Kurt von Schuschnigg

Allemand regroupant les pays et territoires germanophones. Dans les années précedants l'Anshluss, le parti nazi Autrichien souhaite s'emparer du pouvoir Autrichien tout en bénéficiant du soutien de l'Allemagne nazie. Le Chancelier Autrichien, Kurt Von Schuschnigg, fort attaché à l'indépendance de son pays organisa un réferendum afin de demander à la population Autrichienne si elle souhaitait rester indépendante ou bien faire partie du Reich Allemand. Mais le parti nazi Autrichien organisa un coup

violera le traité de Versailles à mainte reprise, nous pouvons citer l'Anschluss qui débuta en 1938, lorsque l'Allemagne était en position de force grâce à son allié italien. Hitler exerça en effet des pressions sur le chancelier autrichien Kurt von Schuschnigg pour qu'il fasse entrer des nazis dans son gouvernement. En réaction à la menace croissante des nazis, le chancelier annonça l’organisation d’un référendum pour confirmer l’indépendance de l’Autriche qui se ferait en Mars. Mais Hitler lance

HISTOIRE CONTEMPORAINE, POLITIQUE ET SOCIALE DE L’ALLEMAGNE 1870 – 1945 Chapitre 1 : La fondation du IIe Reich Bref aperçu de l’évolution de l’Allemagne de 1815 à 1871 (Deutscher Bund, Hohenzollern, Habsburg, Otto von Bismarck, Sadowa ou Königgrätz, Norddeutscher Bund) Deutscher Bund dominé par la Prusse (Hohenzollern) et l’Autriche (Habsburg) jusqu’en 1866: - 1866 : Défaite de l’Autriche et l'Allemagne est dominée par la Prusse - 1867 : Constitution de la Confédération

passif, et a probablement fait extérieurement allégeance au régime7. Depuis le 9 novembre 1918, la Bavière est en effet entre les mains d’un gouvernement révolutionnaire, la Räterepublik ou « République des conseils », proclamée par le socialiste Kurt Eisner et virant de plus en plus à gauche après l'assassinat de ce dernier début 1919. La propre caserne de Hitler est dirigée par un conseil. Dégoûté, Hitler quitte Munich pour Traunstein. Cependant, en 1919, alors que le pouvoir est hésitant entre

nazis, probablement à cause de ses erreurs politiques. Son successeur le chancelier Kurt von Schuschnigg, ne va pas réussir à arrêter la montée du nazi et le pays continue donc sa « dérive », et le pays risque d’être annexer par l’Allemagne. Benito Mussolini va empêcher l’Anschluss (rattachement) en mobilisant l’armée Italienne. Adolphe Hitler va donc reculer car la Wehrmacht n’est pas prête. Le chancelier Schuschnigg, sous pression, organise le 13 mars 1938 un vote pour ou contre le Rattachement (l’Anschluss)

a probablement fait extérieurement allégeance au régime. Depuis le 9 novembre 1918, la Bavière est en effet alors entre les mains d’un gouvernement révolutionnaire, la Räterepublik ou « République des conseils », proclamée par le social-démocrate Kurt Eisner et virant de plus en plus à gauche après l'assassinat de ce dernier début 1919. La propre caserne de Hitler est dirigée par un soviet (« conseil »). Dégoûté, Hitler quitte Munich pour Traunstein. Cependant, en 1919, alors que le pouvoir est

était opposé, il semble laisser Hitler faire ce que bon lui semble de l’ancienne puissance européenne. Le Fürher lance donc un ultimatum à Kurt von Schuschnigg, président autrichien. Ce dernier décide de contrer Hitler en lançant un référendum pour savoir si le peuple veut rejoindre l’Allemagne ou non. Hitler répond à cela en lançant un nouvel ultimatum. Schuschnigg appelle les démocraties à l’aide… sans entendement. Une nouvelle fois, l’Allemagne viole le traité de Versailles. 4. La crise des Sudètes

rituels et ses cérémonies spectaculaires ressuscitant un univers médiéval ou païen. De même que par l'appel efficace aux héros mythiques du passé national (Arminius, Barberousse, Frédéric II du Saint-Empire, Frédéric II de Prusse, Andreas Hofer, Otto von Bismarck…) mobilisés rétrospectivement comme précurseurs du Führer providentiel[40]. Les Églises en tant qu'institutions ont peu cherché à s'opposer à un chancelier pourtant néo-païen et antichrétien. Malgré maintes tracasseries infligées, Hitler s'est

extérieure. Il participe en effet très peu à la colonisation. En 1888, Guillaume II accède au trône. Considérant l’Allemagne unifiée, il entend donner au peuple Allemand une « mission historique » et élargir son horizon au-delà de l’Europe. Le prince von Bülow, secrétaire d'État aux affaires étrangères, déclare au Reichstag que l'Allemagne veut une place au soleil. L’Allemagne débute alors la construction d’une flotte de guerre qui deviendra la seconde dans le monde dès 1914. Cette politique contribue

aucunement antisémite. Il l'est devenu plus tard. » Il insiste sur son amitié avec Joseph Neumann. I. Kershaw doute de la véracité des dires de Hanisch43. Outre des brochures antisémites, Hitler lit alors très probablement la revue Ostara de Jörg Lanz von Liebenfels : selon Nicholas Goodrick-Clarke, « l'hypothèse d'une influence idéologique de Lanz sur Hitler peut être acceptée » ; ce dernier aurait « assimilé l'essentiel de l'aryosophie de Lanz : le désir d'une théocratie aryenne prenant la forme d'une