L'Aurore

devient, le jeudi où il reçoit, le lieu de rendez-vous de jeunes écrivains tel que Maupassant. Convaincu que le véritable coupable de l’affaire Dreyfus est le commandant Esterhazy, qui est acquitté à l’unanimité le 11 janvier 1898, Zola publie dans L’Aurore deux jours plus tard l’article J’accuse. Condamné à un an d’emprisonnement,il doit quitter la France le 18 juillet 1898. A son retour, en 1899, injurié, radié de l’ordre de la Légion d’honneur, abandonné par une grande partie de ses lecteurs, il

l'ennui de la jeunesse dans son époque et le fait qu'elle soit mal à l'aise. Les modernes sont une jeunesse"houleuse", fougueuse ayant envie de changement et qui rêve de "plaines enchantées" et de "vertes prairies". Cette jeunesse a devant elle "l'aurore d'un immense horizon, les premières clartés de l'avenir"pour un monde moderne et derrière elle "un passé à jamais détruit" par tout ce qui est cher aux classiques. C'est une période révolutionnaire pleine de changements où le "vieux continent" est

La bataille des deux Frances :  Le premier dreyfusisme n’a pas une large assise. Il est d’abord une bataille d’intellectuels. Le ‘J’accuse’ de Zola en janvier 1898 sur L’aurore entraine une publication de pétitions en faveur de Dreyfus. On y trouve les éléments fondateurs des Dreyfusisme des écrivains tels que Octave Mirbeau et Proust, des historiens et même des artistes. • La société française se déchire entre « dreyfusards » et « anti-dreyfusards ». La presse et les débats publics sont d'une

implorent, Coulez, coulez pour eux ; Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ; Oubliez les heureux. " Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit ; Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l'aurore Va dissiper la nuit. " Aimons donc, aimons donc ! de l'heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive ; Il coule, et nous passons ! " Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse

c’est le 13 Janvier 1898 que l’affaire devient une véritable crise politique avec la parution en Une de L’Aurore de l’article « J’accuse » d’Émile Zola, une lettre ouverte au président de la République, Féli Faure. Cet acte d’engagement permet à Zola d’employer tout son talent littéraire pour convaincre les autorités gouvernementales de l’innocence de cet homme, plus de 300 000 exemplaires de l’Aurore sont vendus en moins d’une journée à Paris. De cette interpellation, Zola s’engage politiquement en

tous les autres entendent ce message. Que nous somme chez toi tu découvriras notre lac de larmes d’or et Imagination, Merveille, Moi et Trésor En toi !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Refrain final : Et on est encore chez toi Cherche chaque jour dès l’aurore, chez toi Imagination, Merveille Trésor, Moi Qui pleurent a en faire couler leur larmes sur tout leur corps Tout cela pur un seul cœur, toi ! Tu découvriras notre lac de larmes dorés en toi

Viens, ô toi que j'adore, Ton pas est plus joyeux Que le vent des cieux ; Viens, les yeux de l'aurore Sont divins, mais tes yeux Me regardent mieux. Avril, c'est la jeunesse ; Viens, sortons, la maison, L'enclos, la prison, Le foyer, la sagesse, N'ont jamais eu raison Contre la saison. Pour peu que tu le veuilles, Nous serons heureux ; vois, L'aube est sur les toits, Et l'eau court sous les feuilles, Et l'on entend des voix Du ciel dans les bois. Toutes les douces choses, L'hirondelle au

commence porte d’Oran, et qui verra verra ! » Le lapin y répond : « Dis-moi, ti perds la tête ? Dès q’ti dis ti es prêt, j’prends la poudre d’escampette. » Mais la tortue insiste, alors y sont d’accord De commencer la course à six heures, dès l’aurore. Le juge qui z’ont choisi y tire son révolver, Et oilà les coureurs qui courent dans la poussière. Le lapin y s’amuse, y mange, et même y dort, Pendant que la tortue y fait beaucoup d’efforts. Elle court lentement, sa maison sur le dos Et elle

Etude du texte « le lac » L’obsession du temps : -champs lexical du temps présents partout ,mais surtout dans la première strophe : « la nuit », « le jour », « l’aurore », « le soir », « les heures », « l’année », « moments », « l’éternité ».Mais il y a également la présence d’adjectifs qui vont nous aider à comprendre l’un des sujet fondamental du poème : « fuite du temps », « nuit éternelle ».Il y a aussi l’utilisation d’une métaphore l’océan des âges=l’eau=l’eau qui coule=le temps qui passe

A Jeanne Ces lieux sont purs ; tu les complètes. Ce bois, loin des sentiers battus, Semble avoir fait des violettes, Jeanne, avec toutes tes vertus. L'aurore ressemble à ton âge ; Jeanne, il existe sous les cieux On ne sait quel doux voisinage Des bons coeurs avec les beaux lieux. Tout ce vallon est une fête Qui t'offre son humble bonheur ; C'est un nimbe autour de ta tête ; C'est un éden en ton honneur. Tout ce qui t'approche désire Se faire regarder par toi, Sachant que