L'hystérie

inconscient : les contenus inconscients cherchant à sortir pour reparaître à la conscience, et la conscience y oppose la force de son refus. 3) Mais cet inconscient a des moyens de s'exprimer : on va pouvoir d'une certaine manière y accéder. L'hystérie, les lapsus, les actes manqués, rêves, tous ces comportements qui auparavant étaient considérés soit comme banals, soit comme absurdes (donc : sans signification) sont les moyens qu'a trouvés l'inconscient pour se faire entendre, pour s'exprimer

manque de rien. On croyait au père Noël et à la petite souris, des fantasmes vite brisés avec la force de l'âge. À l'école, on ne travaillait pas beaucoup, on s'echangeait les dernières cartes à la mode, on rigolait si bien avec nos amis, c'était l'hystérie à chaque récréation. Puis nous sommes entrés dans l'adolescence, les cartes, les billes et les ballons sont devenus l'alcool, la drogue et le sexe. Maintenant, on voit le monde autrement que par nos moments enfantins, on connaît la trahison, le

enfants, trois filles et un garçon, mais Bertha était la seule fille survivante de la famille Pappenheim. Bertha Pappenheim a été rendue célèbre sous le pseudonyme d'Anna O. par Sigmund Freud et Joseph Breuer** dans leur livre « Études sur l'hystérie » elle est, en effet, considérée comme la première « patiente » de l'histoire de la psychanalyse. 2- Description de la maladie d’Anna O et son traitement par Breuer : Durant l’époque de sa maladie Anna O. a été accompagnée et traitée par

classifications. Le DSM IV est le manuel de diagnostic et de statistique des troubles mentaux. Dans la classification classique, la névrose se divisait en quatre : la névrose d’angoisse, la névrose phobique, la psychonévrose obsessionnelle et l’hystérie. La classification du DSM IV diffère : on parle de troubles anxieux ou de troubles de la personnalité. D’autres termes ont disparu comme la psychose hallucinatoire chronique, les bouffées délirantes polymorphes aiguës (psychose aigüe). Un symptôme

= son de la mer par ex. Il existe des perceptions qui sont trop faibles pour arriver à notre conscience mais elles existent quand même 2) L’hypothèse de l’inconscient Freud = psychanalyste du 19ème. Au départ il s’occupait de l’hystérie. Pour guérir l’hystérie il va tenter d’utiliser une nouvelle méthode = l’hypnose. On suggère au patient une action qu’il accomplit une fois réveillé. Comme l’hypnose est une bonne méthode mais pas à long terme il en a cherché une autre. IL va essayer de prouver

Description de la situation Mme B. qui est résidente d’un EHPAD (Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes) a été admise dans le service il y a une semaine (quand je débute mon stage), suite à des phases hautes de sa maladie qui est l’hystérie. Elle s’agite, chante, se laisse glisser de son fauteuil roulant et tombe sur le sol. Elle refuse de s’alimenter et de s’hydrater. Les soignants ont essayé de trouver des solutions pour la faire manger, en vain. Mon premier jour de stage, à la

Freud (6 mai 1856 à Freiberg, Moravie (actuelle République tchèque) - 23 septembre 1939 à Londres) est l'inventeur de la psychanalyse et, à ce titre, l’un des grands penseurs du XXe siècle. Médecin neurologiste, Sigmund Freud s'est intéressé à l'hystérie après avoir suivi à Paris les cours de Jean-Martin Charcot et utilisa, en collaboration avec celui-ci, l'hypnose en tant que méthode de soin des troubles psychiques. C'est enfin et surtout la découverte de la psychanalyse comme cure par la parole

psychanalyse. Freud s'intéresse aux expériences de Charcot sur l'hystérie où il découvre l'importance de la parole et la récurrence ordonnée de certaines pathologies (cf.1ère leçon des "5 leçons sur la psychanalyse") De plus, il conçoit la possibilité de l'existence d'une pensée séparée de la conscience, que les troubles psychosomatiques vont signifier (cf. l'ex d'ANNA 0). Freud constate que les symptômes de l'hystérie disparaissent lorsque la patiente sous hypnose en exprime l'origine ou

Freud ne retiendra pas cette hypothèse de l’état hypnoïde à l’origine du symptôme. 2ème leçon. Concepts : refoulement et résistance. Nouvelle conception de l’hystérie et méthode psychanalytique. Freud mentionne les travaux de deux psychiatres français : Charcot (1825-1893) sur l’hypnose et la théorie de Janet (1859-1947) sur l’hystérie (on peut constater qu’il porte sur Janet, dont les livres ne sont pas aujourd’hui réédités, un jugement moins favorable que celui que portera Jung). Freud abandonne

faisant raconter, sous hypnose, les incidents traumatiques qui avaient été à leur origine. Intrigué par cette « talking cure » (c'est le nom que lui avait donné la patiente elle-même), Freud en avait parlé à JeanMartin Charcot, le grand maître de l'hystérie et de l'hypnotisme dont il était allé suivre les leçons à Paris en 1885-1886, mais celui-ci n'avait pas été intéressé. De retour à Vienne, Freud décida, en 1889, d'employer la «méthode cathartique » de Breuer sur ses propres patients hystériques