Kofi Annan

une catastrophe de l’ampleur de Tchernobyl pour que la communauté internationale se réunisse et signe des décrets commun concernant la sécurité nucléaire mais aussi une réglementation commune et normalisée. A propos de l'accident de Tchernobyl, Kofi Annan, secrétaire général de l'ONU, écrivait en avril 2000 : "Il y a deux raisons complémentaires pour lesquelles cette tragédie ne doit pas être oubliée. La première, si nous oublions Tchernobyl nous augmentons le risque qu'il se produise plus de désastres

Governance, Area Advanced & new constitution • Territorial intelligence and governance 1 Version Française : Emergence d'une conscience en matière de développement durable Good governance and sustainable development are indivisible." Kofi Annan A partir des années 1970, la croissance économique voyait ses limites de manière déplaisante, l'environnement, quant à lui, est apparu comme un patrimoine essentiel à transmettre aux générations futures, en 1983 l'ONU a créé la commission mondiale

daté du 1er décembre 2004, intitulé «  Un monde plus sûr : notre affaire à tous », rédigé par « Un groupe de personnalités de haut niveau sur les menaces, les défis et les changements », à l’initiative du secrétaire général de l’ONU de l’époque Kofi Annan, on peut lire la chose suivante: « l’article 51 de la Charte des Nations Unies ne doit être ni réécrit ni réinterprété, que ce soit pour étendre le champ d’application (…) ou pour le réduire ( afin de n’en autoriser l’application qu’en cas d’agression

général. De vastes pans des pays émergents constituent également des "Angles morts" pour le moment : majorité de l'Inde rurale , Chine de l'intérieur, Brésil de l'intérieur en sont les exemples majeurs, avec les vastes espaces de la Sibérie russe. Kofi ANNAN, secrétaire général de l'ONU de 1997 à 2006 : "Le problème ne tient pas à la mondialisation en elle-même, mais vient de ce que nombre de pays en sont exclus" Or, au problème éthique, humanitaire de ce sous-développement s'ajoutent les risque d'effets

constitution pour l'Europe : entretien in : Esprit, 2003 , n° 291, p. 33-41 Badinter, Robert Vers un monde plus sûr in : Politique étrangère, 2005-3, automne, p. 481-493 Robert Badinter a fait partie du Groupe de personnalités de haut niveau chargé par Kofi Annan de proposer des mesures répondant aux défis nouveaux de sécurité. Rapport rendu en décembre 2004. Il sert aujourd’hui de base aux réflexions sur les diverses réformes de l’ONU : sur l’encadrement et les modalités de l’usage de la force dans les

le Conseil de Sécurité, le Secrétariat et la Cour Internationale de Justice. Le Secrétaire Général est le principal personnage de l’organisme. Depuis le 1er janvier 2007, ce poste est occupé par le sud-coréen Ban Ki-moon, qui a pris la place de Kofi Annan. En ce moment, l’ONU compte 192 états-membres. Dans certains pays, l’entrée dans l’organisme est encore en discussion, comme c’est le cas de la République de la Chine (Taiwan). L’État de la Cité du Vatican (le Saint-Siège est membre observateur)

les soutiens dont bénéficient les terroristes au sein des populations. Les démocraties ne pourront sortir victorieuses de ce conflit qu’en montrant que le droit sera toujours plus fort que la violence. Laissons enfin les mots de conclusion à Kofi Annan, ancien secrétaire général des Nations Unies : «Chacun d'entre nous devrait être pleinement conscient que la protection des droits de l'homme ne doit pas céder le pas devant l'efficacité de l'action antiterroriste. A l'inverse, si l'on se place

développer notre analyse sur 4 d’entre eux qui sont liés à l’activité de la BNP: le Global Compact ; les Principles for Responsibles Investments ; les Equator Principles  et enfin les normes ISO. Global Compact Créé en juillet 2000 par Kofi Annan alors secrétaire général des Nations Unies, le Global Compact cherche à responsabiliser les entreprises pour qu’elles prennent davantage en considération les impacts sociaux et environnementaux de leurs activités dans le cadre de la mondialisation

à plusieurs reprises soulevé pour démontrer la légitimité des Palestiniens à former leur Etat. En 1999 par exemple, l'Union Européenne se prononce en faveur du droit à l'autodétermination des Palestiniens et à celui de créer un État. De même, Kofi Annan, alors qu’il occupe le poste de secrétaire général de l’ONU, reconnait que les Palestiniens ont « un droit inaliénable à un État viable à l'intérieur de frontières sûres et internationalement reconnues ». De plus, si elle ne constitue pas un Etat

de troubles politiques que le territoire concerné par la violation des droits de l'Homme et de tels crimes posent nécessairement le dilemme suivant : concilier la paix et la justice, d'où la nécessité d'un compromis revendiqué par JB ou encore Kofi Annan. Selon JB, la politisation de la CPI ne doit pas tomber dans un réalisme excessif : il ne faut pas affirmer que l'on sacrifie la paix au profit de la justice et vice versa. Reprocher la politisation du CPI revient à nier son origine même puisque