Kommandantur

national ». Dans les rues de la ville, une foule morne circule. On voit peu d’allemands, ils auront le bon goût de respecter notre douleur et de retarder de quelques jours leur défilé de la victoire. Ils s’installent toutefois comme chez eux. Kommandantur à l’hôtel du parc et pour la garde tout un paquet de maisons dans les environs, dont malheureusement la nôtre, sont occupées par des détachement de soldats. En principe nous devons en avoir quatre en fait nous en aurons un dénommé Frantz qui sera

fait partie Spartaco Guisco et le jeune Marcel Bourdarias. Leur mission était de tué n’importe quel officier allemand. Et ce jour la, le 20 octobre un peu avant 8 heure, Karl Hotz est sur le chemin des trois hommes du commando en direction de la kommandantur. A ce moment là, Brustlein tire deux balles dans le dos de Karl Hotz. Page 6 On peut voir que les allemands sont mécontents de cet assassinat, qu’il trouve de lâche, elle est représentée par ce rouge vif et ce noir synonyme de meurtre et

: "Cependant l'esprit de la Résistance était en lui.[...]Ils ont voulu, en agissant de la sorte que l'ennemi sache qu'il existait des Français qui n'acceptait pas le joug de sa présence. "   [pic]    Le 22 septembre 1940, deux envoyés de la Kommandantur se rendaient au domicile de l'abbé Fulgence afin de demander un prêtre pour assister Michel Coupry. Il raconte ses derniers moments: J'ai trouvé Michel Coupry à la caserne Bonet où on l'avait amené de la prison sans rien lui dire. Il a vite compris

orientale et assure l’administration de Berlin en mai et juin 1945. Début juillet, le protocole de Londres est mis en application : il prévoit que Berlin soit occupé par quatre grandes puissances et dirigé par un organe interallié appelle la « Kommandantur ». Les secteurs sont distincts (cf : carte p 158) mais néanmoins l’administration du Grand Berlin reste commune. La seconde particularité de la ville est sa position géostratégique au cœur de l’Allemagne orientale occupée par les Russes. Dans

décisions de justice. Cela concerne parfois des Polonais qui ont une relation avec une femme allemande. La majorité des exécutions n’a pas lieu devant les prisonniers mais dans le stand de tir près de la DAW, quelquefois aussi dans le chenil de la Kommandantur, le plus souvent dans la cour ou dans la cave du crématorium, où sont accrochés à cette fin comme dans un abattoir 48 crochets. Le SS-Kommandoführer Hermann Helbig reconnaîtra avoir pendu plus de 250 personnes. Eugen Kogon parle de 1100 hommes

» par refus de tout compromis. Après son séjour à Paris, Werner ne vient plus dans la salle à manger et « cette absence ne laissait pas l’esprit [ de l’oncle comme de la nièce] en repos ». La nièce pressent qu’il s’est passé un événement à la Kommandantur entre l’oncle et l’officier, car « Tout au long de la soirée, elle ne cessa de lever les yeux de son ouvrage, à chaque minute » pour sonder le visage de son oncle ; elle n’obtient aucune réponse et ses mains dénotent alors son impuissance et sa

tenu par des femmes, quelque soit le pays. Le Troisième Reich employa aussi des femmes, notamment pour la gestion des territoires occupés, femmes qu’en France on appela les « Souris Grises ». Elles restaient seulement cantonnées aux villes et aux Kommandantur. Lors de la chute de l’Empire nazi, et de la bataille de Berlin, les levées de Volksturm se révélèrent insuffisantes pour contrer l’avance soviétique ; aussi les femmes, ou du moins les Hitlerjugend féminines ( appelée Bund der deutschen Mädel)

munition, des grenades à main, explosifs et autre matériel de guerre ainsi que les postes émetteurs de T.S.F. (des amateurs également) de tout genre devront être délivrés dans un délai de 24 heures au poste allemand le plus proche, c.-à-d. à la "Kommandantur". Les bourgmestres seront responsables de la stricte exécution de cet ordre. 2) Celui qui contrairement à ladite ordonnance sera trouvé en possession d'armes à feu, de munition de tout genre, de grenades à main ou d'autre matériel de guerre

l'organisation sanitaire de Chartres qui sera occupée le 16 juin. Jean Moulin va être fait prisonnier dans sa préfecture, ce qui est un symbole de rébellion, il ne désire qu'une chose, c'est le respect des civils par l'occupant. Le 17 juin par la Kommandantur, il est séquestré pendant 2 officiers de la Wehrmacht devant signé un protocole stipulant que des soldats noirs auraient violés et tués des femmes et des enfants. En vérité, ces femmes et ces enfants étaient victimes de bombardements. Jean Moulin

: Droit à l’existence. L’ennemi nazi et l’occupation de la France Les S.S. ( « vêtus de noir », « bardés de ceinturons », « de hautes bottes », « démarche lente et raide », p. 17, « la casquette », « un étui de revolver », « nazis », p. 20), La Kommandantur (p. 50), la Gestapo (pp. 250, 290…). - Les laisser-passer, la ligne de démarcation (p. 50) ; la zone libre (p. 55) ; l’occupation de Nice par l’armée italienne (pp. 197 sq.) et l’arrestation de Mussolini (pp. 223 et 225) ; les restrictions (les