L'Alouette

transmettre) 2) Les différents chants des oiseaux écoutés Chaque oiseau possède un chant qui lui est propre. Les différents chants d’oiseau que l’intervenant nous fait écouter, sont : * Le Pic épeich (vivant dans des milieux boisés) * L’Alouette des champs (champs) * Le Faucon crécerelle (champs) * La Rousserole effarvatte (phragmites) * Le Tarier pâtre (zone de jachères) * La Grèbe huppé (milieux aquatiques) * Le Héron cendré (prairies, milieux aquatiques)

les pièces "noires", "roses", "brillantes", "grinçantes", "costumées", "secrètes" et "farceuses", suivant leur degré de pessimisme, de férocité et d'hypocrisie. Il obtient de nombreux succès. Particulièrement avec L’invitation au château (1947), L’alouette (1952), Pauvre Bitos ou le dîner de têtes (1956) et Beckett ou l'honneur de Dieu (1959). En 1961 il connaît un échecs avec La Grotte, c'est alors qu'il décide de se tourner vers la mise en scène. Jean Anouilh est un des premiers à saluer le talent

nul homme ne peut comprendre, les pensées d’Angéla se révélant à moi sans qu’elle eût besoin de parler ; car son âme brillait dans son corps comme une lampe d’albâtre, et les rayons partis de sa poitrine perçaient la mienne de part en part. L’alouette chanta, une lueur pâle se joua sur les rideaux. Aussitôt qu’Angéla l’aperçut, elle se leva précipitamment, me fit un geste d’adieu, et, après quelques pas, poussa un cri et tomba de sa hauteur. Saisi d’effroi, je m’élançai pour la

établi en faisant la part belle à Créon . Ses défenseurs mettent au contraire en avant les qualités de l'Héroïne. • À la Libération, Anouilh continue d'écrire Il obtient de nombreux succès. Citons notamment L'Invitation au château (1947), L'Alouette (1952), Pauvre Bitos ou le dîner de têtes (1956), Beckett ou l'honneur de Dieu (1959). Anouilh a bâti une œuvre qui sous l'apparence d'un scepticisme amusé révèle un pessimisme profond. Kléber Haedens écrit " Anouilh touche par ses appels au rêve

du Rhin... On pourrait boire aux fontaines, Prier dans l’ombre à genoux, Aimer, songer sous les chênes ; Tuer son frère est plus doux... Et l’aube est là sur la plaine ! Oh ! j’admire, en vérité, Qu’on puisse avoir de la haine Quand l’alouette a chanté. Ce poème représente la guerre qui est évoquée dans ce roman. L’amour ne peut pas toujours existé à cause de cette Guerre.

comédies satiriques comme Ornifle ou le Courant d'air (1955). Dans la même période, Jean Anouilh s'intéresse dans ses « Pièces costumées » à des figures lumineuses qui se sacrifient au nom du devoir : envers la patrie comme Jeanne d'Arc dans L'Alouette (1953) ou envers Dieu comme Becket ou l'Honneur de Dieu (1959). Le dramaturge a continué dans le même temps à servir le genre de la comédie dans de nombreuses pièces où il mêle farce et ironie (par exemple Mon père ce héros, 1970 jusque dans les

(e) sur « ciel », « pèse », « couvercle » -Réduction de l'espace + image de la chauve souris qui se cogne = sensation de claustrophobie angoissante. -Comparaison chauve-souris / angoisse = angoisse car pour B, chauve souris = inverse de l'alouette qui est l'oiseau de l'espoir. -Les filets semblent resserer leur emprise sur le cerveau du narrateur qui renonce à l'espoir. -Chp lex de l'angoisse : « bas », « lourd », « gémissant » = l'angoisse demeure, comme le confirme la métaphore

noir (oxymore). Il y a l’intense negatif (esprit gemissant en proie). Le mouvement heureux ne se fait que de la lumiere tamisee or ici la lumiere s’estompe. Le poete sent qu’il est enterre. Dans la 2 eme strophe on a l’antiphrase du vol heureux de l’alouette, c’est le vol maladroit, lourd ; de la chauve-souris. C’est l’impossibilite de s’elever. C’est aussi un paysage degoutant. La tentative de l’elevation (tete) se heurte a l’element dur (profonds pourris). La terre n’est pas un lieu de l’intimite

salives desséchées • Déterminé ↔ indéterminé (pour : ma salive) EX : il fut loin d'imiter la grandeur des Colbert (pour : de Colbert) On utilise le singulier pour signifier le pluriel EX : Nous avons défait l'ennemi. (pour : les ennemis) EX : L'alouette vit dans les prés et les champs. (pour : les alouettes) On utilise un nombre déterminé pour signifier l'indéterminé EX : Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage. (pour : un grand nombre de fois) On utilise un terme concret pour évoquer un

l'esprit ; vers 11 : "comme une pure et divine liqueur" pour le feu; vers 7 : "comme des alouettes" pour les pensées. Ce monde de l'idéal est marqué par les sensations‚ réelles et concrètes : la nage, la boisson et la vue des oiseaux. Symbole de l'alouette : par sa façon de s'élever très rapidement dans le ciel ou de se laisser brusquement tomber, cet oiseau est un médiateur entre la Terre et le Ciel ; son envol le matin représente la joie manifeste de la vie, l'élan de l'homme vers la joie; c'est