Kill Bill

en nous permettant de mieux nous comprendre. Selon le philosophe Friedrich Hegel, l’art permet d’adoucir « cette force indomptée de la passion » car avec l’art on peut se les représenter. C’est pour cela que des films extrêmement violents comme « Kill Bill » ou « Saw » sont des succès, voir cette violence diverti certaines personnes. L’art peut donc de plus en savoir sur notre propre nature. Mais affirmer ainsi que l’art est utile, n’est-ce pas confondre l’œuvre avec un simple objet de consommation

fresque de la Chambre des époux , 1465 - Angle de vue en contre plongée  qui conditionne à regarder différemment l’image. Quentin Tarantino, Kill Bill , vol.1, 2003 - Angle de vue en contre plongée. C’est ici la dernière vision avant la mort mais également le partage entre le regard du personnage et du spectateur :

découle de la disposition des différents éléments a amené de nombreux artistes à s’inspirer des jardins japonais pour exprimer la tradition l’harmonie et la quiétude. Par exemple Le réalisateur Tarentino utilise un décor d’un jardin japonai dans Kill Bill pour exprimer la solennelité du premier combat. 

à travers trois histoires qui s'entremêlent. Pulp fiction est considéré comme un nouveau genre cinématographique grace à un mélange d'aperçu des scènes futures et de ''flashback'' : 1992 : Reservoir Dogs 1994 : Pulp Fiction 2003 : Kill Bill : Volume 1 2004 : Kill Bill : Volume 2 2005 : Sin City de Robert Rodriguez et Frank Miller (« spécial guest director » pour la scène de voiture entre Clive Owen et Benicio Del Toro) • • • James Cameron : An n ées 1981 1984 1985 1986 1989 1991 1994 1995

d’un film puisqu’elle est souvent utilisée de manière abusive. S’il s’agit d’ancrer le film dans la réalité il semblerait bien plus original et créatif d’utiliser des marques fictives comme les cigarettes Red Apple de Tarantino dans Pulp Fiction et Kill Bill. Mais lorsque les grands réalisateurs et les artistes se tournent vers la publicité, le résultat peut également devenir étonnant, certe le but est toujours de vendre une marque ou un produit, mais l’esthétique du spot devient si particulière et

Car la maison ne fait jamais de soldes, un cas unique dans le luxe. Les invendus sont proposés au personnel, à 10 % du prix. […] Vuitton recrute ses ambassadrices parmi les stars2. Après Kate Moss et Jennifer Lopez, Uma Thurman, l’héroïne de « Kill Bill » pose sur papier glacé pour inciter les « Vuitton-maniacs » à découvrir les derniers produits de la gamme : montres, bijoux, lunettes de soleil. […] Depuis 1998, Vuitton embauche en priorité des jeunes de toutes origines ethniques […] des vendeurs

Vampire: The Vampire Chronicles), de Neil Jordan : Lestat de Lioncourt 1996 : Mission impossible (Mission: Impossible), de Brian De Palma : Ethan Hunt 1996 : Jerry Maguire, de Cameron Crowe : Jerry Maguire 1999 : Eyes Wide Shut, de Stanley Kubrick : Bill Harford 1999 : Magnolia, de Paul Thomas Anderson : Frank T.J. Mackey 2000 : Mission impossible 2 (Mission: Impossible 2), de John Woo : Ethan Hunt 2001 : Stanley Kubrick: A Life in Pictures, de Jan Harlan : Le Narrateur 2001 : Vanilla Sky, de Cameron

Schweppes. L'actrice prononce alors le slogan « Hey, what did you expect? » (À quoi vous attendiez-vous ?), qui reste le slogan actuel de Schweppes. En 2011, Schweppes prend une nouvelle actrice égérie : Uma Thurman, l'héroïne des films Pulp Fiction et Kill Bill. Le clip promotionnel, dans lequel Thurman apparaît de manière évocatrice, joue alors sur les similarités sonores entre « Schweppes » et « sexe ». Le slogan « What did you expect? » est prononcé à la fin du spot. La campagne publicitaire s'accompagne

dumping » (=perdre volontairement) ce qui est interdit. Quand on fait du chip dumping, c’est qu’on ne peut pas direcetement retirer l’argent avec le compte, en général parce qu’on a magouillé quelque part). -Rumors started to appear in the forums, so, to kill these rumors, he decided to loose money against other players (but only a small part of his winnings). But he did it in such a bad way that it was even more suspicious : he called allin (il a payé) on the river (quand il n’y a plus de cartes à sortir)

détraquent le mental des jeunes ne tient pas, s'emporte de son côté Nicolas Finet, journaliste, écrivain et  directeur d’ouvrage du DicoManga. Ce serait faire peu de cas de leur fonction cathartique. Faut-il dès lors conclure qu'au cinéma, les Kill Bill, Massacres à la tronçonneuse et autre Scream fabriquent chez les ados américains de futurs délinquants et assassins ? Bien sûr que non !» En effet, la violence et le sexe est dans l'imaginaire de chacun, et en, particulier des adolescent. Lui