L'Adieu aux armes

j’ai lu était incroyablement bien, mais si triste, il m’a brisé le cœur. J’essaie de ne pas céder à mes émotions. – Oh, il doit être bon si tu es encore bouleversée. (Il sourit.) J’aurais détesté être auprès de toi la première fois que tu as lu L’adieu aux armes. Je m’effondre à côté de lui sur le lit. – C’était pire, tellement pire. Il m’attrape par la manche et attire ma tête contre son épaule. – Ma copine l’émotive. Ses doigts courent le long de ma colonne vertébrale. La manière dont il

mais un faux brave, même, comme je l'avais toujours cru et ce qui me le rendait assez sympathique, un faux méchant, et n'avait pas les réactions normales de l'homme d'honneur outragé), on l'avait saisi et brusquement frappé au moment où il était sans armes; ou bien que, dans un milieu qui n'était pas le sien il se sentait moins à l'aise et moins courageux qu'il n'eût été dans le Faubourg. Toujours est-il que, dans ce salon qu'il dédaignait, ce grand seigneur (à qui n'était pas plus essentiellement inhérente