une DEMONSTRATION; à savoir, partir d'un point A pour arriver à un point B, tout en manifestant une aptitude au recul critique (ce qui ne signifie pas du tout dire que l'auteur est un abruti, mais bel et bien s'extraire du