L'Amant

est née en Indochine française en 1914. Cette période de sa vie l'a profondément marquée et se retrouve dans plusieurs de ses ouvrages et notamment dans Un barrage contre le Pacifique (1950), autobiographie masquée, qui lui apporte la notoriété. L’Amant en 1984 fait connaître M. Duras au grand public. Elle meurt en 1996. Elle aura été une femme engagée : résistante, communiste, anticolonialiste… Elle aura également joué un rôle prépondérant dans le renouvellement du roman. Proche du Nouveau roman

d’accéder au poste de gouverneur d’Avellino en Italie, puis d’être nommé gouverneur de trois provinces et comte de Siguenza en Espagne. L’enfance de Victor est quelque peu mouvementée, partagée entre Paris et les lieux de mutation de son père, entre l’amant de sa mère (le général Victor Lahorie) et les maîtresses de son père. À quatorze ans, le futur poète écrit sur un cahier d’écolier : « Je veux être Chateaubriand ou rien. » À dix-sept ans, il fonde avec son frère Abel une revue, le Conservateur littéraire

une prosopopée (idéalisation, projection des sentiments). L’amant apparaît comme un héros (sang, …). De plus, il y a un contraste entre ce qu’il fait (risquer sa vie) et son objectif (donner une fleur). La lettre est très poétique avec des anaphores, ce qui lui donne un rythme. Les métaphores (comme « ver de terre amoureux d’une étoile ») et les ménagements du suspense entraînent un effet d’attente et une série d’antithèse. L’amant est aussi présenté comme extrêmement généreux, romanesque, qui

baroque.  Enfin, nous étudierons la construction de ce sonnet. Première partie : la mort et la vie a) La mort La lecture du sonnet « sur un tombeau » montre deux notions qui sont rattachées à deux êtres avec la mort de l’amant et de la femme et la vie de l’amant et de la femme. La mort est suggérée par le titre « Sur un tombeau » dont le titre est l’épitaphe). La mort se révèle sous différents termes :  vers 1 « la dépouille »,  vers 1 « ce marbre »,  vers 3 « elle y dort »,

plus, Alcandre le rassure. Acte IV L’Acte IV s’ouvre quatre jours après le meurtre. Isabelle est au paroxysme du désespoir et jure de mourir immédiatement après l’exécution de Clindor. Lyse, qui en veut pas se sentir responsable de la mort de l’amant, vient lui dire qu’elle sauvera Clindor en séduisant son geôlier. Isabelle se réjouit et reprend espoir. Matamore entre en scène, totalement ivre. Il s’était caché et abreuvé de bouteilles d’alcool. Les femmes le font sortir. Isabelle et Lyse se

commandant ne peut pas être incirconcis ! Il m’était apparu plus nu que tous mes compatriotes qui ne s’en font pas pour se laver au marigot de la place du marché. Alors, me disais-je, il est comme le Père Gilbert ! Comme le Père Vandermayer ! Comme l’amant de Sophie ! Cette découverte m’a beaucoup soulagée. Cela a tué quelque chose en moi… Je sens que le commandant me fait plus peur. » En outre dans cette veine, Ferdinand Oyono dénonce un système colonial répressif où le Noir occupe une place pas du

l'amans-amens, emprunté à Ovide. Dans le Roman d'Enéas, "Le suicide de Didon", la passion amoureuse est présentée comme une inordinatio, c'est à dire comme une rupture d'un certain ordre qui serait principalement fondé sur la raison. Ici, Didon, l'amante devient désespérée, passive, inerte face à la violence des sentiments qu'elle éprouve pour le héros troyen Enéas, elle est si déchirée qu'elle ne peut pas se ressaisir. La folie prend le dessus, Didon n'est plus maître d'elle même. Cette alliance

par “modéré et chantant”). Au cours d’une de ces leçons, un cri déchirant se fait entendre dans la rue : un crime passionnel vient d’être commis dans le café voisin. En sortant, Anne Desbarèdes découvre qu’une jeune femme a été assassinée et voit l’amant meurtrier emmené par les gendarmes. Le lendemain, ne pouvant pas s’empêcher de revenir sur les lieux, elle entre pour la première fois dans le café où elle commande du vin. Un homme s’approche, Chauvin, un ouvrier de l’usine de son mari. Ils échangent

nourrir des doutes sur la fidélité de sa maîtresse ; le modalisateur « peut-être » traduit de simples soupçons que rien ne vient étayer si ce n’est, justement, cette situation exceptionnelle ; c’est donc cela qui éveille les questionnements de l’amant. Or, nous suivons le cheminement de sa pensée à travers le scénario que son imagination est en train de construire ; son hypothèse repose sur la stratégie qu’il attribue à Odette et qui est scandée par des propositions subordonnées conjonctives

pistolet, il prit le temps de le charger, de l'armer, et de se positionner à une fenetre au premier étage avant de tirer deux coups de feu en direction de M. Tison qu'il ne voyait pas car ce dernier était derrière un buisson et fumait une cigarette. L'amant fut grièvement blessé et touché au poumon. Suite à cela, M. Tison a assigné le propriétaire en justice. La Cour d'appel de Bruges, par un arrêt du 6 mars 1958, juge de la culpabilité de M. Réminiac. Ce dernier se pourvoi en cassation. Il réclamait